Pendant toute la durée du salon, notre envoyé spécial Kocobe vous livrera ses premières impressions sur les jeux du salon (vous pouvez également le suivre via notre compte Twitter @JduGamer). Ici, celles sur Forza Horizon 2.
On quitte le festival du Colorado pour le sud de l’Europe. Avec Forza Horizon 2 Le wub wub vroum vroum s’exporte outre-Atlantique.
Coucher de soleil, dubstep et boîtes à gants. Voilà comment aurait pu s’appeler Forza Horizon à l’époque. Je pense que cette fois-ci, Forza Horizon 2 aurait pu s’appeler coucher de soleil, dubstep et boîtes à gants oh-putaing-cong. Il n’y a aucune raison que vous n’aimiez pas ce nouvel épisode si vous aviez aimé les éléments YOLO du premier. Et je dis YOLO si je veux.
On troque donc les vastes espaces arides du Colorado pour les bords de mer étriqués du sud de la France et des côtes Italiennes. Ce ne sont absolument pas des côtes existantes. Il s’agit seulement de l’inspiration du lieu. Les graphismes, comme tout bon jeu de course qui se respecte, sont époustouflants et le dépaysement voulu par les développeurs est présent.
Le côté beginner friendly du premier opus est toujours présent. Conduire ces voitures de course est facile si on décide que ça doit être facile. Il est toujours possible de conduire avec deux boutons et le stick tout comme se mettre une conduite plus technique à base de frein à main, de débrayage manuel et de plein de choses qui ne me regardent pas, moi, sale néophyte du volant virtuel.
Les rewinds sont (heureusement pour moi) toujours de la partie et vous permettent de rattraper un mauvais coup de volant ou un freinage trop tardif en vous ramenant quelques secondes en arrière. Toujours aussi pratiques à utiliser, les vrais ne s’en serviront pas. Ceux qui veulent juste s’amuser, si.
Forza Horizon 2 change de cadre, mais pas de formule et c’est une bonne chose. S’il propose une carte aussi vaste que le premier, des défis partout tout le temps comme le premier, du bon son comme le premier, il n’y a aucune raison que ce ne soit pas un excellent jeu.
Forza Horizon 2, ça sera sur Xbox One et Xbox 360 et ça sera bien. Ça sort le 30 septembre prochain.
On quitte le festival du Colorado pour le sud de l’Europe. Avec Forza Horizon 2 Le wub wub vroum vroum s’exporte outre-Atlantique.
Coucher de soleil, dubstep et boîtes à gants. Voilà comment aurait pu s’appeler Forza Horizon à l’époque. Je pense que cette fois-ci, Forza Horizon 2 aurait pu s’appeler coucher de soleil, dubstep et boîtes à gants oh-putaing-cong. Il n’y a aucune raison que vous n’aimiez pas ce nouvel épisode si vous aviez aimé les éléments YOLO du premier. Et je dis YOLO si je veux.
On troque donc les vastes espaces arides du Colorado pour les bords de mer étriqués du sud de la France et des côtes Italiennes. Ce ne sont absolument pas des côtes existantes. Il s’agit seulement de l’inspiration du lieu. Les graphismes, comme tout bon jeu de course qui se respecte, sont époustouflants et le dépaysement voulu par les développeurs est présent.
Le côté beginner friendly du premier opus est toujours présent. Conduire ces voitures de course est facile si on décide que ça doit être facile. Il est toujours possible de conduire avec deux boutons et le stick tout comme se mettre une conduite plus technique à base de frein à main, de débrayage manuel et de plein de choses qui ne me regardent pas, moi, sale néophyte du volant virtuel.
Les rewinds sont (heureusement pour moi) toujours de la partie et vous permettent de rattraper un mauvais coup de volant ou un freinage trop tardif en vous ramenant quelques secondes en arrière. Toujours aussi pratiques à utiliser, les vrais ne s’en serviront pas. Ceux qui veulent juste s’amuser, si.
Forza Horizon 2 change de cadre, mais pas de formule et c’est une bonne chose. S’il propose une carte aussi vaste que le premier, des défis partout tout le temps comme le premier, du bon son comme le premier, il n’y a aucune raison que ce ne soit pas un excellent jeu.
Forza Horizon 2, ça sera sur Xbox One et Xbox 360 et ça sera bien. Ça sort le 30 septembre prochain.
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