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[Fin du jeu] La Police nationale nous rappelle ce qu’encourent les amateurs de « swatting »

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Pratique plutôt courante outre-atlantique, le swatting semble également se démocratiser chez nous. Et la police nationale a tenu à rappeler les sanctions prévues. Il n’aura pas…

Pratique plutôt courante outre-atlantique, le swatting semble également se démocratiser chez nous. Et la police nationale a tenu à rappeler les sanctions prévues.

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Il n’aura pas fallu attendre bien longtemps pour que le swatting (référence à l’unité d’élite américaine) débarque en France. Cette pratique, qui consiste à appeler la police et déclarer un faux meurtre afin que les forces de l’ordre déboulent chez la victime, vient en effet de toucher plusieurs streamers français.

C’est le cas de Pierre-Alexis Bizot, connu sous l’alias DominGO, un streamer spécialisé dans League of Legends (et COD) et de Bruce Grannec, multiple champion du monde de FIFA. Ces deux gamers ont en effet vu débarquer le GIGN chez eux ce week-end suite à un appel malveillant.

Ce ne sont pas les premiers cas dans l’hexagone, puisque les streamer Bibix et Aypierre ont déjà subi ces désagréments. Heureusement, toutes ces arrestations se sont déroulées sans violences. Mais chacune des victimes a été choquée par l’expérience.

La police a donc décidé d’ouvrir une cellule dédiée, tout en rappelant les lourdes peines encourues pour ce genre de délits (avec un petit jeu de mot en passant) : 2 ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.

Malheureusement, il est souvent difficile de rattraper les fautifs, qui peuvent parfois se trouver à l’étranger ou masquer leur localisation.

On souhaite donc bon courage aux streamers concernés, mais aussi aux personnes chargées de s’occuper du problème.

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