Ce qui fait plaisir et saliver d’avance c’est le livre en lui-même. Beau, très soigné dans sa conception, ses textes, illustrations et photographies. Pour faire simple, après l’avoir feuilleté, j’avais déjà une faim de loup.
On a comme l’impression de pénétrer au Pays Imaginaire de Peter Pan, dans le film Hook, où, lors du repas, les enfants perdus devaient faire marcher leur imagination pour remplir les assiettes vides posées sur la table, lorsque la magie opère enfin, c’est une avalanche de couleurs et de plats plus originaux et appétissants les uns que les autres.
Ici, tous ces plats ont pris forme autour de 5 grands thèmes introduits par une petite histoire : science-Fiction, fantasy, mangas, horreur fantastique et comics réunissant des titres tels que Retour vers le futur, Dragon Ball, Thor, Conan Le Barbare, Dracula, Hellboy, Candy ou encore Harry Potter, Docteur Who ou Star Wars.
Ainsi vous pourrez déguster le burger de Biff Tannen de Retour vers le futur, et même l’œil de Sauron qui hante l’univers du Seigneur des anneaux mais aussi le buffet sushi de Chichi version Dragon Ball.
Tout en réalisant de nouvelles recettes, on apprend plein de choses dont le vocabulaire culinaire via des lexiques clairs (comme « émonder » les tomates, que je n’avais jamais employé et qui se révèle beaucoup plus simple et court que : « tu peux faire une croix à la base des tomates, les plonger dans l’eau frémissante pendant une minute afin de les peler plus facilement ? »), on découvre de nouveaux aliments, des techniques à employer pour faciliter la réalisation des plats, des astuces sont disséminées ci et là et des accessoires de cuisine comme des pochoirs se sont également glissés à l’intérieur.
Un vrai livre de cuisine donc, pour apprenti gastronogeek, débutant ou confirmé. Le livre est une réussite… ne reste plus qu’à réussir les recettes !
Gastronogeek (Hachette Pratique) est disponible dès maintenant pour 22,50 euros.
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J’ai foncé le jour de sa sortie en magasin pour l’acheter mais en le feuilletant j’ai été très déçu: beaucoup de recette que je n’aimerais pas avoir dans mon assiette (comme le cerveau présenté en photo ci-dessus). C’est dommage car l’idée était très bonne à la base mais je trouve que la moitié des recettes ne sont pas attirantes et ne renvoie pas au premier coup d’oeil à la référence qu’ils évoquent. Ça reste un très bel ouvrage par contre, la présentation est très soignée.
Ca à l’air cool franchement et je trouve que les recettes donnent envie, à voir.
Soron !!
Perso, je trouve cet ouvrage très cher.
22,5€ pour 42 recettes …. c’est prendre le geek pour une grosse burne !
Dommage l’idée était bonne !
@jean bobby : il y a quand même un gros travail derrière, normal qu’il fasse se prix. si pour toi il y a juste le ration prix/nombre de recettes, dans ce cas tu peux te contenter du larousse de la cuisine tout moche et te débrouiller pour trouver une façon geek de les faire.
ce livre on l’achète pas pour le nombre de recettes, mais aussi pour le visuel qui est offert dedans et les idées qu’on peut piocher. moi même quand je fais des recettes, je préfère des recettes de base et donner des indices pour les customiser. cet ouvrage me donnera sûrement des idées.
@luigi di biagio : moi c’est le contraire. le cerveau me fait envie 😉 ce prendre pour un zombie, tout ça
.
ce n’est qu’un’ question de goût après.
ça aurait été sympa des recettes vu dans les films…
…histoire de reproduire le repas du film a la maison
Genre, la recette d’Hannibal lecter,
je viens de le recevoir à l’instant.
franchement, il vaut bien plus que 22.5 euros. non seulement il y a 42 recettes, mais ils fournissent un lexiques, quelques recettes de base à associer pour plusieurs plats, là je suis sur un lexique du goût (genre l’auberginne ça va bien avec .. mais pas avec …), les différents fruits et légumes de saisons, il y a également un conte qui l’accompagne et même une énigme à déchiffrer.
le livre en lui même est d’une qualité folle. couverture rigide avec reliefs et sur impression, pages en couleur, 140 pages.
la seule chose que je peux reprocher c’est que quasiment toutes les recettes demandent quelques ingrédients peu communs (en même temps logique en fait).