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Un atelier d’armes imprimées en 3D découvert par la police britannique

Il faut que croire que le Liberator a fait des émules. Selon les informations obtenues par SkyNews (oui, celle qui pose problème à Microsoft), la police…

Il faut que croire que le Liberator a fait des émules. Selon les informations obtenues par SkyNews (oui, celle qui pose problème à Microsoft), la police britannique a découvert, jeudi 24 octobre, dans les environs de Manchester ce qu’elle a appelé “la première usine d’armes imprimées en 3D”.

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Plusieurs pièces servant à construire une arme à feu, notamment une partie de la gâchette ainsi que l’imprimante, une Replicator de Maker’s Bot visiblement, ont été saisi. L’inspecteur Chris Mossop qui a participé à l’opération a déclaré :

Si ce que nous avons saisi s’avère être des pièces viables pour construire une véritable arme, cela montre que les groupes de criminels sont capables d’utiliser des technologies facilement accessibles pour produire la prochaine génération d’armes.

Évidemment, le problème principal est que ces armes sont impossibles à repérer grâce à des détecteurs de métaux ou aux rayons X. Ceci étant dit, une arme totalement en plastique n’est pas encore sortie des imprimantes. On se souvient que Liberator gardait son percuteur en métal, et qu’il n’avait pu tirer que quelques cartouches avant de se détériorer.

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19 commentaires
  1. FAKE!!!
    Si les photos sont celles du local jamais une replicator 2 qui n’imprime qu’en PLA comme on peut le voir sur la photo numero 2 n’imprimera une arme fonctionelle.
    A bon entendeur…

  2. ça m’étonne quand même que ces armes ne puissent pas être détectées aux rayons X. Bon c’est sûrement une mauvaise traduction de “Scanner”

  3. @Dé², tant qu’a préciser, autant faire bien !
    On ne dit pas détente, mais queue de détente. La détente est encore à l’intérieur.

  4. On ne dit pas détente, ni gachette, mais “queue”. Ou queue de détente.

    La détente étant une pièce interne actionnée par la queue.

  5. A mon avis on n’a pas finit de trouver ce genre “d’usines”. Meme si ces objets sont peu fiables il peuvent quand même faire l’affaire après tout un coup peut suffire! Quand aux quelques pièces restant en métal j’imagine qu’il est possible d’en faire un moule avec ces imprimantes et de faire la pièce en plomb?

  6. Il est très facile de faire une “arme à feu” avec un simple papier journal et des allumettes.
    Il faudrait tout d’abord savoir s’il s’agit d’une arme à un coup (détruite lors de l’utilisation), d’une arme au coup par coup (genre révolver) et dans ce cas savoir si l’intégralité de l’arme est en plastique (peu crédible) et la puissance/portée réelle.
    Ou encore s’il s’agit d’un automatique.
    Techniquement ça ressemble plus à un atelier de “réparation” de modèles existants pour remplacer des pièces introuvables dans le commerce. Comme par exemple pour débrider une arme automatique, ou changer une queue de détente.
    Personnellement je n’essaierai pas de tire avec une arme en PBA. La loi de compression est suffisamment claire sur ce qui se passera fatalement…

  7. Effectivement, la détente, la gâchette et la queue de gâchette sont 3 pièces distinctes d’un revolver. Il ne faut pas les confondre!
    Ces armes, même si en plastique, ne sont pas détectables au détecteur de métaux, mais restes visibles au scanner. dans le “libérator”, le percuteur est effectivement en métal, mais il est recommandé d’avoir un canon en métal aussi, pour des questions de solidité. C’est sur que la prochaine génération d’armes à feux arrive, mais de là a, aujourd’hui, en faire une 100% en plastique, elle ne fonctionnerai pas (ou mal!)
    Ça reste dangereux, c’est sur, de savoir que n’importe qui peux imprimer son arme, mais on a encore un peu de temps avant de psychoter vraiment!

  8. Les scanners à rayon X utilisés dans les aéroports notamment permettent de détecter très facilement des armes même en plastique. A vrai dire on distingue n’importe quelle forme avec ces scanners.
    Ce sont peut être les portiques détecteurs de métaux qui posent plus de problèmes, mais j’ai de gros doutes sur le fait que les munitions soient en plastique…

  9. +1 @kisame

    C’est du lobbying afin d’éviter/contrôler la prolifération d’imprimantes 3d.
    C’est une orchestration afin d’imposer la mise en place de DRM dans les imprimantes 3d.

    Ils jouent sur la peur du terrorisme, etc

    Mais si on suit la définition du terrorisme selon wikiepdia :
    “Le terrorisme est l’emploi de la terreur à des fins politiques”

    Le véritable terrorisme n’est pas celui qu’on pense.

  10. Dr_Lind : Lorsque vous dites : “une replicator 2 qui n’imprime qu’en PLA”, c’est absolument faux.
    L’ajout d’un plateau chauffant permet d’imprimer en ABS, et l’imprimante est aussi compatible avec du nylon ou du silicone par exemple.

    Mais je doute fortement, quelque soit la matière, que la qualité d’impression d’une replicator soit suffisante pour imprimer toutes les pièces du Liberator, dont la prototype est issu d’imprimante d’une gamme bien supérieure (et bien plus cher).

  11. Plot twist, en fait c’est des pièces d’imprimante et pas d’arme ;).
    Je viens de le lire sur la page précédente sur mon feedly lol

  12. Je trouve que c’est un peu n’importe quoi là, un excès de zèle. Au mieux se sont des prototypes moins dangereux qu’une feuille de papier. Et au moins la feuille de papier elle peut couper au moins 4 fois avant de flancher et on peut en faire un avion et la lancer plus précisément et plus loin!

  13. Belle désinformation, digne des pires régimes politiques, pour faire interdire ou surtaxer ces imprimantes. Le tout relayé par des médias ni comprenant rien, n’ayant aucunes analyses.
    Et que je sache il va être très difficile d’imprimer les munitions et la poudre.
    Bref du grand n’importe quoi.

  14. si on dit pas “gachette” ni “détente” ni queue, alors il faudra que vous alliez vite prévenir les traducteurs des westerns et polars depuis 1950.
    Par contre y’a une catégorie de films où le terme exact est employé…

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