En cause, une clause dans le contrat – signé en 1986 – qui liait les deux parties et qui stipulait que Robin Antonick devait toucher des brouzoufs sur tout travail qui dérivait de la version originale de EA Madden. Or, il se trouve que selon notre homme – et selon une court californienne – tous les épisodes de Madden jusqu’à Madden NFL 96 partageaient peu ou prou tout avec la version originale et s’appuyaient sur les mêmes phases de jeux et formations.
Le procès, qui a vu le grand jour en avril 2011, n’a peut-être pas encore révélé tous ses rebondissements puisque le tribunal doit maintenant déterminer si Robin Antonick peut toucher des royalties sur les épisodes postérieurs à 1997, ce qui ferait de ce joyeux drille un homme riche qui pourrait immédiatement se retirer en Corse pour pécher la Rascasse rouge et lire du Tolstoï.
Affaire à suivre.
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