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iWork et Aperture sont gratuits à leur insu

La gratuité de la suite bureautique iWork pose de sérieux soucis de gestion à Apple. Dans la foulée du lancement des nouvelles versions de Pages et…

La gratuité de la suite bureautique iWork pose de sérieux soucis de gestion à Apple. Dans la foulée du lancement des nouvelles versions de Pages et consorts, de nombreux utilisateurs d’anciennes versions se sont vus offrir de… repasser à la caisse pour obtenir les nouvelles moutures.

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Si ce bogue a été réparé, il en est un autre qu’Apple ne devrait pas tarder à boucher : Pages, Numbers et Keynote, ainsi qu’iPhoto, iMovie, GarageBand (iLife) et Aperture peuvent ainsi être obtenus sans bourse délier par quiconque ayant installé une version piratée ou d’essai. Apple a offert il y a quelques années de télécharger des démos de ces logiciels. Si cela pose un sérieux problème pour Aperture, un logiciel qui coûte 69 euros, c’est aussi problématique pour iWork. La suite d’applications bureautiques n’est censée être gratuite que pour ceux ayant acheté un Mac depuis le 1er octobre.

On verra si Apple réussira à boucher cette faille dans les heures qui viennent. Mais Cupertino n’a jamais montré beaucoup de zèle dans la protection de ses logiciels – et on rappellera que le succès initial de la suite Office de Microsoft s’est bâti pour partie sur la facilité avec laquelle il était possible de la pirater.

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12 commentaires
  1. “le succès initial de la suite Office de Microsoft s’est bâti pour partie sur la facilité avec laquelle il était possible de la pirate”

    et le fait qu’il y avait pas grand chose d’autre à l’époque?

    Stop à la tentative de troll !!

  2. Pour combler la “faille” de mise à jour il faudrait déjà que les versions précédente aient eu une protection, hors ce n’est pas le cas.

  3. “Mais Cupertino n’a jamais montré beaucoup de zèle dans la protection de ses logiciels”

    “[…] on rappellera que le succès initial de la suite Office de Microsoft s’est bâti pour partie sur la facilité avec laquelle il était possible de la pirater.”

    Je suis pas du genre à troller les rédacteurs, mais si tu voulais être soit tant un peu crédible Mickaël, sache que tu t’es coulé toi même en deux phrases dont on ne doutera pas un instant de l’objectivité journalistique.

  4. Je pense qu’Apple se fout royalement des version piratée d’iWork, pour rappel cette suite logiciel n’est compatible qu’avec OS X sur un Mac donc. Le pirate et donc un client Apple qui a une raison de plus de rester chez Apple et renouveler un jour son matériel.

  5. Quant a la relation entre succès de MS Office et sont piratage facilité, je suis d’accord avec l’auteur. Si tout les particuliers avait utiliser open office (qui existe depuis un moment) ils auraient gardée leurs habitudes professionnellement. Car il y a 10 ans acheter Office pour faire son mémoire, ou un simple exposer de lycéen coûtait entre 300 € et 500€ soit le prix de mon ordinateur a cette époque.

  6. Ben, sors de ce corps

    @overdose of games

    “Si tout les particuliers avait utiliser open office (qui existe depuis un moment) ils auraient gardée leurs habitudes professionnellement.”

    Tu veux parler de cette bouse codée en Java ?…

  7. Je serai curieux de voir combien de personnes ont achetés MS Office pour usage privé dans les années 90 et début 2000… Il y a eu des offres intéressantes depuis (je pense aux étudiants) mais sinon ça restait hors de prix pour le commun des mortels… Et finalement, a part en milieu scolaire ou professionnel, j’ai vu beaucoup de monde avec la suite installée mais pas de licence payée derrière (expérience personnelle, je ne généralise pas!).

  8. @sgrol : Non, t’as pas tort. Pour un usage privé, énormément de personnes utilisaient des versions pirates.

Les commentaires sont fermés.

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