Yann Seznec, patron du studio Lucky Frame à l’origine du jeu est bon joueur.
Le nombre de pirates nous confirme que nous avons fait un titre sur lequel les gens adorent jouer.
Et il fait bien, car il ne peut pas y faire grand-chose : 95 % de ces piratages viennent de Chine ou de Russie. Autant de marchés que le studio ne visait pas particulièrement.
Le vrai problème est que la grande majorité de ces pirates évoluent dans un écosystème commercial ou Google Play Store n’existe même pas. Ils n’auront jamais l’opportunité d’acheter le jeu.
Ça semble assez inexorable, en effet.
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