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BlackBerry : pas de rachat et un changement de CEO

L’info vient de tomber : BlackBerry ne sera finalement pas racheté par Fairfax, la firme a en effet décliné l’offre du fond d’investissement, qui a connu…

L’info vient de tomber : BlackBerry ne sera finalement pas racheté par Fairfax, la firme a en effet décliné l’offre du fond d’investissement, qui a connu des difficultés pour réunir l’argent. Dans le même temps, la firme a annoncé le départ de son CEO Thorsten Heins.

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L’offre de 4,7 milliards de dollars a donc été poliment déclinée par BlackBerry qui doit trouver une autre issue. La firme canadienne indique donc qu’elle va lever un milliard de dollars pour la suite. Une décision qui ne fait pas sortir BlackBerry de la crise qu’elle traverse.

Dans le même, Heins est donc remercié et quitte la tête de BlackBerry. Il sera remplacé par John S. Chen, qui assurera l’intérim en attendant qu’un nouveau directeur permanent soit trouvé. La firme canadienne n’est pas sortie d’affaire pour autant, puisque d’autres firmes sont dans les starting-blocks pour un éventuel rachat.

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8 commentaires
  1. Ça veut pas dire qu’ils vont pas être racheter par un autre groupe non plus
    De plus ils ont une indemnité à reverser a fairfax
    Espérons qu’ils se relèvent et continue à sortir de bons smartphones

  2. @sirnas : Je pense que l’indemnité a été annulée d’un commun accord. Ce qu’oublie de préciser l’article, c’est que sur le milliard levé, Fairfax en amène déjà 25%, ce qui les place en premiers actionnaires.

  3. Ont-ils réellement une indemnité à reverser à Fairfax, sachant que si ça a foiré, c’est majoritairement à cause de Fairfax qui n’a pas pu trouver les fonds (aucune banque a voulu leur prêter)?

  4. Il s’agit du plan B prévu dès le lancement de l’OS 10 des z10 / z30 / q5 / q10, si la situation de stagnait.
    L’idée étant de sortir BlackBerry de la bourse et de créer une nouvelle sorte de structure “d’actionnaires familiaux”.

    Tout le foin autour de la mauvaise santé de BlackBerry, des ventes en deçà des prévisions, des licenciements & co … est issu d’articles erronés écrits d’une agence de presse détenue par un fond d’investissement, relayés par les média & la sphère internet.
    Effet boule de neige : ces annonces rendants les consommateurs frileux, ces derniers se tournaient alors davantage vers Android, Apple et Windows, n’arrangeant pas les affaires de BlackBerry.

    BlackBerry n’était pas à vendre, c’est FairFax, l’actionnaire principal de BlackBerry qui avait fait une offre d’achat pour spéculer sur le prix de l’action. Aucune indemnité n’est prévue.
    Il était par ailleurs hors de question qu’une société extérieure au continent américain rachètent les brevets ou entre au conseil d’administration (question sécurité).

  5. Spéculer sur le prix ?
    Fairfax ne pouvais pas acheter BB seul, et n’a pas su convaincre d’autres investisseurs de tenter l’opération avec lui. Preuve que BB n’attire pas les foules.
    Pour moi, c’est plutôt mauvais signe, et la preuve que BB va mal et que les investisseurs ne croient pas à la rentabilité d’un investissement dans cette boite. Et cette analyse est visiblement partagée par pas mal d’actionnaires puisque le titre a dévissé en bourse.

    Affaire à suivre

  6. Tout ceci n’a aucun rapport avec la confiance ou que BB va mal.
    … BB n’a pas de dette !! + dispose d’une trésorerie de 2,6 milliards $ + 1,7 milliards $ en brevet + près de 1 milliard en patrimoine.

    C’est uniquement des stratégies spéculatives, avec effet d’annonce, de contre annonce, d’annonces erronées, des paris boursiers sur la baisse, sur la hausse, à une certaines valeurs … tout cela dépasse notre entendement dès lors qu’il s’agit de la stupidité boursière dont BlackBerry veut se défaire.

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