Passer au contenu

Drone : des ailes flexibles pour resister aux chocs en plein vol

Des chercheurs de l’Université de Stanford travaillent sur une aile semblable à celle d’un oiseau dont la structure flexible lui permettrait d’encaisser les chocs. Devant permettre…

Des chercheurs de l’Université de Stanford travaillent sur une aile semblable à celle d’un oiseau dont la structure flexible lui permettrait d’encaisser les chocs.

Devant permettre à de futurs drones de continuer à voler après avoir rencontré un obstacle, ses ailes flexibles leur offriraient également d’accéder à des espaces confinés ou par exemple, se faufiler dans des environnements denses peuplés de feuillages.

Capable de se plier pour revenir à sa forme originale, l’aile en question (composée d’une structure en fibre de carbone recouverte d’un film de type mylar) combinerait des propriétés de celles des oiseaux avec celles des chauves-souris.

Avec une propulsion assurée par le vol battu, ces drones devraient être en mesure de parcourir de plus longues distances pour mener à bien des missions d’observation et de surveillance…

aile

🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

Source : Source

5 commentaires
  1. Et accessoirement de faire moins de bruits que les tondeuses à gazon volante actuel.

    On entendra plutôt ‘flap flap flap’ 😀 (et pas autre chose bande de coquinou)

  2. Je ne comprend pas bien comment “ses ailes flexibles leur offriraient également d’accéder à des espaces confinés ou par exemple, se faufiler dans des environnements denses peuplés de feuillages”

    Une fois un obstacle touché l’appareil va perdre sa portance et tomber. de plus l’envergure totale de l’appareil augmente considérablement, pas vraiment compatible avec les espaces confinés.

    Je verrais plus l’utile de ces ailes pour couvrir de longues distances, en altitude. Le drone déploie alors ces ailes en plastique pour gagner en portance et préserver sa batterie, les rotor ne servant alors que pour ajuster la trajectoire / compenser l’altitude.

  3. On se croirait propulsé dans “les mondes d’Aldébaran” de Léo !… Un prédateur a précisément cet aspect dans la série “Antarès” !…

Les commentaires sont fermés.

Mode