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Elite : Dangerous + Oculus DK 2 = Un peu plus près des étoiles

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Titrer une news en utilisant une chanson d’Emile & Image, ce n’est pas anodin. Ça tombe bien, Elite : Dangerous ne l’est pas non plus. La…

Titrer une news en utilisant une chanson d’Emile & Image, ce n’est pas anodin. Ça tombe bien, Elite : Dangerous ne l’est pas non plus.

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La dernière gamescom fut pour nous l’occasion de mettre la main sur Elite Dangerous, le space sim du studio Frontiers. Digne concurrent de Star Citizen et du prochain No Man’s Sky, cette ancienne gloire du jeu spatial nous avait tapé dans l’œil, comme nous vous l’indiquions dans nos impressions.

De passage en France, les développeurs nous ont permis de réessayer le soft dans les meilleures conditions. C’est donc équipé de l’Oculus Rift DK 2, et d’un joystick et accélérateur (HOTAS Warthog il me semble) que nous sommes partis faire un tour dans l’infiniment grand pendant une trentaine de minutes. L’occasion de se battre avec quelques pirates plutôt durs à cuire, mais surtout d’admirer le travail réalisé par le studio. Si on ne peut pas encore s’exprimer sur les différentes interactions mises en place lors de la sortie définitive, on peut au moins être sûr qu’il ravira les plus contemplatifs d’entre nous. Son algorithme procédural devrait en effet permettre de visiter 400 milliards de systèmes solaires. Autant dire que les amateurs ne devraient pas s’ennuyer.

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La promesse est assez similaire à celle de Star Citizen. Vous pourrez donc choisir d’être un commerçant, un mineur, un pillard ou un explorateur à la recherche de terres riches en ressources. La loi de l’offre et de la demande devrait s’appliquer puisque vous pourrez également acheter des biens à bas prix pour les revendre plus cher, après avoir traversé des régions particulièrement dangereuses. Plus d’une vingtaine de vaisseaux devraient être disponibles lors de la sortie du jeu. Les dogfights sont assez ardues, et la prise en main demande un bon moment d’adaptation. On regrette néanmoins qu’une vue à la 3e personne ne soit pas disponible, car elle aurait pu s’avérer utile à certains moments.

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Comme nous vous le disions, Elite : Dangerous est compatible avec l’Oculus, et le résultat est époustouflant. Couplé avec un joystick, c’est une des expériences les plus rafraichissantes qu’il m’ait été donné de vivre depuis quelques années. Passé l’émerveillement, on espère que le titre proposera des quêtes assez intéressantes sur la durée. Mais on ne demande qu’à y croire.

Elite : Dangerous est prévu pour le 16 décembre prochain, et nous vous en reparleront bientôt.

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