Bon, heureusement, le monsieur ne nie pas que son jeu a rencontré quelques menus problèmes à la sortie, mais à l’écouter, tout est désormais réglé.
Rétrospectivement, ce qui a fait la différence, c’est que (la licence) SimCity compte un nombre incroyable de fidèles. La première semaine après le lancement du jeu était vraiment très éprouvante – une expérience que personne ne voudrait connaître à nouveau. Depuis cela, nous avons vendu plus de 2 millions de copies, et le nombre de joueurs connectés est stable. SimCity est un succès. Le fait que nous avons sous-estimé la demande le premier mois a été une erreur majeure, mais nous espérons que le jeu et les services que nous avons mis en place ont rencontré les exigences des joueurs.
Alors tendre candide ou intelligent communiquant ? On parierait plutôt sur le second. Toujours est-il que l’image de la licence, autant que celle de l’éditeur américain, a été particulièrement écornée dans cette affaire. Frank Gibeau en est heureusement conscient, et explique, toujours à VentureBeat, quelles décisions stratégiques la firme a déjà pris et compte prendre pour qu’elle ne soit pas l’an prochain une nouvelle fois élue “Worst Company In America” pour la troisième fois de suite…
🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.