En effet, la société de sécurité informatique indique avoir été contactée par les équipes d’Ubisoft Montréal pour jeter un œil au scénario du jeu. Le but ? Rendre tout cela crédible, le tout en n’impactant pas sur le gameplay. Contactés début 2013 après l’affaire Red October rendue public par Kaspersky Lab, la société a conseillé Ubi et validé le scénario et les éléments de gameplay autour du piratage informatique.
Lorsque nous avons entendu parler du jeu pour la première fois, nous avons été vraiment intrigués. Ubisoft s’est montré assez crédible concernant la prévision des futures menaces et la tournure que pourraient prendre nos villes dans 5 ou 10 ans. Nombre des actes de piratage mis en scène dans le jeu sont d’ores et déjà une réalité et illustrent ce qu’il pourrait arriver si le contrôle des systèmes tombait entre de mauvaises mains. Le joueur peut lui-même en prendre le contrôle et observer les problèmes causés aux personnes de son entourage. En poussant à l’extrême, il peut semer le chaos dans la ville. Ses actions pourraient même blesser, voire tuer, des gens,
affirme Vitaly Kamlul, chercheur au sein de Kaspersky.
Néanmoins, il faut nuancer. En effet, Henri du Journal du Gamer, actuellement en plein test de Watch Dogs, m’indique dans l’oreillette que non, le scénario est en réalité loin d’être crédible. Les éléments concernant le hack informatique frisent même le n’importe quoi, parfois.
Mais même Thomas Geffroyd d’Ubisoft nuance, nous rappelant qu’au fond, Watch Dogs n’est qu’un jeu :
Nous avons dû prendre certaines libertés pour préserver le côté ludique et l’accessibilité, c’est pourquoi Vitaly et son équipe nous ont conseillés sur la façon adéquate d’intégrer ce contenu à un jeu vidéo.
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Ah oui, c’est vrai qu’ Henri du journale du gamer est plus crédible qu’un chercheur de chez Kaspersky…
C’est bien des blogueurs objectifs :p
Une ville connectée avec un système central est à l’heure actuelle techniquement tout à fait plausible.
Ce Henri, il joue sur console, hmm ?
Je voudrai pas faire mon rabas-joie mais c’est tout de même à peu près logique et pas si extraordinaire. Je veux bien que les scénaristes ne soient pas forcément des pros de la sécurité mais Ubi c’est quand même une boite d’informatique. Même en interne ils doivent être capable de sentir si y a une suxerie dans le scénar’.
On vois des tas de conneries que ce soit d’un point de vue scénario (Virus capable donner accès à n’importe quel système) ou graphique (Barre de progression du piratage au sein même de prog piraté => Piratage en cours, nous sommes piraté à xx%) sur le piratage dans les films. Mais dans le domaine du jeux video où on bosse avec les technicos du début à la fin, ça me ferai mal que les gars se plantent à ce point.
@ 4zaheim
On me dit que juste pour satisfaire vos demandes, UBI va s’associer avec Kaspersky pour proposer un mode extrême du jeu. Tout sera ultra réaliste et pour finir le jeu il vous faudra hacker de manière réaliste en ligne de commande et tutti quanti dans différents languages informatiques tous les systèmes présents dans le jeu mais un par un.
Du fun, du fun, du fun !!!
Bien sûr le terminal de commande sera émulé en 4K 60fps pour satisfaire les joueurs PC.
https://www.youtube.com/watch?v=QmvL7fgp7TM
Aujourd’hui, on peut retracer des paiements faits à la carte bleue des années en arrière, grâce à l’achat et à la vente des données entre Google, Facebook et autres grands sites récoltants des informations sur leurs utilisateurs, un mec peut, moyen finance, tout savoir (ou presque) sur vous sans avoir à vous connaître. La NSA peut être plus précise que votre historique internet ou votre facture de téléphone, et j’en passe beaucoup. Donc un mec qui contrôle une ville ultra-connectée via un smartphone ne me paraît pas si irréaliste que ça.
D’ailleurs, un grand homme de la sécurité informatique a un jour dit:
“Un terminal informatique sécurisé est débranché et verrouillé dans un hangar”.
faut “root” Android
puis faut compiler Metasploit pour qu’il fonctionne sir Android.
ont a un smartphone capable de cracker le wifi et permet de pirater tous les PC Windows 98/2000/XP et les PC blider de spyware qui doit être nombreux lol
Heureusement qu’ils n ont pas demandé à Norton…
Je vais prendre la défense d’Henri mais même sans être un hackeur on se rend compte que le scénario n’est pas possible, il suffit d’y jouer pour voir que l’on est plus crédible que les hackeur représenté dans les films mais que ce n’est pas non plus hyper réaliste.
C’est du marketing le coup de “kapersky approuve” il nous l’avait déjà donner il y a quelques mois et nous le ressortes pour la sortis du jeux.
En fait, ce qui rend les piratages de WD crédibles, c’est l’existence de ctOS, le système qui contrôle toute la ville (feux, communications, électricité…). Si un tel système se fait pirater, c’est logique de pouvoir tout contrôler.
En revanche, si ce qu’on peut faire est plausible, la façon de le faire l’est beaucoup moins (barre de progression, nécessiter de voir une caméra pour la pirater…)
Sérieusement???
Mais on s’en balance que ce soit réaliste, c’est un jeux vidéo!!!
Skyrim c’est réaliste? Assassin’s Creed c’est réaliste? Starcraft c’est réaliste? La liste est longue donc je m’arrête là.
Ce qui compte c’est que le scénario et l’univers soit cohérent et logique. Après tu rajoute des dragons, des vaisseaux spatiaux ou du hacking peu importe du moment que ce soit justifié dans l’univers.
Ce qui perturbe les gens c’est que l’action se passe à notre époque mais rien n’empêche de transformer la réalité dans un cadre contemporain.
@ tous ceux qui disent que c’est illogique car il y a une barre de progression.
Ce n’est pas le programme piraté qui montre la barre de chargement mais le logiciel piratant.
C’est tout simple de découper le piratage par étapes et de les représenter par ne barre de chargement.
lol la bonne blague , le jour ou une caméra arrivera à pirater une autre en la regardant ^^
Je recommande le documentaire passé sur arte il y a quelques semaines au sujet des hackers informatiques qui est assez édifiant sur notre société moderne tourné vers la connectivité complète.
La désactivation de l’électricité d’une région ou bien des pompes régulant le cours d’une rivière à partir d’une simple connexion à une mairie ne sont pas aussi fantaisistes qu’ils n’y paraissent.