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Smart love : le sexe à distance, connecté et made in France

L’époque est aux objets connectés, il n’y a pas de raison qu’ils n’entrent pas dans la chambre à coucher. Voici les premiers sextoys connectés et ils…

L’époque est aux objets connectés, il n’y a pas de raison qu’ils n’entrent pas dans la chambre à coucher. Voici les premiers sextoys connectés et ils sont Made in France. Non, il n’y aura ni test complet, ni prise en main pour ces objets…

SmartLove_Wifi

Cocoricooo, le futur est à portée de main et il est offert par une entreprise française. Les premiers sextoys connectés sont désormais disponibles. Le dernier souvenir de sexe nouvelle génération remonte, pour ma part, à Demolition Man : cette fameuse scène où John Spartan (Silvester Stallone) se voit proposé un échange de fluide par sa collègue Lenina Huxley (Sandra Bullock). Elle revient en tenue, certes, mais avec deux casques type Occulus Rift du futur et une serviette de bain… Les images érotico saccadées s’enchainent et font surtout tourner la tête à notre cher John Spartan old school. Voilà pour l’échange de fluide à distance.

Rien de tout ça ici. SmartLove vous promet de faire de « l’amour à distance » une réalité grâce à Akari et Avatar, le petit nom donné à ces objets pour elle et lui, qui ont le wifi intégré (compatible avec tout ordinateur et smartphone existant). Le principe de base de ces nouveaux jouets sexuels est simple : grâce à une application web, vous pourrez transmettre en temps réel ce que vous faites vous-même à votre partenaire de jeu : vibration, mouvement, rythme, pression.

4 étapes : créer un profil, se connecter, trouver le partenaire de son choix (qui aura son propre sextoy connecté donc) et enfin jouer à partager votre plaisir !

Plein de scénarios sont possibles, du mode solo, en ligne, partenaire à webcam show.

C’est notre ministre du Redressement productif qui va être ravi de la nouvelle…

Disponible dès mars 2014 ou en pré commande en ligne

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22 commentaires
  1. Etonnant, voir terrifiant en fait … quand on voit le nombre de malade sexuels qui traîne sur le web, rien que sur chatroulette ou bazoocam, alors avec ces outils la 0.0 … triste monde ! x)

  2. Paix et félicité Elodie!
    Comme ce bon vieux John Spartan, j’ai une préférence pour faire les choses à l’ancienne. Bracelets connectés et autres sextoys aux dents bleues, sans façon… nan vraiment… sans moi. 🙂

  3. Bonjour,

    est-ce qu’on peut utiliser les deux accessoires (masculin et féminin) tout seul (un de chaque coté) ?

    merci.

  4. service tech : bonjours

    client : a l’aaaaide on a haaaaack mon viiiibrooooo , mon voivoivoisin a pipipipiqué ma wpa___aaahh c bon

  5. oh putain DJ Riquet tu m’a tué et dégoûté à la fois !

    Sinon pas très utile, une petite amie suffit, ou une main.

  6. “Premiers” ?
    Il y avait les sous-vêtements vibrant, à contrôler via une appli. Durex il me semble. Et ça fait un moment déjà…

  7. Merci Peredur, mais les produits dont tu parles ne sont que des prototypes, non commercialisés pour le moment et Durex ne les a mis en oeuvre qu’en Australie.
    Encore une fois, tout ce qui existe dans ce domaine et pris en charge via une application Smartphone ou autre, c’est à dire que la connexion au web passe par le smartphone.

    SmartLove est indépendant et nomade, grâce au wifi intégré, les échanges se font directement de SmartLove à SmartLove; pas de relais au téléphone, tablette ou même PC.

    L’application disponible en Open Source, n’en est pas une , c’est juste une application web mais cela fonctionne très bien sans et d’ailleurs c’est le but.

    Bonne Journée

  8. Attention #quepos on vas finir par remarquée que tu es commercial chez SmartTruc :c
    Mais j’avoue avoir beaucoup rie sur vos commentaire ! y’a des imaginatif ici :p le coup du solo des 2 coté Oo
    Couplé avec un Oculus, y’a moyen de transformer son copain en BradPitt ?

  9. Pour info, le Smartlove était une escroquerie. Il ne sortira jamais, par contre les boutiques qui avaient précommandé du stock se sont faites voler par Stéphane Turc et sa société Eymalis…

Les commentaires sont fermés.

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