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[Infographie] Droit à l’oubli : éligibilité, demande et recours

Vous vous demandez encore à quoi sert le droit à l’oubli numérique et à la désindexation ou comment faire valoir ce droit ? Cette petite infographie…

Vous vous demandez encore à quoi sert le droit à l’oubli numérique et à la désindexation ou comment faire valoir ce droit ? Cette petite infographie est faite pour vous.

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Depuis la demande de la CJUE faite à Google d’honorer le droit à l’oubli numérique, il s’est dit beaucoup de choses. Les uns critiquant la décision, les autres la réponse donnée, quand d’autres n’en comprennent ni les tenants ni les aboutissants.

Qui peut y prétendre ? Que faire en cas de non éligibilité ? Comment se mettre en contact avec l’un des moteurs de recherche ayant mis en place un formulaire (Google et Bing en l’occurrence ? Y-a-t-il des recours possibles en cas de non acceptation ? Quels sont-ils ?

Pour y voir plus clair, réputation VIP et forget.me (site accompagnant les demandes de droit à l’oubli) ont mis au point cette infographie, simple et ludique et vous fournissent quelques conseils et informations supplémentaires : bien rédiger sa demande car le droit à l’erreur, lui, n’est pas permis ; la distinction entre personne publique et privée qui reste encore floue ; les deux formulaires actuellement disponibles (sur Google et Bing), etc.

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6 commentaires
  1. C’est une bonne nouvelle : jusqu’à présent, je pensais que le citoyen lambda n’avait en réalité AUCUN moyen de se défendre si on l’agressait dans sa petite personne !… La Justice, le proc., les bavards .. euh, j’ai déjà donné !…( ou plutôt fait dépouillé, avec l’aide de la Justice “de mon pays” !… Point “positif” : je sais pourquoi la Révolution française a commencé par éradiquer les Parlements, les Cours de Justice de l’Ancien Régime !… Il faudra recommencer …) . Alors, apprendre que les acteurs se sentent assez responsables ( ou coincés ) pour s’investir pour rétablir le Droit !…. Pourquoi gâcher son “plaisir” ?…

  2. Le droit à l’oubli, sémantique éminemment politiquement correcte qu’on devrait plutôt appeler droit à l’irresponsabilité. Je n’en revient pas qu’une telle loi aussi inique ai pu être validée.

  3. @John Galt Quand tu auras un de tes gamins qui se ridiculisera sur le net, tu seras bien content de l’avoir cette lois…

  4. Illusion et utopie.
    De base, la notion de protection des données privées est complètement différente entre USA et Europe. Aux USA, tout ce qui entrave le commerce (la machine à pognon) est inadmissible et ne doit pas exister, donc protection des données privées = 0. Il y a une soit-disant anonymisation de celles-ci, mais c’est juste pour la forme.
    En Europe, le problème est pris plus au sérieux, la protection des données est importante pour les citoyens (Donc par extension, pour les élus désireux de plaire aux citoyens afin de se faire réélire, soit l’intégralité des escro…euh des élus).
    La différence est en partie due à la culture. En effet, les US sont les champions de la démago, bien et mal, non pas parce qu’ils sont imbus d’eux même, mais simplement pour simplifier les discours politiques à l’extrême et manipuler la population.
    Si vous voulez un aperçu, je vous invite à regarder une chaîne télé américaine pendant une journée, si vous n’avez pas de mal avec l’anglais. Bourrage de crâne, confusion et nausée sont au rendez-vous.
    Je n’ai rien contre les américains, de mon point de vue, tout être humain en vaut un autre, c’est juste que le bourrage de crâne est plus intensif dans leur contrée.

Les commentaires sont fermés.

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