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En Australie, un drone cause un accident pendant un triathlon

La question des drones et surtout des problèmes de sécurité autour de ces nouveaux appareils fait débat. Par exemple, la question du danger lié aux drones…

La question des drones et surtout des problèmes de sécurité autour de ces nouveaux appareils fait débat. Par exemple, la question du danger lié aux drones a été au centre de l’affaire du jeune nancéien qui avait filmé sa ville au mois de février. L’histoire d’aujourd’hui remet en cause ces questions de sécurités.

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L’histoire se passe dans l’ouest de l’Australie, à Geraldton, pour être précis. Pendant un triathlon, une athlète du nom de Raija Ogden a eu la très mauvaise surprise de voir un drone tomber sur sa tête. Sonnée et blessée, elle a été conduite à l’hôpital le plus proche. Bilan : sévères coupures à la tête et grosse frayeur. Rien de grave, heureusement.

Mais c’est la sécurité de la course qui soulève des questions. Warren Abrams, le propriétaire du drone, filmait la course pour le compte de l’organisation. Celui-ci a affirmé que son engin a été hacké puis lancé volontairement sur les athlètes. Une version que doit examiner l’aviation civile qui a ouvert une enquête. En Australie, un drone n’a pas le droit de s’approcher à moins de trente mètres du sol dans les zones habitées.

Pour la petite histoire, le mari de la victime a fini deuxième de l’épreuve.

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38 commentaires
  1. J’avais déjà lu un article traitant de se sujet la. Il parait plus que probable qu’il soit possible de “hacker” le drone et d’en prendre les commandes, donc se pose plus particulierement le probleme de la securite concernant la “connexion” entre le pilote et son drone

  2. Même si la c’est un autre problème qui est en cause. Il est évident qu’un objet volant au dessus des gens ou habitations va finir pas poser problème à un moment ou un autre.
    Il va falloir de toute façon revoir la conception de ces appareils, protections contre les hélices? air bag?….

  3. Les spécialistes de l’autre article avaient pourtant dit que c’était sans danger, donc je crois que cette affaire est une tentative malhabile pour dissimuler une attaque de vélociraptor.

    Plus sérieusement, c’est à ça que servent les réglementations. A éviter qu’un tocard défigure votre femme et cherche à esquiver ses responsabilités en prétendant que c’est à cause d’un virus (????) qu’il a perdu le contrôle de son drône.

  4. @vaal : le hackage de modèles réduit n’est pas nouveau. C’est pour celà que la technologie a évolué. mais il faut croire qu’il faudra une nouvelle évolution… Parler sans savoir…

  5. Si seulement il pouvait y avoir une règle qui empêche les cons de vouloir jouer les donneurs de leçons, et de raconter n’importe quoi…

    “Plus sérieusement, c’est à ça que servent les réglementations. A éviter qu’un tocard défigure votre femme et cherche à esquiver ses responsabilités en prétendant que c’est à cause d’un virus (????) qu’il a perdu le contrôle de son drône.”

    Tu appelle ça parler sérieusement ? Ma parole, t’es un cas.

    Il y a tout lieux de penser que contrairement à l’affaire de Nancy, le pilote respectait la réglementation. En tout cas, rien ne te permet d’affirmer le contraire.
    Et pourtant ça n’a pas empêché l’accident. Soit dit en passant, hacker ce n’est pas véroler un appareil. Rien à voir avec un virus…

    Sur le volet du mec qui dirait n’importe quoi sur les cause de l’accident :

    1° Tes compétences de hacker pour douter de cette possibilité ?

    2° T’y étais ?

    A la première réponse je dit d’emblée : Aucunes.

    A la seconde j’affirme : Non.

    Bref, tu sais pas, et quand on sait pas, on ferme sa gueule.

  6. @Gerard : La sécurité du public n’est pas assurée parce que ce tocard a mis le public en danger avec un appareil n’ayant pas fait l’objet d’une certification suffisante pour éviter ce genre de petits problèmes. C’est tout ce qu’il faut retenir : le secteur a besoin d’être réglementé, et dans l’intervalle, l’interdiction de survol de zones publiques relève du bon sens vu les responsabilités que les usagers de drones sont prêtes à assumer.
    Genre, “c’est pas ma faut jme suis fait hacker !”, alors que tout ce qu’il sait, c’est qu’il a perdu le contrôle de son appareil. Si d’aventure la thèse du hack devait s’avérer exacte, il n’aurait pas du mettre le public en danger puisqu’il savait que ça pouvait arriver.
    De toutes façons, une perte de contrôle, un hack, un bug logiciel, ou une interférence sur les fréquences de radiocommande, voire une chute de batterie… ça ne change rien, très concrètement le type ne sait rien de ce qui s’est passé, et en est réduit à des conjectures grotesques.

    C’est en établissant des règles que l’industrie des drones pourra progresser, pas en laissant tout à des irresponsables qui font le buzz avec des vidéos sur fond de musique planante.

  7. @ Vaal :
    “Les spécialistes de l’autre article avaient pourtant dit que c’était sans danger”

    J’adorerais revoir tout les cons qui, épisodiquement était venu nous casser les couilles sur le site, alors qu’on les lits jamais d’habitude.

    “@Undertaker : Mon point c’est justement que ce type ne sait même pas ce qui est arrivé à son bouzin et hurle au hack pour se disculper.”

    Et bien entendu, le petit Vaal est médium et sait que c’est un mensonge, comme si c’etait pas possible.

    “@Gerard : La sécurité du public n’est pas assurée parce que ce tocard a mis le public en danger avec un appareil n’ayant pas fait l’objet d’une certification suffisante pour éviter ce genre de petits problèmes”

    Ca c’est du baratin :

    Primo, je serait curieux de savoir ce que tu sais de la réglementation spécifique Australienne. Je ne m’avance pas des masses en affirmant “rien du tout”.
    donc tu parles sans savoir, encore une fois.

    Ensuite, tu ne sais pas si l’appareil a justement été certifié ou pas. Tu parles de l’affaire comme si tu avais déjà les conclusion de l’enquête sous les yeux.

    Bref, tu débites un tombereau d’affirmations, alors que tu ne sais rien des circonstances.

    “Finalement tu en sais encore moins que moi et tu l’ouvres. Très drôle.”

    Il en sait sans doute mieux que toi, vu qu’il na pas, contrairement à toi, la prétention de savoir ce qui s’est passé…

    D’ailleur je te cite :

    “très concrètement le type ne sait rien de ce qui s’est passé, et en est réduit à des conjectures grotesques.”

    — Ce n’est pas parce que tu es un abruti qui ne sait pas ce qui se passe quand un appareil ne répond plus, que tout le monde est aussi nul.

    — Si le type qui avait les commandes entre les mains ne sait pas ce qui s’est passé, j’aimerai savoir comment un blaireau dans ton genre, à l’autre bout de la planete, peux le savoir. Et si ses propos sont grotesques, que doit on dire des tiens ?

  8. Le truc, c’est qu’on ne sait pas de quel type et marque d’appareil il s’agit. Oui, le hacking existe, et la probabilité existera toujours puisqu’il y a contrôle à distance. La proof of concept existe déjà pour l’AR.Drone 2. Elle a le mérite de montrer qu’il est indispensable de protéger les liaisons radio, que ce soit du Wifi en 2,4 ou 5,8 GHz, du 2,4 ou du 5,8 GHz propriétaire, etc. Sinon on en arrive à ça : http://www.helicomicro.com/des-drones-pirates/

    Mais dans le cas de cette joggeuse australienne et de l’appareil qui s’est planté, l’argument du hacking ressemble tout de même très fort à une belle excuse bidon. La news a d’ailleurs été reprise partout, elle a même donné “les secours ont retiré un morceau d’hélice de ma tête” dans 20 Minutes. Malgré le fait que les commentaires de témoins oculaires ont été retirés du site qui a publié la news, et que de nouveaux témoignages affirment que le drone s’est planté sur le béton, pas sur la joggeuse, et qu’elle a chuté parce qu’elle a été surprise du crash. Ce qui n’ôte rien à la réalité de l’accident, mais qui enlève sans doute quelques bouts d’hélice de son crâne… 😉

    L’article original est ici : http://everythinggeraldton.com.au/2014/04/06/unfortunate-event-triathlete-sustains-head-injuries-drone/

  9. Un pote qui fait de l’aéromodélisme a vu un jour son avion percuter le sol au club où il pratiquait.
    La raison ? Un abruti avait allumé sa propre radiocommande à peine arrivé sur place, sans consulter le tableau des fréquences en cours d’utilisation par les personnes présentes. Pas de bol, elle était réglée sur le même canal que celle de mon pote. Résultat, il a perdu le contrôle de son avion.
    Je ne sais pas comment fonctionnent les drones mais clairement, sans même parler de piratage, il est très facile de foutre le boxon dans le fonctionnement d’un engin radiocommandé.

  10. @Undertaker : j’avais pas vu le “contrairement” pour le pilote de Nancy.
    Et justement ça ne fait qu’appuyer mon opinion : il y aurait du avoir une certification du drone et il y aurait du avoir une réglementation pour pouvoir immédiatement déterminer la responsabilité ou non du pilote australien. Là, il n’y a rien.

  11. @ash_barrett : je pense que tu parles d’un temps que les moins de 20 ans n’ont pas connu. Ou presque 😉 Les tableaux de fréquences ont disparu depuis pas mal de temps maintenant, depuis que les radios sont en 2,4 (ou 5,8 GHz), avec des technos de frequency hopping…

  12. “@Undertaker : j’avais pas vu le « contrairement » pour le pilote de Nancy.”

    Faudrait songer à ouvrir les yeux gamins.

    “Et justement ça ne fait qu’appuyer mon opinion : il y aurait du avoir une certification du drone et il y aurait du avoir une réglementation pour pouvoir immédiatement déterminer la responsabilité ou non du pilote australien. Là, il n’y a rien.”

    Il t’en faut peu pour prétendre qu’une supposition appuie ton opinion :

    Tu ne sais pas grand chose de l’affaire. Tu sais le modèle de drone ? Tu sais sa sécurisation, les fréquences utilisées ?

    Comme l’as dit Fishdrake, tu parles d’une affaire comme si tu avait le rapport d’enquête sous les yeux, alors que tu ne sais rien de l’histoire.

  13. @Vaal : Juste un truc qui me fait beaucoup rire dans ce que tu dis :
    “Si d’aventure la thèse du hack devait s’avérer exacte, il n’aurait pas du mettre le public en danger puisqu’il savait que ça pouvait arriver.”

    Sous le même argument on devrait aussi interdire aux avions de décoller car on sait très bien qu’ils peuvent se faire détourner, on en a eu des très bon exemples. (Trolololol)

    Sinon dans la globalité on a juste une news qui donne des simples faits sans précisions, tirer des conclusions et condamner aveuglement comme tu le fait me font dire que t’es pas légiste. 😀

  14. @Undertaker : je sais que les drones et leur utilisation ont actuellement le grave problème de ne pas être assez réglementés et que c’est ça qui freine l’utilisation commerciale et industrielle, parce que justement j’ai bossé dans cette industrie “gamin”.
    C’est pour ça que la FAA (USA) va bientôt sortir des réglementations pour les drones commerciaux (objectif 2015), la JAA (EU) devrait lui emboîter le pas. Pour l’Australie, ils ne sont simplement pas connus pour être des pionniers dans le domaine…
    Par contre je veux bien que tu continues à m’expliquer que je ne sais rien, c’est mignon de la part d’un type qui défend le hack parmi une foule d’autres hypothèses même pas examinées.

  15. @Groaaa : c’est pour ça qu’on fouille les passagers, qu’on sélectionne les personnels et qu’on a des avions de chasse en dernier recours si ça venait à tourner mal. Après ça n’élimine pas le risque, ça le minimise. Ce type, là, il a fait quoi pour minimiser le risque ?
    Du point de vue de l’industrie, c’est justement tout le problème de ne pas avoir de certification : qui pourra dire si l’utilisation d’un drone est sûre sans référence ? cf. aéronautique.

  16. @carman
    osef c’est pas le sujet

    @ash_barrett
    les problèmes d’interférences de fréquences entre 2 émetteurs, c’est vrai pour les radios à quartz. Mais plus pour les modèles dit “2.4Ghz”. Plusieurs technos proprio ou non coexistent (ce qui rend d’autant plus difficile le boulot des hackers et d’autant moins crédible l’argument du pilote) mais le principe est le même : appariement de l’émetteur et du récepteur et système de switch entre un certain nombre de canaux pré-fixés

  17. @Vaal :

    “parce que justement j’ai bossé dans cette industrie « gamin ».”

    Ta vie je m’en cogne un peu, tu vois… T’as bossé dans cette industrie, mais aujourd’hui, tu zone sur le JdG…

    “Par contre je veux bien que tu continues à m’expliquer que je ne sais rien.”

    C’est un constat élémentaire. Tu ne sais rien des circonstances, du type d’engin, et tu tire des conclusions gratuites et hâtives. Et me casse pas les couilles avec trois sous de réglementations, ça ne prouve rien…

    Tout ce que tu sais, c’est qu’au cour d’un triathlon, une concurrente s’est pris un drone dans la gueule et que le pilote affirme que son appareil a été hacké.

    J’attends donc toujours que tu me cites le type de drone, et puis tant qu’a faire, l’altitude de laquelle il est tombé, son angle d’attaque et le reste…

    “c’est mignon de la part d’un type qui défend le hack parmi une foule d’autres hypothèses même pas examinées.”

    Visiblement tu ne sais vraiment pas lire. Tu as peut-être bossé dans l’industrie du Drone, mais a mon avis c’était pas en tant qu’ingénieur…

    Je défend le hacking en tant qu’hypothèse possible justement, qu’on n’a pas à écarter plus qu’une autre, ce que tu semble vouloir faire un peu trop vite à mon gout pour charger la mule au pilote.

  18. @ François R :

    “(ce qui rend d’autant plus difficile le boulot des hackers et d’autant moins crédible l’argument du pilote)”

    Qu’un boulot soit difficile ne signifie pas qu’il soit impossible.

    Après c’est une question de moyens.

  19. @undertaker : pas de bol… c’était bien en tant qu’ingénieur. Tu es mauvais quand tu joues à faire des suppositions (fais gaffe, des ingénieurs il y en a 2-3 sur le JDG…)
    Tu me reproches ensuite sans aucun élément – puisqu’il n’y en a aucun – de ne pas adhérer à la thèse du pilote.
    Tu me donnes la charge de la preuve de ce que je dis : qu’on ne sait rien de ce qui a merdé, et que le pilote, aussi honnête soit-il, aura lui-même bien du mal à justifier quoi que ce soit. Il reste de toutes façon responsable de son drone et des conséquences, mais son récit à lui constitue comme par hasard une manière de couvrir ses arrières. Les comportements du drone peuvent vraiment avoir été causés par une multitude de facteurs. Être capable d’affirmer “c’est un hack !” à la volée, c’est une énorme blague. Tout ce qu’il sait c’est qu’il a perdu le contrôle. Je trouve simplement son point de vue extrêmement partial et arrangeant pour lui. Quand un avion se crashe, la première hypothèse n’est pas “on s’est fait détourner”…
    Mon propos, globalisant, parle du vrai sujet de l’article (lis la dernière phrase…), à savoir le besoin de certifier ces appareils et de réglementer leur utilisation, pour plus de sécurité et pour qu’ils aient une viabilité commerciale. Pour éviter ce genre d’incidents.

  20. “Qu’un boulot soit difficile ne signifie pas qu’il soit impossible.”

    Merci, gros. Je connais la différence entre impossible et difficile : si j’avais voulu dire impossible, j’aurais écrit impossible.

    “Après c’est une question de moyens.”

    Ben, justement un lien en bas de l’article renvoie sur l’article du Parrot hacké : en décembre 2013, un hacker, présenté comme célèbre et que j’imagine très compétent, annonce en grande pompe avoir réaliser l’exploit de pouvoir prendre le contrôle de n’importe quel A.R.Drone.

    Cinq mois après, un type (des types) suffisamment balèze(s) et motivé(s) pour percer une techno fort peu documentée et “de niche”, de surcroît, ne s’en servirait discretos que pour pourrir un petit rassemblement sportif ?

    Mouais. Y a qu’en même plus d’hypothèses plus crédible à écarter avant de s’intéresser à celle-là.

  21. En réalité il est très facile de “hacker” un drone! La simple utilisation d’une télécommande 2,4Ghz achetée sans drone (une manette custom si vous preferez) peut brouiller les émissions d’une autre! D’autant plus que généralement ces manettes ont une portée d’au moins 100 voire 200m! Je peut vous assurer (grace a ma malheureuse expérience avec mon drone tout neuf et ma DX9 a court de pilles) qu’un drone qui pert sa liaison avec son controlleur chute très rapidement et de façon très violente!(le carénage de mon drone s’en souvient ^^)
    Or si une 2eme manette était activée a ce moment la et que le drone allait en direction des coureurs il est fort probable qu’une courte perte de signal du a la reconection forcée de la premiere manette ai causé ce crash!
    Une autre émission parasite (genre parabole télé) peut aussi bien avoir perturbé la liaison entre l’appareil et son pilote!
    En tout cas il y a beaucoup de raisons possibles a ce crash et l’enquête révèllera surement les veritables cause de l’incident! (Ça serait bien que les gros drones aient un petite boite noire! Ça irait + vite pour les recherches!)
    (Ou alors le mec a pas vu qu’il avait plus de piles ^^)

  22. Parasiter des émissions radio, j’appelle pas ça “hacker” et prendre le contrôle du modèle.

    “ma DX9 a court de pilles”

    Cherche pas, c’est là seule et unique cause de tes déboires. Et relis le manuel de ta radio, les paragraphes sur le DSMX en particuliers.

    Un rebind par accident en plein vol, peu probable. Une perte de bind ( pas seulement du signal), ça signifie déjà qu’il y a une grosse couille qqpart dans l’ensemble radio. Mais qu’une autre radio bind l’appareil, là est toute la difficulté du hacking, (surtout si il faut opérer physiquement sur le récepteur via un plug…)

  23. au final le cinéaste/photographe et l’organisateur sont responsables, l’un a utilisé un produit qui n’offrait apparemment aucune garantie/sécurité en cas de chute/hack et l’autre n’a pas tenu bon de se renseigner sur les normes en vigueur et sur l’engin.. il y a eu accident, c’est le juge qui tranchera point.

    l’excuse du hack est probable mais faut pas non plus abuser de cet artifice pour se dédouaner de tout. une personne mal attentionnée qui soit là par hasard, qui ait une télécommande ou un programme de contrôle équivalent à celui du drone sont quasi impossible ou alors son drone c’est un jouet que l’on trouve chez ToysRUs pour être aussi vulnérable. les hypothèses d’une batterie HS, d’un mauvais calcul sur le poids du matos embarqué voire d’un manque d’expérience sur le maniement, sont-elles plus probables.

    à quand l’excuse d’un automobiliste qui va accuser le hack de sa voiture après un accident qui aura tué la famille entière?

  24. Au final, les drones manquent encore d’intelligence.
    Les drones helico ont besoin de CPU assez performantes pour gérer les hélices. Il serait intéressant de rajouter une couche un peu plus haute pour gérer un atterrissage d’urgence en cas de perte de signal radio (genre déclenchement de beeps, atterrissage a faible vitesse verticale)…

  25. @DaFab En l’occurrence, l’appareil concerné disposait de cette intelligence en cas de perte de contrôle radio (les photos montrent un contrôleur de vol Naza). Selon les réglages, il se pose là où il est, ou fait un retour au point de décollage et se pose. Mais l’intelligence a ses limites : si un moteur lâche et que la redondance assurée par les autres ne suffit pas, la machine se plante. Il y a des algorithmes qui permettent de conserver un contrôle en cas de perte de moteur, mais ça ne fonctionne que dans des cas très particuliers. Dans le cas d’une hélice qui casse d’un seul côté (une pale), le déséquilibre est trop important pour maintenir le vol, même avec la redondance des autres hélices. Ca ne fonctionne pas non plus dans le cas d’une erreur de pilotage, d’une collision avec qqchose (un projectile par exemple), une bourrasque de vent un peu forte, etc. Pour assurer une réelle sécurité, il n’y a pas d’autre choix que de veiller à une distance suffisante des humains. C’était 30 mètres en Australie, il semble que le pilote ne l’ait pas respectée (à voir).

    @zephyr Je n’ai pas connaissance de bind d’une radio Spektrum (DSM, DSMX ou compatible de type OrangeTX) et d’un appareil qui soit possible sans utiliser un jumper sur le récepteur. Même avec une radio trafiquée comme une Devo flashée en DeviationTX, il faut toujours déclencher l’appairage manuellement. Donc le faire en l’air, à la volée, je doute…

  26. @Fred : c’est clair qu’a moins d’avoir un hexa (ou plus), toute perte de moteur et/ou d’hélice entraîne irrémédiablement la chute de l’helico.

  27. d’accord avec vaal pour dire que cela doit être réglementer.Le truc c’est que beaucoup de geek n’ont pas envie que ce soit trop compliqué de faire joujou avec un drone car ils veulent pouvoir en utiliser un en toute inconscience.Perso j’appelle ça de l’égoïsme surtout que ce seront les premiers a gueuler quand c’est leur femme qui se fera estropier.

  28. “Merci, gros.”

    Mon petit François R, ta familiarité, et ta condescendance à l’occasion, tu pourrais te la mettre là où le soleil ne brille jamais ?

    Non parce que bon, tu te permet de traiter les autres de boulets et de kévins parce que tu te prends des – 1, mais c’est pas avec ce genre de réparties à deux balles que ça va changer.

  29. “@undertaker : pas de bol… c’était bien en tant qu’ingénieur. Tu es mauvais quand tu joues à faire des suppositions (fais gaffe, des ingénieurs il y en a 2-3 sur le JDG…)”

    1° On ira pas vérifier, on peut raconter ce qu’on veux sur le net.

    2° En admettant que ce soit vrai :

    En fait, mon véritable tord se situe ici : Je suis parti du principe que les ingénieurs étaient des gens forcément compétents, ce qui n’est pas ton cas, vu tes facultés de lecture et les limitations de tes raisonnements.
    Le pire étant que de mon expérience personnelle, j’ai déjà eu la preuve du contraire,. et tes élucubration me confirment le fait qu’aujourd’hui, le titre d’ingé ne signifie pas forcément grand chose.

    “Mon propos, globalisant, parle du vrai sujet de l’article (lis la dernière phrase…), à savoir le besoin de certifier ces appareils et de réglementer leur utilisation, pour plus de sécurité et pour qu’ils aient une viabilité commerciale. Pour éviter ce genre d’incidents.”

    Tu n’as pas de propos globalisant, juste une monomanie : la règlementation. Et je ne pense pas que réglementer, même s’il faudra bien passer par cette case, cependant avec un peu moins d’hystérie que toi, n’évitera pas forcément ce genre d’incidents, il en réduira juste les probabilités, et encore.

    “Être capable d’affirmer « c’est un hack ! » à la volée, c’est une énorme blague.”

    Bien sur, mon gars :
    La suite est une pure hypothèse, mais démontre que dans certaines condition, l’affirmation n’a rien d’une blague.

    un appareil dont la trajectoire est Nord à cent mètres d’altitude, vent réel nul, stabilisé, qui d’un coup vire au sud sans raison particulière et fonce, trajectoire non erratique, droit sur une coureuse, tu vas me dire que c’est quoi d’après toi ?

    Contrairement à ce que tu affirmes, sous certaines conditions, l’affirmation du pilote peut très bien ne pas être “une blague”.

    Et encore une fois, tu as trop peu d’info pour juger de la crédibilité d’une telle affirmation.

    @ Nikko :

    “à quand l’excuse d’un automobiliste qui va accuser le hack de sa voiture après un accident qui aura tué la famille entière?”

    Fichtre, celle là, elle est capillotractée.

    0° Si l’accident à tué la famille entière, l’automobiliste risque d’avoir du mal à accuser qui que ce soit…

    1° Tesla à découvert une faille permettant de démarrer leurs voitures il y a peu il me semble.

    2° Le projet des voitures automatiques, roulant sans pilote, n’est pas d’hier, cette tache sera un jour dévolue à un logiciel, qui pourra certainement être piraté.

    @ François R.

    “Cinq mois après, un type (des types) suffisamment balèze(s) et motivé(s) pour percer une techno fort peu documentée et « de niche », de surcroît, ne s’en servirait discretos que pour pourrir un petit rassemblement sportif ?”

    Je m’incline là. Je ne peux que m’incliner devant des mecs qui sont à la fois Ingénieurs, psychologues, juristes, criminologues, et qui en plus, ont le secret de l’âme des hommes pour savoir ce qui va les pousser à agir…

    L’intention et le résultat sont deux choses différentes. Rien ne permet de penser que, si hack il y a eu, l’intention était de pourrir l’événement.

    “Y a qu’en même plus d’hypothèses plus crédible à écarter avant de s’intéresser à celle-là.”

    Il y a QUAND même… crédibleS

    Le bon sens veux qu’on vérifie au contraire son affirmation en tout premier.

    Parce que s’il s’avère qu’il a raison, l’enquêteur qui se serait dispersé sur d’autres thèses, aura juste l’air d’un con, doublé d’un incompétent qui perd du temps et de l’argent (en l’occurrence celui du contribuable).

    Et s’il a tord, il devra direct déterminer si le pilote mentait, ou péchait par excès de confiance dans ses facultés d’analyses.

  30. “@undertaker : pas de bol… c’était bien en tant qu’ingénieur.”

    Un peu hors sujet, mais quand même : le fait d’être ingénieur ne prouve rien en matière de compétences. Dans tout les corps de métiers il y a des incompétents.
    Mon chef d’atelier était diplômé d’une école d’ingénieurs, il n’a pas été fichu de concevoir un convoyeur non motorisé qui tienne debout… Les cartes électroniques finissaient par terre quand les câbleuses s’en servaient. Après avoir vu ça, on relativise les titres professionnels.

  31. Une chose de positif c’est qu’en France les autorités on prit le taureau par les cornes assez vite ( OK les détails sont à discuter ) mais au moins c’est fait.
    Il n’y a pas 36 solutions, il faut imposer des systèmes sécurisés, et aujourd’hui ce qui fonctionne c’est la redondance, installer sur de la carte de contrôle par exemple, doubler les capteurs, quelques fabricants se dirige déjà dans se sens.

    Concernant l’affaire, rien n’empêche un crash quand il doit arriver, et en effet je pense que la seule façon de protéger au mieux le public c’est de maintenir une distance de sécurité, rien d’autre n’empêchera d’être blessé si un drone vous tombe dessus, et surtout pas le parachute qui est une fausse bonne idée pour moi.

  32. @Undertaker :
    “un appareil dont la trajectoire est Nord à cent mètres d’altitude, vent réel nul, stabilisé, qui d’un coup vire au sud sans raison particulière et fonce, trajectoire non erratique, droit sur une coureuse, tu vas me dire que c’est quoi d’après toi ?”
    Tu ne sais clairement pas ce que c’est d’avoir une carte électronique (évidemment non robustifiée, puisque pas de certif) qui grille ou une centrale inertielle qui déconne. Ou seulement un champ électromagnétique parasite. Au boulot je vois des comportements du genre très fréquemment. Une instabilité a rarement un caractère erratique, mais c’est évident que si on ne connaît rien au domaine, ça peut paraître étrange.
    Tu viens donc de décrire le cas qui accréditerait le plus la thèse du hack, je te réponds à nouveau qu’avec un peu d’expérience, tu saurais que ça peut être n’importe quoi d’autre.
    Après ça tu viens remettre mes compétences en cause… mignon. Comme quoi même sur le net quand on raconte n’importe quoi ça finit par se voir.

    “Et je ne pense pas que réglementer, même s’il faudra bien passer par cette case, cependant avec un peu moins d’hystérie que toi, n’évitera pas forcément ce genre d’incidents, il en réduira juste les probabilités, et encore.”
    Merci Einstein, tu viens de révéler à l’humanité le principe de la sûreté de fonctionnement, qui a réduit les occurrences de catastrophes aériennes aux niveaux actuels, à savoir presque rien… à croire que ça non plus tu n’y connais rien. Accessoirement tu occultes le fait d’avoir eu à confirmer mon propos par (encore !) une attaque ad hominem.

    Comme sur tout le reste, tu contournes l’objet de la discussion pour parler de moi, ce serait presque flatteur. On a l’impression que le débat ne t’intéresse pas tant que l’opportunité de t’attaquer à ton interlocuteur, je pense que ça dénote un sévère complexe d’infériorité. J’espère donc que tes petites attaques réussissent à booster un peu ton ego, vu l’énergie que tu y dépenses.

    Au passage, une perle :
    “Parce que s’il s’avère qu’il a raison, l’enquêteur qui se serait dispersé sur d’autres thèses, aura juste l’air d’un con, doublé d’un incompétent qui perd du temps et de l’argent (en l’occurrence celui du contribuable).”
    Parce que selon toi, les enquêteurs se foutent de connaître les problèmes du drone qui n’ont pas causé l’accident… Tu crois vraiment que les accidents en général ont une cause unique ? Tu imagines vraiment que les enquêteurs se foutent de connaître, en plus d’un très hypothétique hack, les autres défaillances du drone, ayant ou non joué un rôle dans l’accident, qui ont ou auraient pu mettre en danger l’environnement du drone ? Quid du degré de responsabilité ou d’irresponsabilité du pilote, qui va être jugé là-dessus ? …et tu parles des capacités intellectuelles des autres.
    Je ne sais pas ce que tu fais dans la vie mais j’espère qu’il n’y a pas trop de monde dont la sécurité dépend de ton travail.

  33. En fait, t’es le genre à vouloir toujours avoir raison, ou le dernier mots non ?

    “Tu ne sais clairement pas ce que c’est d’avoir une carte électronique (évidemment non robustifiée, puisque pas de certif) qui grille ou une centrale inertielle qui déconne. Ou seulement un champ électromagnétique parasite. Au boulot je vois des comportements du genre très fréquemment. (…) je te réponds à nouveau qu’avec un peu d’expérience, tu saurais que ça peut être n’importe quoi d’autre.”

    1 ° Sauf que toi tu ne prétendait pas “ça peut être n’importe quoi d’autre” à la base mais “ça doit être n’importe quoi d’autre”.
    Alors je sais pas si les nuances du langage t’échappent, mais pas à moi.

    2° Donc, tu admets, avec ce genre de “témoignage”, que cela peut très bien ne pas être la faute du “pilote”, puisque tu évoque des dysfonctionnements matériels.
    Merci donc de donner tord à ton discours initial, systématiquement à charge pour le pilote que tu as, sans le connaitre, lui et ses compétences, présenté comme un menteur.
    Merci donc de me donner raison.

    “Merci Einstein, tu viens de révéler à l’humanité le principe de la sûreté de fonctionnement, qui a réduit les occurrences de catastrophes aériennes aux niveaux actuels, à savoir presque rien… à croire que ça non plus tu n’y connais rien. Accessoirement tu occultes le fait d’avoir eu à confirmer mon propos par (encore !) une attaque ad hominem.”

    Je ne confirme certainement pas ton propos, ici, qui est d’affirmer que le pilote ment…

    Le mec qui me parle d’attaque Ad hominem, alors qu’il passe son temps à supputer que je n’y connais rien… L’hôpital qui se fout de la charité.

    “Comme sur tout le reste, tu contournes l’objet de la discussion pour parler de moi”

    La mégalo se soigne mon pauvre.

    “ce serait presque flatteur.”

    Chacun voit midi à sa porte.

    “On a l’impression que le débat ne t’intéresse pas tant que l’opportunité de t’attaquer à ton interlocuteur, je pense que ça dénote un sévère complexe d’infériorité.”

    Les impressions on sait ce qu’elle sont : subjectives, manipulables à souhait, et souvent fausses.

    Croire que je m’intéresse à ton cas, hormis l’aspect psychopathologique éventuellement, c’est prendre ta vessie pour une lanterne.

    “je pense que ça dénote un sévère complexe d’infériorité.”

    Ah, en plus d’un diplôme d’ingénieur, monsieur est titulaire d’un doctorat de psychologie.
    Dans le registre des petits travers mentaux, moi je pourrais te parler de la projection…

    Et puis en matière de complexe, celui de supériorité, qui consiste ici, en l’absence de toute donnée pertinente sur l’accident (en dehors de ce que les médias nous en rapportent, sans la certitude que ce soit vrai), à dire qu’une théorie en particulier est une absurdité, et qu’un mec ment c’est pas mal non plus, hein.

    “J’espère donc que tes petites attaques réussissent à booster un peu ton ego, vu l’énergie que tu y dépenses.”

    Il faut croire que mes contres arguments te démangent quelque part, pour que toi même dépense beaucoup d’énergie à y répondre, surtout avec de pareilles billevesées.

    Et puis bon, j’y suis pour rien si tu brille par ton absurdité. Le constat s’impose.

    Au passage, une perle :
    « Parce que s’il s’avère qu’il a raison, l’enquêteur qui se serait dispersé sur d’autres thèses, aura juste l’air d’un con, doublé d’un incompétent qui perd du temps et de l’argent (en l’occurrence celui du contribuable). »

    En fait, la perle elle est là :

    “Parce que selon toi, les enquêteurs se foutent de connaître les problèmes du drone qui n’ont pas causé l’accident…”

    Non, je dis par contre, que toi tu es une burne de première, et qu’un enquêteur doté de ta vision des choses n’irait vraiment pas loin. Je pars cependant du principe qu’ils sont moins attardés que toi. Toi qui parlait d’ad hominem, je te signale qu’ici tu fait un épouvantail selon la nomenclature de Schopenhauer.

    ” Tu crois vraiment que les accidents en général ont une cause unique ?”

    Et tu as fait des statistiques pour démontrer le contraire ? Quel type d’accident est le plus courant sur la planète, celui de drone, d’avion, ou de voiture ? Desquels on parle ?
    Et puis j’imagine que monsieur à aussi un diplôme d’accidentologie pour ramener sa mouille…

    “Tu imagines vraiment que les enquêteurs se foutent de connaître, en plus d’un très hypothétique hack, les autres défaillances du drone, ayant ou non joué un rôle dans l’accident, qui ont ou auraient pu mettre en danger l’environnement du drone ?”

    Je te renvoie à ma première réponse.

    “Quid du degré de responsabilité ou d’irresponsabilité du pilote, qui va être jugé là-dessus ?”

    Ah mais toi t’es une buse de première…
    J’ai jamais dit que le pilote ne pouvait pas être responsable, j’ai dit qu’un enquêteur avisé irait d’abord écarter l’hypothèse avancée par le pilote. Au principe tout bête que tu devrait connaitre si t’es vraiment ingénieur : le rasoir d’Ockham (si le pilote dit que son appareil à été hacké, c’est qu’il a été hacké).

    Et c’est d’autant plus avisé que si l’appareil n’a pas été hacké, soit le pilote ment, soit il raconte n’importe quoi. A partir de là, l’enquêteur pourra commencer à cuisiner un peu la théorie du pilote fautif.

    ” …et tu parles des capacités intellectuelles des autres.”

    Oui j’en parle, parce que quand je vois que tu pige de travers mes propos, ou que tu les déforme pour leur faire dire n’importe quoi, m’obligeant du coup à devoir te faire une relecture, correcte cette fois ci, de ceux-ci, je pense que je suis en mesure d’évaluer ton degré d’imbécilité, et de mauvaise foi.

    “Je ne sais pas ce que tu fais dans la vie mais j’espère qu’il n’y a pas trop de monde dont la sécurité dépend de ton travail.”

    Ad hominem qu’il disait, le con.

    Avec toi c’est largement pire : quel que soit le domaine ou tu œuvre, vu ta connerie il y a fort à parier que tu mettes les gens en danger…

    Bref,

  34. “Tu ne sais clairement pas ce que c’est d’avoir une carte électronique (évidemment non robustifiée, puisque pas de certif) qui grille ou une centrale inertielle qui déconne. Ou seulement un champ électromagnétique parasite. Au boulot je vois des comportements du genre très fréquemment.”

    Alors déjà, définir le “très fréquemment” parce que vu ta prose au dessus, tu m’a l’air de savoir jouer sur les mots.

    J’ai travaillé dans le milieu (aéronautique, défense, électronique classe 3-2) et j’ai travaillé avant en Classe 1. Des cartes électroniques qui grillent, à moins de faire de la merde dans ta boite, (même en classe 1) tu ne dois pas en voir tant que ça, ou alors tu bosse dans le SAV, et tu ne vois pas les appareils voler.

    Après les centrales inertielles, qui servent à la navigation, elles n’équipent pas tout les types de drones, tu ne sait donc pas si celui-ci en était pourvus (on ne sait même pas quel type de drone c’était).

  35. Moi perso je pense qu’il y’a pleins de facteurs qui rentre en jeu et qui sont en défaveur du hacking comme par exemple :
    – savoir qu’il y’aurai un drone sur place.
    – savoir quel type de techno 2.4Ghz 5.8Ghz 35Mhz 41Mhz …. etc etc…
    – savoir quel marque de récepteur.
    en plus de ça, avoir un angle de vue approprié pour viser les coureurs (bon la foule aux hasard marche aussi 😉 )
    en plus de ça, comme il a était dit, les radios 2.4Ghz et 5.8Ghz change de canaux a la moindre perturbation dans le signal, et les récepteurs sont accouplés aux radios par une opération physique (boucle relier aux récepteur). Donc à moins de cloner la radio du moins son numéro d’ID graver en dur dans la ROM de l’émetteur je doute que se soit possible.
    A la rigueur un brouilleur d’ondes peut être envisager bien que le 2.4Ghz balaye une large bande.
    Mais il me viens à penser qu’une personne saine d’esprit avec un drone équipé pour de l’acquisition vidéo aurait programmer la fonction “fale safe” qui, en cas de perte de signal rattrape le drone, le positionne a l’horizontal et entame une décente lente pour atterrir.
    Donc après avoir passer en revue ces quelques points je pense que l’argument du hacking ne tien pas la route.
    Honnêtement je pense plus a une mauvaise gestion de sa batterie, ou tout simplement une erreur de pilotage.
    Concernant l’ARdrone, il se connecte en wifi et qui dit wifi dit adresse IP et SSID qui apparaît sur les périphérique en mode recherche de réseaux contrairement a une radio 2.4Ghz qui n’envoie pas de SSID donc en imagent: il est dur de toucher une cible que l’on ne voie pas. Tout le monde sais que le hack d’un réseau wifi n’est pas bien compliquer.

    et sur ces quelque mot que je vous dit bonsoir.

  36. @Iron Man : c’était très fréquent au début (cartes qui grillent et problèmes en CEM) mais maintenant on a intégré, validé etc. et ça marche.

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