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MyVaps transforme votre cigarette électronique en cigarette connectée

MyVaps n’est pas une nouvelle cigarette connectée, mais un module connecté qui s’adapte à la plupart des cigarettes électroniques. MyVaps va ainsi permettre aux vapoteurs de…

MyVaps n’est pas une nouvelle cigarette connectée, mais un module connecté qui s’adapte à la plupart des cigarettes électroniques.

MyVaps va ainsi permettre aux vapoteurs de garder leurs usages et leur matériel tout en profitant des atouts de la connectivité. Le module MyVaps communique votre consommation quotidienne à votre smartphone en temps réel et sans fil. Les données sont ensuite traitées et visualisées via l’application, cela va du simple suivi de la consommation jusqu’au sevrage nicotinique. À noter également une fonctionnalité nommée “quantified-self participatif” qui permet à chaque vapoteur de se repérer en comparant sa consommation à des profils lui correspondant. Ce module dispose de plus d’une autonomie de 3 ans, communique via Bluetooth LE avec votre smartphone et dispose d’une mémoire interne d’environ 35 jours.

MyVaps lancera début mai une campagne de crowdfunding sur Indiegogo, le prix et la date de disponibilité seront dévoilés à ce moment.

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Caractéristiques du module :

– Autonomie : 3 ans quelle que soit la fréquence d’utilisation. Une gestion intelligente de l’alimentation permet au module MyVaps d’alterner entre l’utilisation de l’énergie de la batterie (de l’e-cigarette) et celle d’un accumulateur embarqué.
– Communication : Bluetooth 4.0 (Bluetooth Low Energy). La synchronisation avec le smartphone se fait sans fil et en temps réel. Quand le smartphone est hors de portée, une mémoire interne prend le relais.
– Mémoire interne : 7000 vapes, soit 35 jours à 200 bouffées quotidiennes (“ équivalent ” d’un paquet de cigarettes).
– Capteurs : voltmètre, ohmmètre et horloge.
– Affichage : LED. L’interface homme-machine se résume à un voyant lumineux circulaire. Il est paramétrable en alerte depuis le smartphone (alerte consommation, pic de nicotine, etc.).
– Compatibilité : Atomiseur et batterie à “switch” avec des filetages EGO et 510 (quasiment toutes les cigarettes électroniques).

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20 commentaires
  1. Ou sinon en version filaire tu a la Evic …
    Certainement un idées qui sera prise par un fabriquant de E-cig

  2. On peut vaper en sub-Omh? Je suis curieux de connaitre les limites du voltage, ampérage, wattage… C’est pour les vapoteurs lambdas… Truc de geeks quoi… Et coté esthétique, ils auraient pu le faire au moins en inox.

  3. On ne vape pas comme on fumait et la diffusion de la nicotine est différente et plus lente cela n’a rien à voir et la comparaison n’est pas adaptée. Il n’y a pas lieu de s’inquiéter de sa consommation comme vous l’indiquez dans votre vidéo. Par contre si ça rassure et aide certains why not mais personnellement je n’en ai pas l’utilité.

  4. 3 ans … Faites moi rire ! Et au bout de 3 ans faut changer le fragment de plutonium ?
    Sinon les info serons dispo pour le 1er avril… Domage …

  5. @Alexandre : “Une gestion intelligente de l’alimentation permet au module MyVaps d’alterner entre l’utilisation de l’énergie de la batterie (de l’e-cigarette) et celle d’un accumulateur embarqué.”. En gros ça se branche sur la batterie de l’e-cigarette …

  6. Bonjour,

    Merci pour l’intérêt porté au projet 🙂

    @Jmy2905, ce visuel est provisoire et n’est donc pas représentatif du produit final.

    @PatBri La consommation de nicotine, même si il est vrai est totalement différentes des cigarettes classiques, n’est jamais anodine. C’est pourquoi nous pensons que pouvoir quantifier et suivre cette consommation est important.

    @section13 Effectivement, l’eVic permet d’avoir certains chiffres. Tout d’abord nous nous adaptons à vos cigarettes électroniques, nous ne vous forçons à utiliser un gros appareil. De plus, nous faisons ce que nous appelons du quantifier self 2.0 qui va vous permettre de votre situer par rapport à votre profil.

    @Alexandre Le module ne nécessite pas d’être rechargé effectivement. Comme le rappel à très juste titre Ethan, le module MyVaps alterne entre sa propre source d’énergie et celle de l’e-cigarette. L’utilisation de technologies faibles en énergie (Bluetooth Low Energy par exemple) nous permet d’avoir cette autonomie.

    William de MyVaps,
    http://www.myvaps.fr

  7. Oaui c’est un peu ridicule, pour les utilisateurs lambdas et pseudo-geek.

    C’est du bling bling inutile à mon avis. (D’ailleurs ça rendrait hyper moche sur mon mod)

  8. Frigo connecté, brosse à dent connectée, cigarette connectée…. A QUAND LE PQ CONNECTE ? hein hein ?

  9. j’imagine bien un concept de présrvatif connecté, avec accéléromètre, GPS, analyseur ADN, statistiques etc. Par exemple, on pourrait visualiser les …oscillations produites et les télécharger dans un fichier WAV (puisque c’est une onde après tout). Que l’on pourrait les transposer de plusieurs octaves jusqu’aux fréquences audibles, pour obtenir un vrai son et l’écouter, l’utiliser comme sample pour composer un morceau pour sa dulcinée, ou bien comme décor sinueux dans un jeu sur iphone.
    En gros même quand tu “passes un très bon moment avec ta copine” tu modélises un niveau custom de ton prochain défi… Après, l’analyseur ADN te renseigne sur la fécondité de ta cougar, enregistre les params. pour Facebook, que du bonheur . . . .
    Ensuite, un système communautaire permet de rassembler les analyses de mouvements, qui pourront être ensuite reproduits par des “modèles synthétiques fémininsants” (un terme plus soft que “poupée” ou “robotes”). Le toucher de la peau sera remplacé par des matières comme de la soie par exemple ou du latex, de façon à réduire les coûts de fabrication tout en donnant un toucher souple et qualitatif.
    et Que la magie du repliement opère… attention Repliment !

  10. @vega
    Oui avec de l’argent public, ils appellent ça de l’innovation et c’est ce qui va sauver la France !

  11. William vu que tu est la c’est bien juste une connexion via Bluetooth 4.0 et ceux peut importe l’OS donc étant avec une Galaxy tab 2 bluetooth 3.0 normalement c’est retrocompatible non ?

    Âpres le projet perso je pense que cela peut être sympa pour que chacun puisse définir son projet en vu d’arrêter totalement la E-cig.

    Perso j’ai un Vamo V3 ( mod ) donc pour moi c’est le prix de vente qui définiras si votre produit a une chance d’être intéressant ou non.

  12. Nous trouvons que c’est une bonne chose que des innovations viennent directement de France, comme la société Smokio.
    Il ne faut pas tout laisser aux Chinois, nous avons aussi les compétences pour proposer des nouvelles choses qui puissent répondre aux besoins du consommateur.

  13. A voir l’utilisation finale qui sera faite du produit, mais on peut espérer une baisse progressive de l’usage de nicotine chez le vapoteur grâce à ce genre d’initiative :).

  14. Peut-être que ce procédé peut être utiles à certains pour se sevrer du tabac et de la nicotine. Je ne disposais pas d’un tel système et je m’en suis très bien sorti tout seul. L’important, c’est le taux de nicotine que l’on choisit de mettre dans sa cigarette électronique. Pour le reste, il suffit juste d’écouter son corps pour savoir à quel moment on peut se permettre de baisser le dosage.

Les commentaires sont fermés.

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