C’est Martin Hollis, le créateur du jeu, qui a donné cette amusante anecdote lors d’une conférence au festival GameCity de Nottingham, chez ces bougres d’Anglais. L’éditeur Rare a en effet dû batailler pour imposer ses vues sur le titre auprès de Nintendo, qui craignait la violence qui se dégageait du jeu.
Shigeru Miyamoto nourrissait en effet de sérieuses craintes concernant l’aspect « sanglant » (avec nos yeux d’aujourd’hui, c’est plutôt amusant) de Goldeneye. À un moment, vers la fin du développement du jeu, Hollis reçoit un fax du dirigeant de Nintendo lui suggérant qu’il serait agréable si, à la fin du jeu, le joueur pouvait « serrer la main de tous ses ennemis à l’hôpital ».
On imagine la séquence. Heureusement, ça n’est jamais arrivé et il est fort probable que Nintendo se félicite encore aujourd’hui du carton réalisé par le jeu.
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Ça aurait pu être cool, sauf pour le dernier boss, qui tombe de la plateforme, lui c’est une pizza maintenant.
faudrait peut être remettre les choses dans le contexte et ne pas retirer la moitié de l interview.
Car la on a l impression que nintendo est le méchant et que rare a fait le jeu tout seul or Martin hollis avoue que nintendo a été une grande source d inspiration et qu ils ont conçu la jeu dans le même sens que nintendo.
Nintendo ne voulait pas de taches de sang etc… mais Hollis dit que nintendo est très respectueux envers les créateurs de jeux ainsi quand RARE annonce a nintendo qu il ne veut pas travailler sur un second opus de James Bond celui ci n insiste pas .
Ce qui étonne Hollis car nintendo a laissé passé 400 millions de dollars (recette qu aurait pu faire le second James Bond)sans rechigner.
La dernière question était : comment nintendo arrive a garder une place parmi les meilleures développeurs ?
Hollis répond : Car nintendo veut faire des bons jeux