Les hotpsots publics ne sont pas toujours disponibles dans toutes les villes, et ceux que l’on peut trouver dans les cafés ou les restaurants ne sont pas toujours très fonctionnels. Le Royaume-Uni en a conscience et a semble-t’il envie de se mettre à la page. La ville de Chesham, située dans les Chilterns, va prendre les devants en proposant bientôt des hotspots Wi-Fi directement implémentés dans les trottoirs.
Ces « smart pavements», littéralement trottoir intelligent sont connecté directement à la fibre de Virgin Media, et devrait proposer des débits jusqu’à 166 Mb/s. Les habitants de la ville pourront donc aisément télécharger des musiques, des vidéos et même des jeux en quelques minutes. Ces derniers devraient facilement se fondre dans le mobilier urbain, bien qu’une plaque de résine spéciale devrait les protéger contre les éléments. Les 21 000 habitants de la ville de Chesham sont donc invités à prendre part à l’initiative.
Fred Wilson, conseiller de la ville, s’est félicité de la mise en place du système.
« Je suis enchanté que l’on puisse être la première ville du Royaume-Uni à proposer ce type de WiFi ultra-rapide, qui va aider les gens, mais aussi les magasins à se connecter en ligne. Une connectivité efficace est primordiale pour faire du commerce aujourd’hui, et je suis fier de faire partie d’un projet qui repousse les limites.”
Une bonne idée, en somme.
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Et en Suisse, c’est la téléphonie mobile qui s’installe sous nos pieds (voir l’extrait de presse):
Une solution novatrice pour augmenter les capacités: installer des antennes de téléphonie mobile dans les chambres à câbles
Dans les grandes agglomérations, les clients sont nombreux à utiliser l’Internet mobile au même moment. Pour pouvoir leur offrir les débits nécessaires, Swisscom a choisi une approche innovante: elle installera des antennes de téléphonie mobile et des microcellules spécialement conçues pour cet usage dans les chambres à câbles du réseau fixe, situées sous la chaussée, et utilisera les raccordements au réseau électrique et à Internet qui s’y trouvent. Ces antennes devront résister à des contraintes importantes, qu’il s’agisse de conditions climatiques extrêmes ou du poids de camions de 40 tonnes. Des essais concluants ont déjà eu lieu en ville de Berne au premier semestre 2015, de sorte que le projet pilote, réalisé en collaboration avec Ericsson et Kathrein, va prochainement être étendu à Bâle, Lausanne et Zurich. Si le test est réussi, une introduction généralisée est envisageable dès 2016. Pour ce type d’antennes également, les valeurs limites d’immissions en matière de rayonnement non ionisant sont scrupuleusement respectées.
Merci pour les infos !
Tu marches pépère au dessus de la plaque d’égout et pan une bonne dose de rayonnement en plein dans le paquet XD