Malheureusement, la suite de l’aventure n’a pas donné les fruits escomptés. La console s’est finalement révélée assez quelconque et surtout, les développeurs n’ont pas massivement embarqué dans l’aventure. Résultat : un catalogue limité, comprenant certes une ou deux pépites, mais qui s’est révélé largement insuffisant pour transformer l’essai. Sans oublier quelques incompréhensions avec la communauté des développeurs concernant le financement de leurs titres…
Ouya a connu un peu plus de succès en licenciant sa plateforme et ses jeux, qui sont au nombre de 1 000. C’est cet aspect des choses que Julia Uhrman, la PDG de l’entreprise, compte valoriser. Elle a envoyé un mémo à des investisseurs il y a quelques jours, afin de trouver un repreneur. Il semble que la société n’a pas réussi à remplir les conditions financières d’un de ses actionnaires et que la renégociation concernant la dette de l’entreprise avait échoué.
D’ici la fin du mois (très bientôt, donc), Ouya espère avoir avancé sur ce dossier, au moins pour débusquer des repreneurs potentiels. Le constructeur fait miroiter un catalogue plus important que celui d’Amazon pour les téléviseurs, et l’an dernier Ouya a signé un partenariat avec Xiaomi. Si le cœur et les finances vous en disent…
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En même temps, c’est pas étonnant, ils annoncent leur techno des mois, voir des années avant que ça sorte… entre temps d’autres se positionnent sur le marché …
C’est le même topo avec l’occulus rift qui à force de faire des annonces, sortira un produit grand public obsolète.
Le souci majeur de cette console est son pad désastreux … Si elle avait une manette digne de ce nom, la console aurait cartonnée. Pour moi c’est la seule raison pour laquelle ma OUYA reste dans sa boite …
N’importe quoi. Tu crois que le succès d’une console se résume à la qualité de son pad, quand tu peux très bien y brancher une manette de xbox ou de ps et bien d’autres ?
j’ai la ouya, le pad me va très bien, mais la qualité du software n’est pas au rendez-vous premièrement. Rajoutes à cela un management désastreux, et tu obtiens le cas d’école de l’histoire du crowdfunding