Spelunky, le jeu de plateforme/rogue like qui a déjà mis à rude épreuve vos nerfs sur PC et Xbox 360, arrive dans une version PS Vita. Le jeu se prête parfaitement à la portabilité, mais l’adaptation n’est pas tout à fait sans défauts.
J’arrive dans le couloir, il y a une caisse au bout. Rah, j’espère vraiment qu’il y a des cordes à l’intérieur. Zut ! J’ai mis trop de temps ! Le fantôme m’a coincé dans ce cul-de-sac ! Que faire ? Que faire ? Vite ! Je vais poser une bombe ici, ça m’ouvrira un passage vers la salle du dessous. Je ne vois pas sur quoi, ou sur qui, je vais atterrir… C’est risqué, mais ce n’est pas comme si j’avais le choix ! Sautons, vite !
*Strasbourg Saint-Denis, Strasbourg Saint-Denis*
Ah, c’est mon arrêt. Je mets ma console en veille et je me lève. On verra plus tard si je m’en sors.
Spelunky sur PS Vita, c’est ce chef-d’œuvre de la scène indépendante qui rencontre une portabilité bienvenue. Ce rogue-like/plateformer en 2D impitoyable offrait déjà sur le XBLA de courtes sessions intenses où le héros doit plonger dans les profondeurs d’une caverne pour y dénicher les plus beaux trésors, armé uniquement de quelques cordes, de quelques bombes et d’un fouet. Votre personnage ne saute pas bien haut, se fait mal s’il tombe trop vite et possède une santé fragile.
C’est un jeu qui vous fait comprendre votre douleur et vous devrez toujours en apprendre plus sous peine de toujours mourir de la même façon, encore et encore. Vérifier là où vous allez atterrir avant de vous laisser tomber dans un gouffre, lancer un objet pour déclencher un piège avant de passer vous-même, ou encore jeter les pots contre les murs plutôt que de les casser avec votre fouet et risquer de se faire mordre par un serpent. Voilà autant de leçons que vous devrez retenir sous peine de perdre des points de vie très rapidement. Voire la vie, d’un seul coup, si vous avez le malheur de vous faire empaler sur des pics ou dévorer vivant par une plante carnivore. Et si vous mourez, vous reprenez du niveau 1-1. Sans pitié.
Vous ne ressentirez aucune frustration pourtant. Car à chaque descente dans cet enfer, c’est un nouveau tableau rempli de dangers qui vous accueillera. La génération aléatoire des niveaux fait toute la richesse de Spelunky et nous donne toujours envie de recommencer tout en mettant à rude épreuve notre capacité d’adaptation. Plutôt qu’un die and retry, un die and adapt, à l’instar de The Binding of Isaac dans son genre. Cependant, un système de raccourcis se forme au fur et à mesure des parties, si le joueur remplit certaines conditions qui se résument à passer certains checkpoints avec un objet précis. Vous menant directement aux premiers niveaux de chaque strate, ils vous permettent de vous entraîner à survivre dans les différents environnements, au nombre de quatre (plus un, caché).
Les sessions de jeux étant très courtes, elles se marient très bien avec la portabilité. Et surtout celle de la PS Vita, qui offre un magnifique affichage des graphismes. Il est toutefois dommage que le jeu souffre parfois de quelques chutes de framerate voire même de ralentissements quand trop d’effets s’accumulent à l’écran (brume dans le monde 2 ou la neige dans le monde 3 par exemple). Rien qui ne pourrisse complètement l’expérience de jeu, mais cela laisse quand même un petit arrière-gout de « pas fini ». Et on sait que la PS Vita a largement la puissance de faire tourner Spelunky.
Spelunky sur PS Vita, pour ceux qui ne peuvent pas se passer de Spelunky quand ils sortent de chez eux. Si vous comptez y jouer chez vous, préférez les versions PC ou Xbox 360 qui vous offriront une expérience optimale. Mais pour ceux qui veulent affronter la caverne dans les transports ou dans la salle d’attente du médecin, cette version de Spelunky vous le permettra.
J’arrive dans le couloir, il y a une caisse au bout. Rah, j’espère vraiment qu’il y a des cordes à l’intérieur. Zut ! J’ai mis trop de temps ! Le fantôme m’a coincé dans ce cul-de-sac ! Que faire ? Que faire ? Vite ! Je vais poser une bombe ici, ça m’ouvrira un passage vers la salle du dessous. Je ne vois pas sur quoi, ou sur qui, je vais atterrir… C’est risqué, mais ce n’est pas comme si j’avais le choix ! Sautons, vite !
*Strasbourg Saint-Denis, Strasbourg Saint-Denis*
Ah, c’est mon arrêt. Je mets ma console en veille et je me lève. On verra plus tard si je m’en sors.
Spelunky sur PS Vita, c’est ce chef-d’œuvre de la scène indépendante qui rencontre une portabilité bienvenue. Ce rogue-like/plateformer en 2D impitoyable offrait déjà sur le XBLA de courtes sessions intenses où le héros doit plonger dans les profondeurs d’une caverne pour y dénicher les plus beaux trésors, armé uniquement de quelques cordes, de quelques bombes et d’un fouet. Votre personnage ne saute pas bien haut, se fait mal s’il tombe trop vite et possède une santé fragile.
C’est un jeu qui vous fait comprendre votre douleur et vous devrez toujours en apprendre plus sous peine de toujours mourir de la même façon, encore et encore. Vérifier là où vous allez atterrir avant de vous laisser tomber dans un gouffre, lancer un objet pour déclencher un piège avant de passer vous-même, ou encore jeter les pots contre les murs plutôt que de les casser avec votre fouet et risquer de se faire mordre par un serpent. Voilà autant de leçons que vous devrez retenir sous peine de perdre des points de vie très rapidement. Voire la vie, d’un seul coup, si vous avez le malheur de vous faire empaler sur des pics ou dévorer vivant par une plante carnivore. Et si vous mourez, vous reprenez du niveau 1-1. Sans pitié.
Vous ne ressentirez aucune frustration pourtant. Car à chaque descente dans cet enfer, c’est un nouveau tableau rempli de dangers qui vous accueillera. La génération aléatoire des niveaux fait toute la richesse de Spelunky et nous donne toujours envie de recommencer tout en mettant à rude épreuve notre capacité d’adaptation. Plutôt qu’un die and retry, un die and adapt, à l’instar de The Binding of Isaac dans son genre. Cependant, un système de raccourcis se forme au fur et à mesure des parties, si le joueur remplit certaines conditions qui se résument à passer certains checkpoints avec un objet précis. Vous menant directement aux premiers niveaux de chaque strate, ils vous permettent de vous entraîner à survivre dans les différents environnements, au nombre de quatre (plus un, caché).
Les sessions de jeux étant très courtes, elles se marient très bien avec la portabilité. Et surtout celle de la PS Vita, qui offre un magnifique affichage des graphismes. Il est toutefois dommage que le jeu souffre parfois de quelques chutes de framerate voire même de ralentissements quand trop d’effets s’accumulent à l’écran (brume dans le monde 2 ou la neige dans le monde 3 par exemple). Rien qui ne pourrisse complètement l’expérience de jeu, mais cela laisse quand même un petit arrière-gout de « pas fini ». Et on sait que la PS Vita a largement la puissance de faire tourner Spelunky.
Spelunky sur PS Vita, pour ceux qui ne peuvent pas se passer de Spelunky quand ils sortent de chez eux. Si vous comptez y jouer chez vous, préférez les versions PC ou Xbox 360 qui vous offriront une expérience optimale. Mais pour ceux qui veulent affronter la caverne dans les transports ou dans la salle d’attente du médecin, cette version de Spelunky vous le permettra.
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