Ainsi, au cours des 10 dernières années, grâce à TomTom : 35 millions de vacanciers ont trouvé leur lieu de villégiature, 20,4 millions d’invités à des mariages ont rejoint à temps l’église de la cérémonie, 16,7 millions de candidats ont pu se rendre à un entretien d’embauche et 2,9 millions de personnes sont arrivés à l’heure pour leur premier rendez-vous. Les appareils de navigation par satellite TomTom ont parcouru 280 milliards de kilomètres, soit 700 000 années en temps de trajet cumulé.
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Ils ont oublié : “10 ans qu’on récolte vos données !”
Qualité de fabrication pas au rendez-vous, mise à jour hors de prix, lenteur pour accrocher le signal GPS… Il n’y a pas vraiment de point positif pour lutter contre un smartphone côté tomtom.
Je me souviens avec émotion du mien qui a crashé à de nombreuses reprises a proximité de gros échangeurs, qui m’a aussi aiguillé sur une mauvaise autoroute. A l’époque valait mieux avoir lu une carte avant !
Oui mais en 10 ans ils n’ont pas encore trouvé le moyen de faire une mise à jour (payante et chère) qui n’efface pas vos favoris.
C’est chiant de devoir tout se repalucher à chaque fois.
Quant aux mise à jour elles mettent parfois du temps pour prendre en compte les modifications routières comme, par exemple, la mise en service de l’A89 qui n’était toujours pas renseignée 4 mois après la mise en service de l’autoroute.
Tout comme un contournement d’une localité de ma région.
Alors à l’échelle du territoire je me pose toujours la question de savoir si l’itinéraire que je vais programmer ne va pas me valoir quelques surprises.
@Obviously
> Ils ont oublié : « 10 ans qu’on récolte vos données ! »
Certes, et c’est peut être bien pour cette même raison qu’ils n’offrent toujours pas de version GNU/Linux de leur programme de base, et qu’ils iront donc se faire cuire un oeuf avec leur matos ! Fini le temps où j’achetais n’importe quoi : désormais, c’est la compatibilité GNU/Linux qui prime !