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On a testé UberEats, la livraison de repas au pied de votre immeuble par UBER

Depuis une dizaine de jours, UBER, le service de VTC préféré des Taxis, propose la livraison de repas en moins de dix minutes sur Paris dans…

Depuis une dizaine de jours, UBER, le service de VTC préféré des Taxis, propose la livraison de repas en moins de dix minutes sur Paris dans certains arrondissements via UberEATS.

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Après son succès à San Francisco, Los Angeles, New York et Barcelone, UberEATS arrive donc dans la capitale. Pour passer commande, il suffit de lancer l’app UBER sur votre smartphone et de sélectionner le service. Si vous êtes dans un arrondissement desservi, vous aurez alors le choix entre quelques plats des trois restaurants partenaires qui changent chaque jour. Les plats proposés vont de 8 à 12 euros, et on regrette le manque cruel de desserts, uniquement un seul disponible. Une fois commandé, vous n’avez plus qu’à attendre, la livraison se fait entre 11h30 et 14h30 au pied de votre immeuble, en voiture électrique (ici une Renault Zoe). Les frais de livraisons seront gratuits, puis devraient passer à 3 euros pour n’importe quelle commande.

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Au final, le service est respecté, le repas livré en moins de 10 minutes et ce dernier peut-être chaud ou froid suivant le menu sélectionné. On regrettera par contre qu’il n’y a aucune possibilité d’avoir une boisson. Le menu que nous avons sélectionné est plutôt bon, permet de faire découvrir des restaurants du quartier, mais le prix reste un poil élevé surtout quand on sait que la livraison sera payante plus tard. Dans la capitale, les services de ce type se multiplient comme deliveroo par exemple qui vous livre aussi votre repas au pied de chez vous. Expérience à renouveler, mais on espère que la carte sera plus importante et variée dans les semaines qui arrivent (vous pouvez découvrir le menu proposé chaque jour sur le site de UBER).

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7 commentaires
  1. La restauration sur internet est vraiment en pleine révolution. Entre Take it Easy, Uber Eat, Resto In… Voilà de quoi faire venir pleins de bon burgers au bureau 🙂

  2. Très bon démarrage mais dorénavant à éviter absolument. Client fidèle et récurent depuis le lancement, je suis récemment passé à la concurrence et ne le regrette vraiment pas. Beaucoup plus de choix de restaurants et bien meilleur SAV. Eats est victime de son succès et n’arrive plus à suivre. Commandes incomplètes, application qui plante et annule les commandes après 1 heure d’attente… Livreurs très désagréables qui critiquent constamment Uber … Injoignable par téléphone, réponse aux mails trop tardives voire inexistantes. Bref, passez votre chemin!

  3. Commandé et reçut sans soucis, le repas étais correct.
    Vous pouvez profiter également de 10€ de réduction en utilisant mon code de parainage : eats-2955tbdzue

  4. Bonjour,

    10€ de réduction sur votre première commande via l’application UberEATS avec le code suivant:

    eats-engtpz3vue

    Bon appétit 😉

  5. Je déconseille fortement entre la vente forcée et l’enregistrement illégal de vos moyens de paiement que vous n’en pouvez pas supprimer ensuite (preuve en photo à l’appui) vous serez surtout ravi de constater les dégâts en ouvrant vos paquets.
    J’ai commande seulement 3 fois: 1 fois c’est arrivé limite froid, 1 fois avec autre chose que ce que l’on avait commandé et la dernière c’etait une commande obligé d’accepter de force car passer à mon issu en voulant simplement visualiser mon panier et ce malgré mon appel au service client qui m’a informé que l’on ne pouvait pas annulé une commande (1ère nouvelle vu que ce n’est mentionné nul part) et que même en cas de refus de la commande je serais facturé.
    Le plus beau dans tout ça c’est que cette fameuse commande est arrivée en vrac (c’était des pâtisseries pour la saint Valentin) et qu’elle n’a pu se faire de force que par l’enregistrement illégal de mes moyens de paiement.

    Pour info, la CNIL indique que: « La Com­mis­sion sou­haite égale­ment pré­ci­ser qu’en aucun cas le numéro de carte ban­caire n’est sus­cep­tible d’être uti­lisé pour ser­vir de réfé­rence. Elle rap­pelle à cet égard que, confor­mé­ment à la posi­tion expri­mée dans sa déli­bé­ra­tion n° 03 – 034 du 19 juin 2003 por­tant adop­tion d’une recom­man­da­tion rela­tive au sto­ckage et à l’utilisation du numéro de carte ban­caire dans le sec­teur de la vente à dis­tance, la durée de conser­va­tion d’un numéro de carte ban­caire ne sau­rait excé­der le délai néces­saire à la réa­li­sa­tion de la transaction »

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