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Ultra II : le SSD d’un To commence à devenir abordable chez Sandisk

Il n’y a encore pas si longtemps, sur le terrain des SSD la lutte s’opérait plus sur les performances que sur les prix. C’est désormais l’inverse. La…

Il n’y a encore pas si longtemps, sur le terrain des SSD la lutte s’opérait plus sur les performances que sur les prix. C’est désormais l’inverse. La technologie évoluant moins rapidement qu’auparavant, on arrive désormais à atteindre assez aisément les 500 Mo/s en lecture sans faire monter les prix. La technologie est mature, l’heure est donc à la guerre des prix.

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Ce n’est pas l’Ultra II dévoilé par SanDisk hier qui dira le contraire. Comme l’indique le communiqué,”ce nouveau disque est conçu pour apporter une solution de mise à jour simple et économique aux utilisateurs de PC souhaitant améliorer la performance de leur appareil.”

Autrement dit, il se veut être un point d’entrée dans le merveilleux monde du SSD. Pour avoir récemment procédé au changement sur un ordinateur portable vieillissant, ça vaut le coup.  Mais c’est justement le prix qui empêche souvent les utilisateurs d’entrer dans le merveilleux monde du SSD.

Sans sacrifier les performances, en annonçant 500 Mo/s en écriture et 550 en lecture, SanDisk propose ses disques aux tarifs suivants :  120 Go pour 74,90 euros, 240 Go pour 109 euros,  480 Go pour 209 euros et enfin 960 Go pour 409 euros. Des prix agressifs toutefois un peu plus élevés que ceux des SSD d’AMD dont nous parlions hier.

Vous aurez en contrepartie des performances légèrement supérieures et quelques optimisations made in SanDisk. On citera par exemple un traitement pour les rendre encore plus résistants aux chocs et le Dashboard SSD de la marque permettant modifier divers paramètres et comprenant des outils de maintenance. La garantie est fixée à trois ans. Ils seront disponibles dans le courant du mois de septembre.

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2 commentaires
  1. Pour être complets, vous auriez pu indiquer qu’ils utilisent de la mémoire TLC moins rapide. Pour compenser et arriver à tenir les 500 Mo/s, ils utilisent une partie de la mémoire en mode SLC. Le débit de 500 Mo/s n’est donc valable que pour l’échange avec le tampon, dont la taille n’est pas précisée.

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