Kai Yu, directeur de l’unité de recherche de Baidu, a cependant tenu à assurer que si ce véhicule agira comme assistant intelligent capable de collecter des données sur la route, il ne s’agit pas pour autant d’une voiture sans chauffeur. Pour autant, la « Baidu car » se doit de donner un maximum de liberté au conducteur.
« La liberté signifie que la voiture est suffisamment intelligente pour opérer par elle même, comme un cheval, et prendre des décisions selon la situation de la route ». Mais si le pilote veut prendre le contrôle, il pourra le faire très simplement. Yu file la métaphore chevaline : « C’est comme monter à cheval, plutôt que d’être assis dans une voiture où il n’y a qu’un bouton ».
De fait, le prototype disposera d’un volant et de pédales, au contraire de la voiture présentée par Google il y a quelques semaines. Pour le moment, c’est tout ce que Baidu peut livrer comme informations, mais de ce qu’on peut en imaginer, ce véhicule ressemblera plus à ce qu’Audi et d’autres constructeurs ont en préparation, à savoir un système d’aide à la conduite bien plus développé que ceux d’aujourd’hui.
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Et après y aura encore des gens qui se trompent en pensant que les voiturettes sont des dangers publics… Ca va bien au contraire réduire le nombre d’accidents surtout avec des personnes moins attentives que d’autres roulant avec une voiture sans permis.