Malgré le changement de suffixe nominal, une joueuse s’avère être un joueur comme un autre. Dotée d’organes de reproduction féminins, la joueuse tient sa manette avec les deux mains et presse boutons et gâchettes à l’aide de ses doigts. Selon une étude scientifique, si on laisse une joueuse dans une pièce suffisamment longtemps avec un stick arcade, un combo clavier/souris et les jeux adéquats, elle peut s’en servir. Chaque jour le virus du jeu touche de plus en plus de personnes à travers le monde, sans distinction d’âge ou de sexe. Le fléau touche donc les femmes qui deviennent des joueuses (ou les gameuses) du jour au lendemain, sans aucune autre raison que l’envie de se divertir. Malgré certaines idées reçues, les joueuses perçoivent d’autres couleurs que le rose ou les nuances de pastels et ne sont pas plus attirées qu’un autre par les jeux où il faut caresser des chiens et des poneys.
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