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Dossier comics : Tout savoir sur The Amazing Spider-Man (ou presque) en dix étapes

Vous qui sortez d’un bon gros blockbuster de super-héros, vous n’avez qu’une envie, et nous l’avons bien compris : en apprendre plus sur ces étranges personnages…

Vous qui sortez d’un bon gros blockbuster de super-héros, vous n’avez qu’une envie, et nous l’avons bien compris : en apprendre plus sur ces étranges personnages vêtus de collants fluo qui s’invitent à intervalles réguliers dans nos salles obscures.

Le super-héros du jour ? Spider-Man, sur lequel nous revenons à l’occasion de la sortie en salle de The Amazing Spider-Man 2 à travers une sélection de dix moments forts qui jonchent son parcours.

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1. La nostalgie de Gwen Stacy

En deux heures de temps, vous l’avez compris, les versions ciné n’ont pas la durée nécessaire pour s’attarder sur tous les aspects de la vie de Peter Parker. En première ligne, les relations humaines de Peter qui prennent un sérieux coup dans les gencives, aussi bien chez Sam Raimi que Marc Webb. Dans cette course contre la montre, les réalisateurs font le choix (l’erreur) de se focaliser sur une seule relation amoureuse, expiant d’un revers de bobine le jeu du chat et de la souris que se livrent les demoiselles avec le gringalet à lunettes. Car aussi fou que cela puisse paraître, Gwen et MJ étaient amies, se fréquentaient, et sont toutes les deux tombées amoureuses de Peter.

La mini-série Blue reste un excellent point de départ pour ceux qui veulent en apprendre plus sur ce triangle amoureux. Jeph Loeb s’attarde longuement sur le souvenir mélancolique qui entoure le personnage de Gwen, le tout superbement illustré par Tim Sale. Le lecteur vit l’histoire à travers le regard de Peter, incapable de faire le deuil de son plus grand échec en tant que Spider-Man, aux côtés de MJ, devenue sa femme et confidente la plus proche.

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À LIRE (lien VO) : Spider-Man: Blue

Bonus : Si le trait de Tim Sale vous dit quelque chose, c’est normal, ces dessins sont le seul bon souvenir que l’on garde de la première saison de Heroes.

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2. Le face-à-face entre Tante May et Peter Parker

Dans ses premières apparitions, Tante May campait le rôle de l’insupportable mère poule, étouffante au plus haut point, prête à tomber dans les vapes à la moindre porte qui claque trop fort. Un rôle essentiel cependant car il apportait son lot d’intrigues qui influaient directement sur le moral de ce bon samaritain de Peter. Difficile de jongler entre la santé de la vieille dame et les problèmes d’argent qui en découlaient, le tout entre deux bastons, les études, et des relations amoureuses compliquées.

Quelques années plus tard, Joseph Michael Straczynski prend les rennes de la série et revigore cette vieille ficelle narrative. Tante May découvre complètement par hasard l’identité secrète de son neveu, de là découle une discussion, LA discussion, le face-à-face que l’on attendait depuis des années.

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À LIRE : The Conversation (Amazing Spider-Man v2 38)

Bonus : dans un registre moins dramatique, Tante May a été le temps d’un épisode what if le héraut de Galactus. À LIRE DEUX FOIS.

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3. Spider-Man, membre des New Avengers…

Avant de devenir une franchise à succès et de connaître une tétra flopée de spin offs papiers, la série Avengers battait tristement de l’aile. Nous sommes en 2004 et Marvel invoque alors Brian Michael Bendis pour donner un coup de fouet à l’ensemble. Ce que le bonhomme exécute à la lettre, décimant une partie du cast de l’époque et démantelant au passage l’équipe « pour de bon ». Notez les guillemets habilement placés, une nouvelle série prénommée New Avengers voit le jour le mois suivant. Le cri de guerre « Avengers Assemble » se fait au cours d’une mission improvisée, regroupant de nouveaux membres tels que Luke Cage, Wolverine et notre ami Spidey.

La série fonctionne parce qu’elle sort du carcan pompeux des menaces cosmiques pour se concentrer sur les interactions entre des personnages qui n’ont pas pour habitude de travailler main dans la main. Le ton y est aussi plus léger, notamment, vous l’aurez compris, grâce aux blagues insupportables de Spider-Man.

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À LIRE : New Avengers vol.1 en VO et en VF.

Bonus : Selon IGN, Marvel ne prévoit toujours pas d’incursions de l’homme-araignée dans les Avengers version ciné. Pas avant 2018 en tout cas, date butoir des projets prévus par Marvel.

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4. Et aussi membre des FF !

Syndrome de Wolverine, Spider-Man squatte pendant un temps toutes les crews à la mode. Les lance-toiles entre deux équipes d’Avengers, des aventures solos toujours mouvementées avec l’arrivée de Dan Slott en scénariste principal (je vous renvoie au point numéro six), et… un recrutement de dernière minute dans la dernière formation des FF ! Non pas Fantastic Four mais Future Fondation, la refonte de l’équipe originale suite à la mort de l’un des membres fondateurs.

Spidey assure l’intérim (car la mort chez Marvel n’existe qu’en CDD) en ajoutant à son arc des aventures cosmiques, pris dans les mailles de l’immense intrigue tissée par Jonathan Hickman. Assurément l’une des meilleures histoires des FF de ces dernières années. Et l’un des costumes alternatifs les plus étranges pour l’homme-araignée.

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À LIRE: Fantastic Four en VF / FF en VO.

Bonus : Spider-Man et Johnny Storm sont connus pour vivre l’une des plus belles histoires d’amour vache de l’univers Marvel. Dan Slott (encore lui) vous en conte les meilleurs passages dans ce recueil indispensable.

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5. L’araignée est un héritage

Quand JMS (monsieur Straczynski, scénariste évoqué plus haut) s’attelle aux aventures de Spider-Man, il opère des changements en profondeur. Il ajoute une donnée intéressante aux fondements du mythe en partant du principe que les pouvoirs de l’araignée sont des pouvoirs qui se transmettent. Peter Parker serait alors le descendant actuel d’une longue lignée de guerriers arachnéens.

Je vous entends crier Buffy the Vampire Slayer et vous n’auriez pas tout à fait tort. Car ce soudain mysticisme autour des origines de l’araignée s’accompagne de son lot d’ennemis impossibles, des prédateurs ancestraux, parmi lesquels Morlun s’impose comme l’un des plus violents. Rarement un combat de Spidey aura été aussi intense.

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À LIRE : Spider-Man par JM. Straczynski Tome 1 en VO et en VF.

Bonus : Peter aura même droit à son propre « Rupert Giles », un mentor du nom d’Ezekiel.

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6. Bienvenue à Spider Island

Depuis quelques années, le scénariste Dan Slott façonne le destin de Peter Parker de façon remarquable. Il est sûrement le premier à sortir autant du carcan du personnage établi dans les années 60, et ce sur tous les plans. Comme cette histoire incroyable d’épidémie, un gigantesque délire qui voit tout Manhattan posséder les pouvoirs de Spider-Man !

Jonah Jameson, MJ, les Avengers, tout l’entourage de Peter y passe, et c’est un vrai régal qui s’affranchit complètement de commentaires.

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À LIRE : Spider-Island en VO et en VF

Bonus : quelques années en arrière, Bendis était allé plus loin en transformant une partie de la ville en Venom (Mighty Avengers 6-11).

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7. The Superior Spider-Man ?

L’année dernière, The Amazing Spider-Man s’est arrêté au numéro 700 après 52 ans de parution ininterrompue. Une véritable claque pour les fans les plus intégristes puisque l’histoire se finissait sur la mort de Peter et la victoire incontestable du Dr. Octopus. Pire encore, ce dernier avait réussi à voler le corps de son pire ennemi, devenant de ce fait le nouveau, et supérieur, Spider-Man.

Superior Spider-Man se lit comme une parenthèse enchantée, à la fois brutale et décalée, dans un contexte qui a pour habitude de ne pas froisser ses fans avec des changements trop brusques. Otto dans la vie de Peter, en décalage complet avec son mode de vie et son entourage, c’est vraiment quelque chose. Sans conteste la grande réussite du relaunch Marvel Now!.

Nan sérieux. Spider-Man avec des sous-fifres, des mechas et une base secrète, c’est vraiment top.

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À LIRE : Superior Spider-Man vol.1 en VO et en VF

Bonus : dans la série « les fans sont des êtres charmants », un mécontent, plus mécontent que les autres, est allé jusqu’à menacer de mort Dan Slott pour avoir imaginé cette histoire.

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8. La mort de Peter Parker

Récemment, Peter Parker est mort. Non pas d’une mort provisoire à la Superior Spider-Man mais d’une mort définitive (quoique), au terme d’un combat pénible, dans sa version Ultimate. Après 160 numéros, Peter livre un ultime combat contre les Sinister Six, l’emporte mais ne survit pas à ses blessures. Il avait à peine 16 ans et c’est la fin d’une époque comme on dit.

Depuis, c’est un nouveau Spider-Man qui a pris le relais. Miles Morales de son nom, dont les pouvoirs se sont manifestés à peu près de la même façon (une araignée radioactive traînait par là…). D’origine afro-américaine et mexicaine, il connaît un engouement assez modéré. Il faut dire que ses aventures sont sensiblement identiques, loin d’être particulièrement mémorables ou bien écrites.

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À LIRE : Ultimate Comics: Death of Spider-Man

Bonus : notre Peter a plus d’une fois été aux frontières de la mort. L’épisode le plus mémorable reste Kraven’s Last Hunt. L’une des meilleures histoires écrites sur le personnage.

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9. La vérité autour de l’histoire entre Peter et MJ

Dans le comics mainstream, deux possibilités se dessinent. Soit les histoires se répètent, et des schémas manichéens régulièrement remis à jour se succèdent. Soit une bonne idée surgit, et elle bouleverse les fondements du mythe en expérimentant de nouvelles pistes, pour aussitôt disparaître par une pirouette magique. La vie de Spider-Man suit ainsi ce credo, preuve en est avec le Superior Spider-Man écarté au bout de 30 numéros. Peter réapparaît et embarque pour de nouvelles aventures. Cette vision peut sembler réductrice, elle schématise vulgairement le sort d’un personnage qui n’appartient à personne, ballotté au gré des choix éditoriaux.

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L’exemple le plus difficile à avaler reste à ce jour la saga One More Day qui renie purement et simplement un pan entier de la vie de Spider-Man en effectuant un énorme retour en arrière, annulant au passage son mariage avec MJ. Où une histoire bancale de pacte avec un démon a fâché la Terre entière avec le titre. La pilule passe évidemment très mal. La décision semble injuste, symptomatique d’un univers qui refuse de vieillir. À ses propres dépens, Peter Parker devient Peter Pan.

Ce chamboulement aura au moins deux mérites : l’arrivée de Dan Slott dans l’équipe scénaristique et One Moment in Time, la vérité derrière le naufrage Peter/MJ. L’exercice est habile, mêlant planches originales de l’époque et traitement moderne. L’ancien couple s’explique et offre au lecteur une fin propre, celle que les lecteurs méritaient.

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À LIRE : One Moment in Time

Bonus : One More Day efface aussi des mémoires le fait que Spider-Man s’est démasqué en public pendant les événements de Civil War. C’est bien pratique.

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10. Et si Spider-Man n’était pas le seul à s’être fait piquer par une araignée ?

Une idée intéressante que soulève le prochain event Marvel, Original Sin, imaginé par Jason Aaron (Wolverine and the X-Men, Thor: God of Thunder, deux EXCELLENTES séries au passage). Quelques infos ont filtré, notamment le nom de la deuxième victime de l’araignée radioactive (Silk).

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À LIRE : l’event Original Sin, le relaunch de The Amazing Spider-Man

Bonus : du même auteur, Astonishing Spider-Man and Wolverine (VO/VF), une excellente mini-série sur deux personnages antinomiques qui vont, une bonne fois pour toute, apprendre à s’apprécier.

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15 commentaires
  1. Bel article, on voit tout de suite le fan des marvels.
    Il est bon aussi de rappeler que le reboot des films n’est pas une adaptation plus fidèle.
    On a deux interprétations différentes avec chacun ses libertés par rapport au marvel.

  2. Attention ! Le lien pour acheter Spiderman Blue pointe vers le comics en allemand. Chez Amazon le comics en anglais est épuisé pour le moment d’ailleurs (ayant essayé de le commander il y a une semaine)…

    Sinon La dernière chasse de Kraven est aussi a recommander pour ses dessins magnifiques et l’épaisseur donné a un méchant d’habitude un peu ridicule. L’histoire est profonde et torturée (le scénariste s’est d’ailleurs inspiré de Dostoyesky).

    La mort de Jean DeWolff aussi pour ses valeurs humanistes qui donnent espoir (quoi qu’un méchant est fait il mérite un procès juste).

  3. Quel bordel, il faudrait bien séparer l’histoire originale du reste si toutefois c’est possible… Enfin j’imagine qu’en fait aucun de ses personnages n’a vraiment d’histoire vu qu’ils ont été un peu tournés à tous les sauces.

  4. J’adorais Spiderman quand j’étais gosse, j’achetais les comics et enregistrais la série. J’aimerais bien m’y replonger mais quand je lis cet article, je ne sais toujours pas par ou commencer…

    Ultimate Spiderman semble assez récent et est fini, va semble être une bonne piste, qu’en pensez vous?

  5. Pareil, j’aimerais me lancer dans les comics, (pas forcément que spiderman, mais entre autres). La série Ultimate semble bien, non ? C’est un reboot, et on est pas obligé d’avoir suii les 60 ans d’histoires et de chronologie alternatives qui précèdent ! J’ai bon ?

  6. @MeKa
    @T2o
    Il s’agit en effet d’un reboot (en fait, d’une réalité alternative).
    Je n’ai pas lu la ligne classique des Spider-Man car effectivement, 700 numéro c’est beaucoup, mais ce qui fait peur c’est surtout le nombre de cross-over, les mini-events, et la numérotation qui revient toujours à 1 après les reboot au sein de cet univers.
    Cependant, j’ai lu entièrement Ultimate Spider-Man et j’en suis très content. Connaître l’univers classique doit être un plus car il y a certainement des références que je n’ai pas vues, ou bien juste pour pouvoir s’amuser des différences entre les origines des personnages, mais ce n’est absolument pas un frein pour la lecture et au contraire ça permet de ne pas sans cesse faire de comparaisons.
    En plus, l’avantage jusque là, c’est que c’est Brian Michael Bendis qui a scénarisé tout le long, et qui continue, donc plutôt que d’avoir des reboots incessants il y a une ligne directrice qui ne change pas, et l’auteur joue des codes donc c’est souvent assez rafraîchissant.
    Pour lire, je conseillerais quand même de voir, en parallèle de Ultimate Spider-Man, les chapitres annuels (en particuliers les 3 avec Wolverine, le lézard, et Docteur Strange), et au moins de se renseigner sur les events “Ultimatum” et “Cataclysm” afin de commencer les chapitres Spider-Man liés à ceux-ci. Et enfin, enchaîner avec “Ultimate Fallout” (qui fait le lien avec la nouvelle série), et les aventures de Miles Morales qui contrairement à ce qui est dit dans l’article, sont très intéressantes et bien critiquées (et c’est certainement la série qui fait que l’univers Ultimate ne s’est pas encore effondré). Le personnage n’est pas un copié-collé de Peter Parker même si les codes de la série sont repris.

  7. Il y aura toujours un effort a faire pour rentrer dans l’univers Marvel ou DC.
    Les séries Ultimates sont bien mais le reboot Marvel NOW peut être aussi un bon point de départ. Panini (éditeur Marvel en France) ne fait pas du très bon travail sur la partie kiosque mais fait de bon livre relié qu’on trouve partout. Ils viennent de sortir les Marvel NOW de pas mal de séries (Superior Spider-Man, X-Men,…) en livre reliés.
    Pour bien comprendre les origines, n’hésitez à acheter des trucs style “Encyclopédie Marvel” qui sont bien fait.
    Pour rentrer chez DC, Urban (éditeur DC en France) fait du très bon travail (en kiosque comme en livre relié) Le reboot New 52 (reboot des 52 séries DC) est un bon point de départ. De plus, Urban commence toujours par un petit résumé de ceux qui s’est passé avant.

  8. Oui, Ultimate Spider-Man est plutôt accessible et offre un bel aperçu d’une continuité longue de 700 numéros, avec des trucs en moins, forcément.

    Si vous n’avez pas peur Superior Spider-Man (bientôt en recueil VF) est aussi une bonne histoire, complète, bien illustrée, à dévorer 🙂

  9. @Gaylord
    Pas sûr que ce soit le mieux pour commencer Spider-Man.
    Je n’ai pas lu Superior Spider-Man, mais j’y compte bien (un jour), mais à mon avis, il vaut mieux commencer par quelque chose de moins différent, histoire d’avoir bien le contexte et découvrir le personnage des comics.

  10. ouais, comme ça en passant, et pour exprimer un sentiment partagé par la majorité des fans de longue date (tel que je le ressens), OMIT ne rattrape en rien OMD.
    (ex : http://comicsmarvel.blogspot.fr/2011/09/spider-man-one-moment-in-time.html)
    spidey c’est génial, des années je l’ai lu et je continue sporadiquement. gage de qualité, il aura fallu 45 ans de comics pour commettre un véritable pêché. mais voilà celui-ci est un pêché capital.
    punaise, la mort de gwen c’était osé, une tragédie sublime… là je n’y vois que de la renonciation à aller de l’avant. bref ça craint.

  11. Merci pours ces conseils, je vais tenter la série Ultimate du coup.

    Au passage, j’ai acheté des ‘Marvel Noir’ il y a quelques temps qui, même si complètement hors du cycle classique étaient très sympa a lire.

  12. Bon article mais juste une chose, un fait non-cité ici me parait incontournable : spider-man qui révéle au monde son identité à la télévision dans Civil War, puis qui vend l’existence de son histoire avec MJ à Méphisto pour que ce dernier annule cet événement car il conduit à la mort de Tanta May par la suite. C’est proprement impossible de zapper cela!!!!

Les commentaires sont fermés.

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