Croyez-moi, rentrer dans l’atmosphère humide et malaise d’un Sherlock Holmes alors qu’autour de vous vous entendez des hordes d’adolescents crier pour gagner un t-shirt Call of Duty n’est pas le meilleur moyen de faire la connaissance du jeu de Bigben Interactive et Frogwares.
Entre deux « youhou » et trois « caloffe », on a quand même pu voir à quoi ressemblerait ce huitième épisode. Cinq affaires se succèderont dans The Devil’s Daughter, où la volonté des développeurs de proposer des situations variées était manifeste.
En sus des traditionnelles phases (méticuleuses) de recherche d’indices et de preuves, des phases de filature (avec une jauge de discrétion) et de combats ont donc été mises au programme, et de façon plutôt habile qui plus est. Par exemple, pendant une bagarre qui se déroulait dans un bar, notre héros pouvait pointer des objets à l’écran (tabouret, bouteille) pour s’en servir et ainsi repousser ses agresseurs.
Si le rendu visuel n’est pas de la toute dernière fraicheur, il est loin d’être vilain (merci l’Unreal Engine 3), surtout que le terrain de jeu – ouvert – a l’air plutôt étendu. On aura le temps de revenir sur le jeu d’ici à sa sortie, espérée au printemps prochain sur PS4, Xbox One et PC.
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