Si vous faites les comptes, cela veut dire que 73% des gens ont acheté la Ouya sans acheter un jeu ensuite. Ça nous semble pas extraordinaire quand même, même si ce 27% doit être apprécié en fonction des spécificités de la console, taillée pour l’émulation et où l’on peut essayer quasiment tous les jeux gratuitement.
Julie Uhrman nous sort ensuite de son chapeau un autre chiffre dont le décryptage a coûté à la rédaction 2 kilos de paracétamol : la Ouya a un taux d’attachement de 8% sur les 13 jeux qui se vendent le mieux. Pour votre gouverne, le taux d’attachement exprime combien de possesseurs d’un système ont aussi acheté un autre produit de ce système (jeu ou accessoire). Ce taux est calculé en fonction de la taille du parc de machines ; si un jeu se vend à 1 million alors que le parc de machines est de 10 millions, alors le taux d’attachement sera de 10%. Voilà. Ben celui de la Ouya (sur ses 13 jeux les plus vendus et en fonction de nombres de consoles écoulées) est de 8%. Il paraîtrait, là aussi, que ce soit génial. La rédaction s’interroge.
Pour l’anecdote et pour dire un truc simple à comprendre dans cette actu, le jeu le mieux vendu sur Ouya est TowerFall, et pour savoir ce que l’on pense de notre petite Ouya, qui dort dans un petit carton sous le bureau de Kocobe, l’on vous renvoie à notre journée passée avec la console.
🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.