C’est dans une longue interview accordée à Entertainment Weekly que le bonhomme évoque son oeuvre. Il insiste d’abord sur le fait que c’est un gamer, qu’il a joué à Warcraft et qu’il connait l’univers. Il précise ensuite que présenter le premier trailer à la Blizzcon à la place de la Comic-Con est une aubaine, car ce sera un public de fans hardcore qui réagira en direct à l’annonce. Mais une question attire particulièrement l’attention : Les nouveaux films adaptés de jeux, comme Warcraft et Assassin’s Creed, arriveront-ils à briser la malédiction des adaptations pourries ? Voici ce que répond Duncan Jones.
Il a deux choses. La première que je peux vous dire est que cette malédiction a également concerné les films adaptés de comics. Ça a pris une génération avant que des cinéastes qui adorent ça et qui ont grandi avec le média fassent des films qui vous concernent et qui vous font ressentir quelque chose. Je pense que c’est exactement le même cas de figure avec les films adaptés de jeux vidéo. Je suis en plein dans la génération jeux vidéo. J’ai commencé ma carrière de gamer sur Atari, sur la Commodore 64 et sur l’Amiga. J’ai un cœur de gamer et je l’aurai toujours. Je pense que ma sensibilité à propos du storytelling et des personnages vient automatiquement du jeu vidéo quand je travaille sur quelque chose de narratif. Pour moi, la source d’une histoire n’a pas d’importance. Je vais toujours trouver un moyen de créer une histoire intriguante avec des personnages avec lesquels ont ressent de l’empathie.
Une déclaration intéressante de la part de Jones qui va tenter de briser la malédiction qui est née au début des années 90. Vous pouvez découvrir son interview en intégralité à cette adresse.
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Tout dépend des moyens donner par les studios, s’il choisissent un scénariste bas de gamme et un réal en carton on aura de la bouse. Comme c’est la licence warcraft ils ont mis les moyens, rien de plus.
Le film sera peut-être réussi techniquement mais peut-être pas au niveau du scénario
A voir quand il sortira en blu ray/dvd
“Tout dépend des moyens donner par les studios”
C’est ça que j’arrive pas à piger
Créer des effets spéciaux de ouf malade ça coûte des fortunes colossales alors qu’embaucher quelques scénaristes de plus ça représenterait peanuts à côté.
T’as entendu parler de Transformers?
Il vaut mieux claquer un max dans le markerting que dans le film en lui même.
“adaptions” : le JDG est rédigé en écriture automatique.