Suite aux retraites cette année de Hayao Miyazaki et d’Isao Takahaka, Toshio Suzuki, co-fondateur du studio Ghibli, a annoncé que le studio d’animation japonais stoppait son activité longs-métrages.
Quand Marnie était là (Omoide No Marnie) sorti le 19 juillet dernier au Japon, sera donc le dernier long-métrage signé Ghibli. Mais rassurez-vous, après 30 ans d’existence le studio ne ferme pas ses portes pour autant, ses pôles TV et publicité, ainsi qu’une équipe consacrée aux futurs « petits projets » de Miyazaki, restent en place. Quant aux longs-métrages victimes de leurs coûts bien trop élevés de production, on espère vivement que ce ne soit en fait qu’une longue pause…
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C’est au pause le temps de se restructurer.
Et de trouver des remplaçants aux 3 chefs de projet
D’après Buta Connection, ils sont plutot en train de revenir au fonctionnement qu’ils avaient avant Porco Rosso. C’est à dire qu’ils vont licensier l’équipe permanente d’animateurs et qu’ils fonctionneront par projet. Si ils en jugent un viable et qu’ils ont le financement, ils embaucheront des animateurs pour la durée du développement.
C’est dégueulasse pour les employés… Ils ne veulent plus que s’engraisser sur les droits acquis… bel esprit :/.
Gotonin : Si trouver le remplaçant de Miyazaki et rencontrer le succès à chaque sortie étaient choses aisées, Ghibli n’aurait pas à revoir sa stratégie. La vie d’une entreprise ne se résume pas à un affrontement entre employès victimes et patrons cupides.
“on espère vivement que ce ne soit en fait qu’une longue pause…”
C’est d’ailleurs ni plus ni moins que ce que dit le titre de VOTRE source : “suspend”
Mieux encore, toujours VOTRE source :
“Pour le moment, nous allons faire une courte pause pour examiner dans quelle direction aller”
Lisez-vous au moins vos sources avant de faire un article ?
Et bien sûr vous annoncez fièrement aux lecteurs que le studio stoppe ses activités. Quel intérêt de faire une news où vous jouez avec l’information ?
@Ced : c’est toujours mieux un titre catastrophe. ça t’a fait cliquer, voilà l’intérêt.