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Elon Musk pourrait construire une voiture volante

Elon Musk, le bouillant patron de SpaceX (navettes spatiales) et de Tesla (constructeur automobile) ne manque pas une occasion pour épater son monde. Le milliardaire, qui…

Elon Musk, le bouillant patron de SpaceX (navettes spatiales) et de Tesla (constructeur automobile) ne manque pas une occasion pour épater son monde.

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Le milliardaire, qui a inspiré l’attitude du personnage de Tony Stark pour les films Iron Man, a déclaré à un quotidien anglais qu’il pourrait tout à faire construire une voiture volante. Mais voilà, « ce n’est pas le plus difficile », s’est-il repris.

Dans l’esprit d’Elon Musk, la conception et la construction d’une voiture volante restent relativement aisées. D’ailleurs, Toyota s’est déjà intéressé au problème, tandis que le constructeur Terrafugia espère pouvoir commercialiser ses premiers modèles Transition en 2016.

Non, le problème est de deux ordres. D’une, la sécurité : déjà que la conduite sur route pose de gros problèmes à de nombreuses personnes, on n’ose imaginer ce qu’il en irait s’il fallait en plus les faire voler.

Mais surtout, voler n’est pas donné à tout le monde. Il faut passer un brevet (20 heures de vol de formation pour la Terrafugia, par exemple), et espérer disposer d’un aéroport près de chez soi pour avoir l’autorisation d’atterrir — et c’est sans compter la législation à adapter ni le prix d’un tel véhicule.

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8 commentaires
  1. Pour le brevet de pilote privé:

    Pour se présenter au test pratique, il faut avoir 17 ans révolus et avoir effectué au minimum 45 heures de vol dont 25 en instruction et 10 en solo supervisé (dont cinq hors du circuit d’aérodrome et un vol de plus de 150 NM avec deux étapes intermédiaires différentes

    On est loin de vos 20h stipulé dans l’article..

  2. @Eric : A moins que ce véhicule se classe dans la catégorie ULM, dans ce cas, ce n’est plus la même chose.

    Pour obtenir le brevet de pilote ULM, quelque soit la classe concernée, il faut :

    -Avoir 15 ans révolus
    -Etre titulaire du certificat théorique tronc commun, délivré par l’Aviation Civile. (Examen sous forme de QCM, organisé par les délégations territoriales).
    -Avoir satisfait, auprès d’un instructeur de la classe correspondante, à :
    .Une épreuve au sol. (Contrôle des connaissances théoriques de la classe d’ULM
    pratiquée).
    .Une épreuve en vol. (Vérification des procédures et de l’aptitude à piloter un ULM en
    toute sécurité. Peut se réaliser en contrôle continu, ou par un vol spécifique).

    L’instructeur établit les différentes attestations, qui seront exigées par la délégation territoriale de rattachement, pour la délivrance du brevet de pilote.

  3. Un petit avion 4 places est plus léger qu’une voiture hein au cas ou.
    Donc une voiture volante, tu peux de suite oublier la catégorie ULM..

  4. @Eric, le poids de cet engin biplace est de 440kg et entre dans la catégorie ULM Classe 3 (Multiaxe) : La masse maximale est inférieure ou égale à 300 kg pour les monoplaces et 450 kg pour les biplaces.

    Ces masses peuvent être augmentées de 5 % dans le cas où l’ULM est équipé d’un parachute de secours, ou de 10 % dans le cas d’un ULM à flotteurs.

    Et un Cessna 182T de 4 places pèse quand même 906kg. Moins lourd, le Robin DR-400, que je pilote au passage, peut aller de 550 à 650kg selon les versions.

  5. Il faut arreter là.. ce dont il est question ce sont des petits avions personnels pour les particuliers..

    Une voiture volante dans l’imaginaire de nous tous ça n’a pas d’ailes… une voiture quoi !!!

    Et pour ceux qui se rappellent de Retour vers le futur :
    – ” On dirait un avion, mais ça n’a pas d’ailes ”
    – ” non, c’est pas un avion! “

Les commentaires sont fermés.

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