Assassin’s Creed IV: Black Flag va peut-être nous démontrer que cette série est plus à l’aise sur les sept mers que sur le plancher des vaches.
Assassin’s Creed n’est pas particulièrement une série de jeux que j’apprécie pour son game design. C’est toujours trop rigide. Si quelque chose n’est pas prévu par les concepteurs, le jeu vous le refusera. C’est difficile de sortir des clous et je trouve ça dommage, car au-delà de ça, tous les épisodes de la série sont de chouettes fresques historiques. Dans Assassin’s Creed III, dernier gros épisode en date, on nous avait introduit le concept de la navigation en bateau et il fallait bien admettre que si c’était annexe, c’était aussi très intéressant. Je pense que les équipes d’Ubisoft Montréal ont vu dans cette feature quelque chose qui avait le potentiel de bien renouveler le gameplay des Assassin’s Creed. Grand bien leur en a pris. Le bateau dans Assassin’s Creed IV: Black Flag, c’est carrément validé. Aye Captain’ !
On est épris d’un grand sentiment de liberté. Bien plus grand que ce qu’on pouvait ressentir dans les grandes villes que l’on a pu arpenter par le passé avec Ezio ou Connor. Dans la peau d’Edward Kenway, on se retrouve devant de grandes étendues de mers et devant d’innombrables îles que l’on a envie d’explorer, à la barre du fier Jackdaw, fendant les mers et les vaisseaux ennemis.
Une fois amarré dans une ville portuaire, vous devrez sauver quelques pirates esseulés en proie aux soldats anglais. Reconnaissants, ils rejoindront votre équipage. De la même façon, vous devrez veiller à ce que votre bateau reste en bon état et soit efficace au combat. Changer les canons, l’armature ou la voile sera donc essentiel pour que votre navire demeure la terreur des mers. La personnalisation de votre bateau sera au moins aussi importante que la personnalisation de votre équipement d’assassin.
Les combats en mer sont sensiblement les mêmes que sur Assassin’s Creed III, sauf qu’ils sont bien plus nombreux et qu’ils constitueront une grande partie de ce que vous aurez à faire dans le jeu. Les stratégies différeront en fonction de ce que vous allez attaquer : bateau marchand, frégate militaire ou même forteresse bardée de canons. Vous devrez également faire un choix à l’issue d’un combat naval, une fois que vous aurez rendu un bateau impuissant : le couler ou l’aborder. Dans le premier choix, vous ne prenez aucun risque et ne récupérerez que la moitié de la cargaison du bateau. Si vous décidez de l’aborder par contre, vous mettrez en péril la vie de vos hommes ainsi que la vôtre, mais vous gagnerez la totalité du butin si vous faites plier l’équipage adverse.
Assassin’s Creed IV: Black Flag, c’est un Malabar bi-goût, mi-Assassin’s Creed, mi-Risen 2: Dark Waters, et c’est une bonne chose. Je ne vous parle même pas de la partie terrestre du jeu, puisque c’est du Assassin’s Creed comme vous en avez déjà fait. Par contre, la partie navale est très plaisante, très rafraîchissante. Elle nous donne un grand sentiment de liberté et de contemplation lors des longs voyages, comme avait su le faire The Wind Waker à son époque. Sauf que là, on a les chants des marins en plus, et ça c’est vraiment cool. Le plus drôle c’est qu’on peut les choisir comme on choisirait une radio dans GTA V, en utilisant la croix.
C’est en tout cas une piste intéressante que nous propose Ubisoft Montréal. On va voir si ça relancera cette série qui avait tendance à tourner en rond sur la terre ferme.
Le jeu sors le 31 octobre sur Xbox 360 et PS3, et le 21 novembre sur Wii U, PC, Xbox One et PS4.
Assassin’s Creed n’est pas particulièrement une série de jeux que j’apprécie pour son game design. C’est toujours trop rigide. Si quelque chose n’est pas prévu par les concepteurs, le jeu vous le refusera. C’est difficile de sortir des clous et je trouve ça dommage, car au-delà de ça, tous les épisodes de la série sont de chouettes fresques historiques. Dans Assassin’s Creed III, dernier gros épisode en date, on nous avait introduit le concept de la navigation en bateau et il fallait bien admettre que si c’était annexe, c’était aussi très intéressant. Je pense que les équipes d’Ubisoft Montréal ont vu dans cette feature quelque chose qui avait le potentiel de bien renouveler le gameplay des Assassin’s Creed. Grand bien leur en a pris. Le bateau dans Assassin’s Creed IV: Black Flag, c’est carrément validé. Aye Captain’ !
On est épris d’un grand sentiment de liberté. Bien plus grand que ce qu’on pouvait ressentir dans les grandes villes que l’on a pu arpenter par le passé avec Ezio ou Connor. Dans la peau d’Edward Kenway, on se retrouve devant de grandes étendues de mers et devant d’innombrables îles que l’on a envie d’explorer, à la barre du fier Jackdaw, fendant les mers et les vaisseaux ennemis.
Une fois amarré dans une ville portuaire, vous devrez sauver quelques pirates esseulés en proie aux soldats anglais. Reconnaissants, ils rejoindront votre équipage. De la même façon, vous devrez veiller à ce que votre bateau reste en bon état et soit efficace au combat. Changer les canons, l’armature ou la voile sera donc essentiel pour que votre navire demeure la terreur des mers. La personnalisation de votre bateau sera au moins aussi importante que la personnalisation de votre équipement d’assassin.
Les combats en mer sont sensiblement les mêmes que sur Assassin’s Creed III, sauf qu’ils sont bien plus nombreux et qu’ils constitueront une grande partie de ce que vous aurez à faire dans le jeu. Les stratégies différeront en fonction de ce que vous allez attaquer : bateau marchand, frégate militaire ou même forteresse bardée de canons. Vous devrez également faire un choix à l’issue d’un combat naval, une fois que vous aurez rendu un bateau impuissant : le couler ou l’aborder. Dans le premier choix, vous ne prenez aucun risque et ne récupérerez que la moitié de la cargaison du bateau. Si vous décidez de l’aborder par contre, vous mettrez en péril la vie de vos hommes ainsi que la vôtre, mais vous gagnerez la totalité du butin si vous faites plier l’équipage adverse.
Assassin’s Creed IV: Black Flag, c’est un Malabar bi-goût, mi-Assassin’s Creed, mi-Risen 2: Dark Waters, et c’est une bonne chose. Je ne vous parle même pas de la partie terrestre du jeu, puisque c’est du Assassin’s Creed comme vous en avez déjà fait. Par contre, la partie navale est très plaisante, très rafraîchissante. Elle nous donne un grand sentiment de liberté et de contemplation lors des longs voyages, comme avait su le faire The Wind Waker à son époque. Sauf que là, on a les chants des marins en plus, et ça c’est vraiment cool. Le plus drôle c’est qu’on peut les choisir comme on choisirait une radio dans GTA V, en utilisant la croix.
C’est en tout cas une piste intéressante que nous propose Ubisoft Montréal. On va voir si ça relancera cette série qui avait tendance à tourner en rond sur la terre ferme.
Le jeu sors le 31 octobre sur Xbox 360 et PS3, et le 21 novembre sur Wii U, PC, Xbox One et PS4.
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