Passer au contenu

Facebook at Work engrange ses premiers gros clients

Déployé en version test dans plusieurs entreprises, Facebook at Work semble avoir transformé l’essai et compte désormais plusieurs gros clients. En France, Lagardère et Century 21…

Déployé en version test dans plusieurs entreprises, Facebook at Work semble avoir transformé l’essai et compte désormais plusieurs gros clients.

facebook_at_work_premiers_clients

En France, Lagardère et Century 21 (4 000 employés) testent le réseau social professionnel made in Facebook en version bêta au sein de leur compagnie depuis le début du mois.

Facebook at Work proposera deux versants : l’un corporate permettant aux différents salariés d’une entreprise de « discuter avec des collègues […] et de collaborer à des documents », l’autre « de se mettre en relation avec des professionnels », à la manière de LinkedIn qui permet de se constituer un réseau pro (messages, fil d’actualité, recommandations, offres d’emplois, etc.). Tout ça avec l’interface familière de Facebook et le même identifiant.

Une familiarité qui permet une adoption facilitée pour un coût de formation proche de zéro, des spécificités à même de garantir son succès.

Et Facebook peut compter sur un client de choix : la Royal Bank of Scotland entend déployer Facebook at Work auprès de ses 30 000 employés, avec pour objectif de l’étendre à l’ensemble de ses salariés, soit 100 000 employés d’ici à fin 2016.

Le directeur général de la RBS est dithyrambique et avance un taux d’adoption « phénoménal » de 90%.

300 entreprises (dont Heineken) utiliseraient désormais la version entreprise de Facebook, assure Julien Codorniou, directeur des partenariats chez Facebook et qui dirige la plateforme Facebook at Work, au site Techcrunch.

La plateforme aura une version gratuite (freemium) disponible d’ici la fin de l’année et des fonctionnalités payantes seront proposées ensuite. Comme l’a précisé Codorniou, la monétisation de la plateforme se fera autour d’un modèle éco freemium.

🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

8 commentaires
  1. Il est amusant de constater qu’au fil des articles que j’ai lu (ici et ailleurs), personne ne sait expliquer le fonctionnement de ce système.

    1. Le fonctionnement du système ?
      Détail la question parce que la réponse à l’air d’être dans l’article …
      Tu vas te connecter à Facebook tu gardes ta liste d’amis et tu vas récupérer un liste de collègues qui auront un accès différent à ton profil que tu pourra paramétrer.
      Tu auras donc (à l’instar de LinkedIn) de nouvelles informations à entrer, ta formation, tes diplômes, tes expériences pro etc … et tu auras probablement des profils recruteur qui pourront avoir accès à ces informations aussi.
      Et Facebook fera payer les entreprise pour déployer des profil de recruteur ….

      1. Quelques précisions. 3 sociétés testent actuellement FB@W en France, et RAJA, là ou je travaille est la 3ème.
        Les listes d’amis ne sont pas du tout commune, d’ailleurs il est même possible d’avoir deux comptes différents. Facebook a certes tout a gagné à ce que vous utilisiez le même compte, mais même dans cette situation les deux univers sont cloisonnés. Il faut voir ce FB@Work comme un “intranet” d’entreprise avec des fonctionnalités carrément inférieures à Yammer pour l’instant, mais cela évolue rapidement, nous sommes en contact direct avec FB et ils rajoutent les fonctionnalités au fur et à mesure de notre feedback.

  2. Ou comment espionner et récupérer les données des entreprises de toute la planète une fois que ce sera adopté par tous. Les entreprises qui adoptent ça, franchement rien dans le bulbe.

Les commentaires sont fermés.

Mode