Passer au contenu

King, l’éditeur de Candy Crush, veut lever 612 millions de dollars pour son entrée en bourse

King, l’éditeur-développeur à qui l’on doit notamment Candy Crush Saga, a de grandes ambitions pour son entrée en bourse. Dans le formulaire F-1, document impératif pour…

King, l’éditeur-développeur à qui l’on doit notamment Candy Crush Saga, a de grandes ambitions pour son entrée en bourse.

delicious

Dans le formulaire F-1, document impératif pour entrer en bourse, publié aujourd’hui par la SEC le gendarme américain de la bourse, on apprend que la société souhaite offrir au total (avec un sur-allocation de 3,3 millions de titres) 25,5 millions d’actions, d’une valeur comprise entre 21 et 24 dollars. Dans le meilleur des cas, cela représente environ 612,7 millions de dollars. Ces nouveaux chiffres portent la valorisation de la société à environ 7,6 milliards de dollars.

Tout cela n’est pas encore définitif, et King pourra encore revoir à la hausse ou à la baisse ses ambitions en fonction l’engouement des investisseurs institutionnels. On ne sait toujours pas quand l’entrée sera effective. La procédure suit en tout cas son cours et on sait en revanche que la société sera cotée au New York Stock Exchange (NYSE) sous le symbole KING.

🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

7 commentaires
  1. ils sont naze, avec la tune qu’ils ont gagnés, ils se tournent vers la bourse pour se financer ? pff

  2. Qu’il se casse la figure à la bourse !! Ils l’auront bien mérité.
    Ah, la folie des grandeurs :/

  3. Ça me fait rire vos commentaires.

    Car vous ne jouez pas à Call of Duty ou ça vous boycottez. Un gamer c’est un type qui joue aux jeux, un mec de Call of Duty est gamer, Candy Crush aussi.

    Partez une compagnie de développement de jeu, que vous amenerez en bourse et que la valeur de la compagnie dépasse le milliard, vous viendrez critiquer et les juger après.

Les commentaires sont fermés.

Mode