Cela implique d’utiliser un matériel facile à nettoyer ou, dans la plupart des cas, jetables. Dans le cas d’équipements technologiques, c’est évidemment plus délicat. À la demande de Médecins sans Frontières, Google a mis au point une tablette recouverte d’une couche de polycarbonate, dont le nettoyage est facile : un coup de chlore permet en effet de décontaminer l’appareil.
La tablette communique à distance avec des serveurs placés loin des zones de danger, permettant ainsi de conserver les données des patients en toute sécurité. Cette innovation ne se limitera pas aux opérations contre Ebola : la tablette pourra aussi être utile sur d’autres théâtres d’opération contre des épidémies. Google et Médecins sans Frontières planchent d’ailleurs sur l’ouverture open-source de ce projet.
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Comme le jeu plague inc. ,une tablette apparait pour sauver le monde 🙂
Citation du site de l’OMS : « La transmission nécessite un contact direct avec le sang, les sécrétions, les organes ou les liquides biologiques de la personne ou de l’animal infecté, vivant ou mort, autant d’expositions peu probables pour le voyageur lambda. »
Pour une maladie qui n’a fait “que” 10000 morts en un an alors qu’environ 2000 gosses par jour y meurent de diarrhée, ils feraient mieux de foutre le fric autre part… D’autant que dans la plupart des cas des sacs plastiques sur les mains (ou les zones en contact) suffisent à se protéger…
@Tim
Mais oui c’est clair, comme ça on donnera une putain d’occasion à l’ebola de se propager partout et comme ça on meurt tous !
Tim dit juste qu’il faut adapter les moyens en fonctions des besoins. @Unknow > Cherche sur internet “Where we donate VS diseases that kill us”, pour trouver l’illustration qui va avec tout ca. Tout est dans ce graphique, il faut adapter.
Ebola ne représente aucun danger envers ceux qui on les tablettes vus que c’est un virus crée par nos chère amis ricain.
@tim “Que” 10000 morts, c’est vrai autant ne pas s’en occuper alors.
“La tablette communique à distance avec des serveurs placés loin des zones de danger, permettant ainsi de conserver les données des patients en toute sécurité.”
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Ah je savais pas que Ebola pouvait également contaminer les serveurs ! Je me coucherai moins con !