1,82 % du prix de chaque 3DS vendue sur la durée de vie totale de la console. C’est à cette sauce que Nintendo a été mangé dans le cadre de la procédure judiciaire perdue que Tomita Technolgy a lancée à son encontre.
Le Journal du Geek vous en avait déjà parlé l’année dernière, le litige concernait la violation d’un brevet revendiqué par Seijiro Tomita, un ancien employé de chez Sony, sur l’écran auto-stéréoscopique de la console.
Au prix où la console est vendue, Nintendo devra donc verser 3 dollars par console écoulée (un peu plus de 40 millions à ce jour). D’après VG24/7, cela s’ajoute à des dommages et intérêts de 30,2 millions de dollars que Nintendo avait réussi à faire baisser à 15 millions après une féroce bataille juridique.
Par contre, Nintendo de donnera pas le moindre dollar à Tomita pour la 2DS qui n’intègre pas cette technologie. #Malin.
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