En décembre dernier, les plans et les manuels de deux réacteurs de l’opérateur Korea Hydro and Nuclear Power avaient été publiés sur le web. Plus, les informations personnelles de plusieurs des 10 000 employés de la société ont également été mis en ligne. Une attaque de grande ampleur qui aurait pu être pire, selon les enquêteurs sud-coréens, les pirates ayant tenté de pénétrer dans le système informatique de la société pour y faire de gros dégâts.
Les pirates, dont les IP viennent de Chine, ont organisé un vaste phishing auprès des employés de l’opérateur nucléaire. Selon les enquêteurs, les codes utilisés ont déjà servis dans plusieurs attaques venant du Nord. Cette attaque, selon le parquet de Séoul, visait à “instaurer un désordre social dans le pays”.
Pyongyang a répondu à ces accusations, les qualifiant d’absurdes.
La guerre psychologique continue.
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