Jazzpunk est une farce. Un sketch. C’est drôle et pas très sérieux. Ça n’a pas plus d’ambition et c’est bien comme ça.
Vous vivrez deux moments majeurs quand vous mettrez la main sur Jazzpunk. Le premier moment, c’est quand vous allez comprendre que le jeu ne vous prend pas au sérieux.
Parce qu’au début, plein de bonne volonté, vous vous lancerez fleur au fusil dans ce qui ressemble, a priori, à un jeu d’aventure à la première personne. Vous constaterez que l’ambiance qui s’en dégage est complètement cheloue. Cependant, vous vous direz, qu’au fond, des jeux avec des ambiances bizarres vous en avez connus quelques-uns. Killer7 ou Sword and Sworcery en sont de bons exemples. Mais vous savez qu’à un moment donné, vous trouverez les mécaniques du jeu qui vous feront progresser et qui vous feront distinguer le jeu qui se cache derrière la mascarade. Sauf que des mécaniques de jeu, dans Jazzpunk, il n’y en a pas.
Je pense que je m’en suis rendu compte dès le moment où j’ai sauté d’un immeuble, que je m’attendais à prendre des dégâts et qu’à la place, j’ai eu ça :
Et sinon, rien. J’étais indemne. À ce moment-là, j’ai compris que Jazzpunk était un jeu sans enjeux, et que j’avais tout intérêt à me relaxer, explorer, trouver un maximum de gags visuels et d’en rire.
Le jeu dépeint un monde peuplé de silhouettes libre de droits évoluant dans une sorte de caricature de film d’espionnage des années 60. La guerre y est très froide et les agents très secrets. Nos missions sont ponctuées de cuivres et les congas s’emballent en cas de course poursuite. L’ambiance est vraiment marrante.
Tous les codes du genre sont parodiés et le jeu sait toujours nous surprendre avec un humour absurde qui laisse le quatrième mur en ruine. Et comme on sait qu’on ne peut pas vraiment perdre, on se lance tête la première dans l’univers débile du titre, sans se soucier de choses aussi futiles que les points de vie ou les munitions.
Je vous avais parlé de deux moments majeurs dans le jeu. Le second, c’est quand vous arriverez à la fin (infiniment absurde) du titre. Vous assisterez aux crédits en vous disant que c’est quand même dommage que ça s’arrête et que vous auriez bien continué quelques heures.
Mais non. Au bout de 2 petites heures, c’est bien la fin du jeu. Mince. C’est dommage que vous soyez tout seul sur ce canapé. Vous auriez bien partagé cette tranche de rire avec quelqu’un. Bien sûr, vous n’allez pas le refaire, ça n’a pas beaucoup d’intérêt. Par contre, regarder quelqu’un y jouer dans quelque temps, ce n’est pas complètement impossible. Un peu comme ce DVD qui vous a fait hurler de rire et que vous regarderez de nouveau, avec un bon copain ou une bonne copine, quand l’envie vous en reprendra.
Jazzpunk est idiot, drôle, extraordinaire, épileptique, bizarre, nostalgique, parodique, anxiogène, amusant, diversifié, unique, coloré potache, éphémère, ridicule et un peu poétique par moment, aussi. Je ne peux pas vous le recommander sans vous dire d’aller regarder quelques minutes du jeu pour savoir si ça va vous botter. Si le fait de regarder un Mel Brooks, un Tex Avery ou La Classe Américaine vous fait rire à gorge déployée, a priori, vous devriez accrocher à l’humour de Jazzpunk. Si vous ne jurez que par le gameplay, passez votre chemin.
Jazzpunk coûte 15 euros. Il est déjà disponible sur PC, Mac et Linux. Textes et voix en anglais.
Vous vivrez deux moments majeurs quand vous mettrez la main sur Jazzpunk. Le premier moment, c’est quand vous allez comprendre que le jeu ne vous prend pas au sérieux.
Parce qu’au début, plein de bonne volonté, vous vous lancerez fleur au fusil dans ce qui ressemble, a priori, à un jeu d’aventure à la première personne. Vous constaterez que l’ambiance qui s’en dégage est complètement cheloue. Cependant, vous vous direz, qu’au fond, des jeux avec des ambiances bizarres vous en avez connus quelques-uns. Killer7 ou Sword and Sworcery en sont de bons exemples. Mais vous savez qu’à un moment donné, vous trouverez les mécaniques du jeu qui vous feront progresser et qui vous feront distinguer le jeu qui se cache derrière la mascarade. Sauf que des mécaniques de jeu, dans Jazzpunk, il n’y en a pas.
Je pense que je m’en suis rendu compte dès le moment où j’ai sauté d’un immeuble, que je m’attendais à prendre des dégâts et qu’à la place, j’ai eu ça :
Et sinon, rien. J’étais indemne. À ce moment-là, j’ai compris que Jazzpunk était un jeu sans enjeux, et que j’avais tout intérêt à me relaxer, explorer, trouver un maximum de gags visuels et d’en rire.
Le jeu dépeint un monde peuplé de silhouettes libre de droits évoluant dans une sorte de caricature de film d’espionnage des années 60. La guerre y est très froide et les agents très secrets. Nos missions sont ponctuées de cuivres et les congas s’emballent en cas de course poursuite. L’ambiance est vraiment marrante.
Tous les codes du genre sont parodiés et le jeu sait toujours nous surprendre avec un humour absurde qui laisse le quatrième mur en ruine. Et comme on sait qu’on ne peut pas vraiment perdre, on se lance tête la première dans l’univers débile du titre, sans se soucier de choses aussi futiles que les points de vie ou les munitions.
Je vous avais parlé de deux moments majeurs dans le jeu. Le second, c’est quand vous arriverez à la fin (infiniment absurde) du titre. Vous assisterez aux crédits en vous disant que c’est quand même dommage que ça s’arrête et que vous auriez bien continué quelques heures.
Mais non. Au bout de 2 petites heures, c’est bien la fin du jeu. Mince. C’est dommage que vous soyez tout seul sur ce canapé. Vous auriez bien partagé cette tranche de rire avec quelqu’un. Bien sûr, vous n’allez pas le refaire, ça n’a pas beaucoup d’intérêt. Par contre, regarder quelqu’un y jouer dans quelque temps, ce n’est pas complètement impossible. Un peu comme ce DVD qui vous a fait hurler de rire et que vous regarderez de nouveau, avec un bon copain ou une bonne copine, quand l’envie vous en reprendra.
Jazzpunk est idiot, drôle, extraordinaire, épileptique, bizarre, nostalgique, parodique, anxiogène, amusant, diversifié, unique, coloré potache, éphémère, ridicule et un peu poétique par moment, aussi. Je ne peux pas vous le recommander sans vous dire d’aller regarder quelques minutes du jeu pour savoir si ça va vous botter. Si le fait de regarder un Mel Brooks, un Tex Avery ou La Classe Américaine vous fait rire à gorge déployée, a priori, vous devriez accrocher à l’humour de Jazzpunk. Si vous ne jurez que par le gameplay, passez votre chemin.
Jazzpunk coûte 15 euros. Il est déjà disponible sur PC, Mac et Linux. Textes et voix en anglais.
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