Côté taille, la Fuji Instax Share SP-1 proposera des films de 86 x 54 mm, tandis que les images imprimées feront 62 x 46 mm avec une résolution de 10 points par millimètre (254ppp). C’est bien plus petit que la taille des photos délivrées par la LG Pocket (50 x 76 mm). Enfin, elle est alimentée soit par deux piles Lithium CR2, soit par secteur.
Mais Fuji voulait aller plus loin, et proposera une application disponible sur Android et iOs, et qui permettra de modifier la photo avant impression (noir et blanc, filtre, recadrage) et surtout d’y ajouter si on le souhaite, l’un des gabarits proposés :
- Le gabarit « Temps réel » imprime la date, l’heure, le lieu, la météo, la température et l’humidité sur la photo.
- Le gabarit « Édition limitée » numérote chaque impression comme un tirage unique d’une série limitée et donne ainsi plus de valeur à ce que vous partagez avec vos proches.
- Avec le gabarit « SNS », les images téléchargées depuis les réseaux sociaux (SNS)*2 sont imprimées avec la photo de profil du compte et le nombre de “j’aime”
Côté encombrement, l’imprimante est minuscule (101,6 mm × 42 mm × 122,5 mm) et assez légère 253g (sans piles et pack de films)
Prix de lancement : 149 € TTC Disponibilité : avril 2014
🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.
Il s’agit là, non pas d’une impression traditionnelle avec pigment ou transfert mais d’un tirage sur papier Instax, donc argentique. Fuji a racheté des brevets à polaroid il y a quelques années pour créer l’Instax, deux formats existent, mini et wide. C’est extraordinaire d’entrevoir la complexité de ce petit objet car l’image est développée sur le film avec des leds de couleur… et en plus les films se trouvent déjà un peu partout.
Pour info, Fuji utilise depuis longtemps des technos de transfert thermique et le pogo de Pola n’est pas le seul.
Il aurait été facile de fouiller un peu plus de votre part. Dommage.