La PS Vita est définitivement la console des otakus. L’ajout d’Hatsune Miku: Project Diva ƒ à sa ludothèque ne fait que renforcer cet état de fait.
Hatsune Miku c’est une idol trop kawaii desu ne, sauf qu’elle est entièrement virtuelle. Elle est modélisée en 3D et sa voix est générée par un logiciel : Vocaloid. Ce personnage, et ses autres copains et copines, tout aussi chanteurs et tout aussi virtuels, ont engendré un fandom impressionnant, à base de chansons, d’univers, d’histoires, d’illustrations, d’animations, et j’en passe.
En fait, je ne sais même pas pourquoi je vous raconte tout ça. Après tout, il y a peu de chances que vous soyez venu sur ce test pour découvrir ce que c’était que Hatsune Miku: Project Diva ƒ, pas vrai ? Tout ce que vous voulez savoir, c’est est-ce que le contenu est au rendez-vous ? Est-ce que la sélection de chansons est bonne ? Est-ce que les tenues des chanteurs et chanteuses du jeu sont jolies ? Est-ce que c’est marrant de faire danser Hatsune Miku partout dans son appartement grâce à la réalité augmentée ?
Oui. Je réponds “oui” à toutes vos questions. Vous pouvez y aller les yeux fermés. Enfin, si vous êtes prêts à claquer 30 euros dans le trip.
Si vous aviez déjà eu l’occasion de mettre la main sur un Project Diva précédemment, le principe reste le même. À savoir appuyer en rythme sur le bon bouton exactement au bon moment. C’est-à-dire lorsque son symbole (rond, croix, carré, triangle) passe pile sur sa marque.
Les flèches sont de nouveau de la partie. Quand elles se croisent à l’écran, il faut appuyer simultanément sur les deux boutons indiqués par la flèche (haut + triangle, gauche + carré, droite + rond ou bas + croix). Il y a toujours deux jauges à l’écran. Une barre de vie qui descend si vous ratez trop de notes et qui arrête la chanson si elle se vide complètement et une seconde qui représente votre score et vos objectifs à atteindre en termes de points afin de « réussir » la chanson.
Il y a cependant quelques petites nouveautés. Un nouveau symbole, l’étoile, fait son apparition. Il faut simplement frotter l’écran au bon moment pour la valider. Le jeu est plus indulgent sur leurs validations que pour les boutons. Les étoiles ajoutent un peu de nouveauté et l’écran assez accessible avec le pouce de la PS Vita rend ce nouveau mouvement agréable.
Autre nouveauté, dans chaque chanson, deux passages techniques vous seront soumis. Il faudra faire un sans-faute sur chacune de ces périodes pour obtenir un gros bonus de points. Le « chance time », ce moment déjà présent dans les épisodes précédents où chaque note vaut beaucoup plus, est également doté de sa propre jauge qui monte avec les notes réussies. Si cette dernière est pleine et que le joueur valide la toute dernière note du « chance time » (une grosse étoile arc-en-ciel qu’il est difficile de ne pas remarquer), une grosse somme de points est engrangée.
À côté de ça, vous pouvez acheter avec une monnaie virtuelle (que vous accumulez en faisant des chansons) des tenues plus ou moins mignonnes pour vos chanteurs et chanteuses, des accessoires ou encore des maillots de bain. Il est également possible d’acheter des cadeaux, du mobilier pour leurs chambres, des donuts ou des cupcakes que vous pourrez leur offrir. Tous ces achats augmenteront votre affinité avec eux. Une fois que vous serez bons amis, vous pourrez même faire une partie de jan-ken-pon (pierre-feuille-ciseaux). Et puis, vous pourrez même frotter la tête de votre date (prononcez deeto si vous voulez faire comme les vrais) pour qu’il/elle vous esquisse un sourire trop kawaii ne. Et puis après, pour fêter votre relation virtuelle, vous irez dans l’éditeur de clip pour chorégraphier vous-même votre Vocaloid favori. Blague à part, l’éditeur est complet et bien fichu.
En fait, c’est ça qui est formidable avec la licence Hatsune Miku: Project Diva. C’est le mélange parfait entre le gameplay solide et exigeant d’un jeu musical et celui d’un sim date japonais un peu plus frivole. C’est la rencontre parfaite entre le léger et le sérieux. Entre le superficiel et l’essentiel. Okay, il est possible d’avoir son petit trip avec un(e) chanteur/chanteuse virtuel(le) de 16 ans qui porte des tenues pas toujours très couvertes. Mais hé, le gameplay du jeu de rythme est là. Et le pire, c’est qu’il parvient à évoluer au fil des épisodes, en ajoutant des améliorations et des modifications heureuses. En fait, Hatsune Miku Project Diva F, c’est un plaisir d’otaku coupable légitimisé, et donc, déculpabilisé. Rien que pour ça, cette franchise est réussie.
Hatsune Miku: Project Diva ƒ est fait pour un public bien particulier. Il propose un vrai jeu, légitime, avec un système solide et réfléchi d’un côté, et de l’autre, il propose des choses plus superficielles qui sauront satisfaire les plaisirs un peu plus coupables des otakus amateurs de VN et autres sim date. Le premier aspect justifiant très bien le second, il n’y a rien à reprocher à ce Hatsune Miku: Project Diva ƒ. Un peu comme un gamin planté devant la télé, mais qui a bien fait ses devoirs. Du coup, fier de lui, on le laisse faire.
Hatsune Miku: Project Diva ƒ, c’est sur le PSN de la PS Vita (30 €) et de la PS3 (40 €). Le contenu est légèrement plus grand sur PS3.
Hatsune Miku c’est une idol trop kawaii desu ne, sauf qu’elle est entièrement virtuelle. Elle est modélisée en 3D et sa voix est générée par un logiciel : Vocaloid. Ce personnage, et ses autres copains et copines, tout aussi chanteurs et tout aussi virtuels, ont engendré un fandom impressionnant, à base de chansons, d’univers, d’histoires, d’illustrations, d’animations, et j’en passe.
En fait, je ne sais même pas pourquoi je vous raconte tout ça. Après tout, il y a peu de chances que vous soyez venu sur ce test pour découvrir ce que c’était que Hatsune Miku: Project Diva ƒ, pas vrai ? Tout ce que vous voulez savoir, c’est est-ce que le contenu est au rendez-vous ? Est-ce que la sélection de chansons est bonne ? Est-ce que les tenues des chanteurs et chanteuses du jeu sont jolies ? Est-ce que c’est marrant de faire danser Hatsune Miku partout dans son appartement grâce à la réalité augmentée ?
Oui. Je réponds “oui” à toutes vos questions. Vous pouvez y aller les yeux fermés. Enfin, si vous êtes prêts à claquer 30 euros dans le trip.
Si vous aviez déjà eu l’occasion de mettre la main sur un Project Diva précédemment, le principe reste le même. À savoir appuyer en rythme sur le bon bouton exactement au bon moment. C’est-à-dire lorsque son symbole (rond, croix, carré, triangle) passe pile sur sa marque.
Les flèches sont de nouveau de la partie. Quand elles se croisent à l’écran, il faut appuyer simultanément sur les deux boutons indiqués par la flèche (haut + triangle, gauche + carré, droite + rond ou bas + croix). Il y a toujours deux jauges à l’écran. Une barre de vie qui descend si vous ratez trop de notes et qui arrête la chanson si elle se vide complètement et une seconde qui représente votre score et vos objectifs à atteindre en termes de points afin de « réussir » la chanson.
Il y a cependant quelques petites nouveautés. Un nouveau symbole, l’étoile, fait son apparition. Il faut simplement frotter l’écran au bon moment pour la valider. Le jeu est plus indulgent sur leurs validations que pour les boutons. Les étoiles ajoutent un peu de nouveauté et l’écran assez accessible avec le pouce de la PS Vita rend ce nouveau mouvement agréable.
Autre nouveauté, dans chaque chanson, deux passages techniques vous seront soumis. Il faudra faire un sans-faute sur chacune de ces périodes pour obtenir un gros bonus de points. Le « chance time », ce moment déjà présent dans les épisodes précédents où chaque note vaut beaucoup plus, est également doté de sa propre jauge qui monte avec les notes réussies. Si cette dernière est pleine et que le joueur valide la toute dernière note du « chance time » (une grosse étoile arc-en-ciel qu’il est difficile de ne pas remarquer), une grosse somme de points est engrangée.
À côté de ça, vous pouvez acheter avec une monnaie virtuelle (que vous accumulez en faisant des chansons) des tenues plus ou moins mignonnes pour vos chanteurs et chanteuses, des accessoires ou encore des maillots de bain. Il est également possible d’acheter des cadeaux, du mobilier pour leurs chambres, des donuts ou des cupcakes que vous pourrez leur offrir. Tous ces achats augmenteront votre affinité avec eux. Une fois que vous serez bons amis, vous pourrez même faire une partie de jan-ken-pon (pierre-feuille-ciseaux). Et puis, vous pourrez même frotter la tête de votre date (prononcez deeto si vous voulez faire comme les vrais) pour qu’il/elle vous esquisse un sourire trop kawaii ne. Et puis après, pour fêter votre relation virtuelle, vous irez dans l’éditeur de clip pour chorégraphier vous-même votre Vocaloid favori. Blague à part, l’éditeur est complet et bien fichu.
En fait, c’est ça qui est formidable avec la licence Hatsune Miku: Project Diva. C’est le mélange parfait entre le gameplay solide et exigeant d’un jeu musical et celui d’un sim date japonais un peu plus frivole. C’est la rencontre parfaite entre le léger et le sérieux. Entre le superficiel et l’essentiel. Okay, il est possible d’avoir son petit trip avec un(e) chanteur/chanteuse virtuel(le) de 16 ans qui porte des tenues pas toujours très couvertes. Mais hé, le gameplay du jeu de rythme est là. Et le pire, c’est qu’il parvient à évoluer au fil des épisodes, en ajoutant des améliorations et des modifications heureuses. En fait, Hatsune Miku Project Diva F, c’est un plaisir d’otaku coupable légitimisé, et donc, déculpabilisé. Rien que pour ça, cette franchise est réussie.
Hatsune Miku: Project Diva ƒ est fait pour un public bien particulier. Il propose un vrai jeu, légitime, avec un système solide et réfléchi d’un côté, et de l’autre, il propose des choses plus superficielles qui sauront satisfaire les plaisirs un peu plus coupables des otakus amateurs de VN et autres sim date. Le premier aspect justifiant très bien le second, il n’y a rien à reprocher à ce Hatsune Miku: Project Diva ƒ. Un peu comme un gamin planté devant la télé, mais qui a bien fait ses devoirs. Du coup, fier de lui, on le laisse faire.
Hatsune Miku: Project Diva ƒ, c’est sur le PSN de la PS Vita (30 €) et de la PS3 (40 €). Le contenu est légèrement plus grand sur PS3.
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