Exchange 2013
À l’occasion de la nouvelle version Exchange 2013, Microsoft a mis l’accent sur la sécurité.
Exchange intègre désormais une protection antimalware de base. Elle vient en complément du filtre anti-spam. Cette sécurité se double d’un reporting permettant à l’administrateur d’avoir un œil sur ce qui se passe précisément.
Exchange Online Protection (EOP) est une autre fonctionnalité importante figurant aux registres des nouveautés. Il s’agit d’un service premium qui vient remplacer ou agir en complément de la protection antimalware de base. Ce service, basé sur le cloud, assure une protection contre les malwares et les spams. Il permet de surcroît de filtrer les contenus, de bloquer des e-mails entrant et offre la possibilité de réglementer l’acheminement.
S’il est question de sécurité avec Exchange 2013, l’accent est également mis sur la prévention. Dans cette optique, la fonctionnalité DLP (pour Data Loss Prevention) s’avère essentielle. Elle met en œuvre une analyse de contenu afin de repérer et de protéger les données “sensibles”.
Les salariés peuvent ainsi être sensibilisés sur la sécurité interne en étant informés par Outlook en cas de violation des politiques de sécurité relatives au contenu qui sont définies par l’organisation.
Afin de simplifier et de favoriser le passage au Cloud, Microsoft a facilité la tâche de l’administrateur en fusionnant les consoles de gestion d’Exchange 2010 et d’Exchange Online. Baptisée PowerShell, elle offre ainsi une administration centralisée.
Dans le même esprit, l’ensemble des BAL peut être dispatché sur le Cloud et sur l’infrastructure de l’entreprise, sans que cela n’ait d’incidence sur les utilisateurs finaux.
Notons par ailleurs que, depuis juillet 2013, Microsoft a lancé l’application Outlook Web App pour iOS destinée aux abonnés à Office 365 Entreprise. Comme son nom l’indique, Microsoft s’est contenté du minimum en intégrant la Web App dans une appli. L’éditeur de logiciels l’a toutefois agrémentée de fonctionnalités non présentes sur la Web App avec la reconnaissance vocale et bien évidemment la gestion des notifications.
Sommaire du Dossier :
- 1. Introduction, Offres et tarifs d’Office 365 pour les entreprises
- 2. Lync 2013
- 3. Exchange 2013
- 4. SharePoint 2013
- 5. Conclusion
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Bon c’était bien du publi-rédac’ et pas identifier en tant que tel…
Pourtant cela doit être identifié normalement:
“L’annonce doit être identifiée par une mention du type “publi-communiqué” ou “publi-rédactionnel” sous peine d’infraction aux dispositions du droit de la consommation et de la LCEN.”
Pour avoir utilisé SharePoint 2007, 2010 et depuis peu 2013, leur dernière version est vraiment impressionnante niveau boulot pour intégrer une espèce de version d’office sur navigateur avec fonction de partage/synchronisation dans le cloud.
oui il me semblait aussi voir la patte de crosoft. Un article autant détaillé vantant une offre aussi vaseuse, alors que je ne connais aucune entreprise qui l’utilise au quotidien…
bref ca leur fait de la pub (y en a partout d’ailleurs, en haut, en bas…) et c’est donc bien un publi-rédactionnel comme le dit guigs321
Ce que j’ai bien aimé c’est de le classer dans les comparatifs… mais alors ou est son concurrent pour avoir la comparaison ??? 🙂
@alain : “alors que je ne connais aucune entreprise qui l’utilise au quotidien”
Et alors ? Si tu ne connais pas, ça n’existe pas ?
“sous peine d’infraction aux dispositions du droit de la consommation et de la LCEN”
Sauf erreur de ma part, il faut que l’article ait été vendu par le JDG à Microsoft pour tomber sous ces dispositions.
Par contre, pour équilibrer le dossier, il faudrait en faire un sur les solutions proposées par les concurrents.
C’est le suite du premier dossier, arrêtez de voir le mal partout tout le temps… c’est lassant.
bien vu Marc 😉
@Greg, c’est pas une histoire de voir le mal partout (meme si avec microsoft, on peut en parler puisqu’il considère par exemple les collectivites locales comme des vaches a lait financièrement parlant) mais plutot de parler d’honnêteté du rédacteur de l’article par rapport a tout ce qui est écrit ! Voilà tout.
LibreOffice qui fonctionne sur toutes les plate-formes est disponible à partir de 0€/utilisateur et par mois mois pour les particuliers & les entreprises.
@goround : et toutes les organisations qui y sont passées en sont revenues, parce que ça ne marche pas.
Le jour où LibreOffice réussira à gérer des références et une hiérarchisation des paragraphes correctement, on en reparlera. Pour le moment c’est du niveau de MS Office 2003 : un produit qui a 10 ans de retard, qui rame, qui bugge, et qui ne fait pas ce qu’on lui demande.
LibreOffice … en entreprise …. ahahahaha la bonne blague !
@vaal : ?!? l’as tu déjà utilisé ?
Je travaille avec pour rédiger des documentations et je ne rencontre pas de problèmes majeurs. (pas plus qu’avec Word quand je l’utilisais)
Je n’ai pas à me préoccuper du prix de la licence et de plus, ça fonctionne partout, c’est plutôt cool.
Je connais des entreprises qui sont passées dessus et qui ne reviennent pas en arrière.
Avant de taper sur LibreOffice, il faudrait peut être étayer ses arguments … un exemple de problème de hiérarchisation des paragraphes m’intéresserait beaucoup.
vous confondez. vous parlez d’un sujet qui vous échappe.
déjà cette solution permet de faire pas mal de truc.
prochainement je vais intégrer la solution SharePoint dans une entreprise. Franchement, c’est un outils qui est largement supérieurs à ses concurrent (IBM Lotus Notes, Alfresco, etc…). tous ceux que je connais y en a pas un seul de gratuits.
il permet de réaliser des sites web facilement(intranet et extranet), du versionning de document, de réaliser des réunions, de personnaliser ses recherches à souhait, propose des outils de BI.
Et en plus l’indexation PRISM est inclue gratuitement dans toutes les offres.
@goround : je l’ai déjà utilisé EXTENSIVEMENT pour des documentations, rapports et autres. Par rapport à Office 2010, rien à voir.
Outre le fait que MS Office est (selon moi) mieux que LibreOffice, Office 365 va bien au-delà. Ça intègre une énorme dimension Cloud, des outils de messagerie…
Le seul produit équivalent, c’est Gmail/Drive (qui, je crois, n’est pas gratuit pour les entreprises).
@krimog : “… Outre le fait que MS Office est (selon moi) mieux que LibreOffice …”, c’est certainement vrai, M$ et son armée de développeurs font mieux qu’un projet libre c’est encore heureux 😉
Le tout c’est d’avoir conscience que les fonctionnalités existent et d’en avoir réellement besoin, je veux dire par la, est-ce que ça va vraiment apporter de la productivité à mes collaborateurs (est-ce que le jeu en vaut la chandelle en somme)
La dernière chose qui me chatouille avec ce genre de produit, c’est que si je commence, ça va être dur d’arrêter l’abonnement. (tous les fichiers dans un format proprio, dans un cloud proprio, etc.)
Enfin c’est mon opinion …
Ca devient lassant cette histoire de proprio ou libre !! Et alors ?
C’est mal d’avoir un format propriétaire s’il convient bien ?
Aujourd’hui, les formats Word et Excel sont reconnus partout…
De plus, Office permet de traiter les fichiers en OpenXML et Opendoc si je ne me trompe pas.
@mistergamer : Entièrement d’accord. Quand on connait les solutions, on s’en rend vite compte.
Google apps for business est une bonne alternative.
Ces offrent ont plus tendance à ravir les entreprises souhaitant s’affranchir de la partie serveur cependant certaines entreprise sont réticentes de ne pas maîtriser l’endroit où sont stockés leurs données.
Je sais que microsoft propose de cibler un datacenter (par exemple l’irlande) mais google ne promet que d’avoir ses données en europe (pas un datacenter mais plusieurs à cause de la techno employé par google). Après c’est un choix stratégique et c’est contracté mais bon on ça reste toujours abstrait et très difficile de vérifier où sont vraiment les données :-).