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L’impression 3D : dangereuse pour la santé ?

Imprimer en 3D, c’est la nouvelle révolution du moment. Mais cette nouvelle tendance peut potentiellement être dangereuse. C’est en tout cas ce que démontre une étude…

Imprimer en 3D, c’est la nouvelle révolution du moment. Mais cette nouvelle tendance peut potentiellement être dangereuse. C’est en tout cas ce que démontre une étude de l’université de l’Illinois, aux États-Unis.

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Après avoir testé 5 imprimantes 3D utilisant la technique du dépôt de plastique (sans préciser lesquelles), les chercheurs sont arrivés à la conclusion suivante : les imprimantes peuvent avoir des effets néfastes sur la santé. Mais rassurez-vous si vous utilisez ce genre d’appareil, il faut relativiser.

Ici, ce sont les microparticules de plastique qui sont visées. Inhalées à forte dose, elles peuvent être aussi dangereuses que la cigarette et sur le long terme, provoquer des cancers. Mais ce danger ne serait présent que dans les pièces peu ou pas ventilées. Si vous voulez vous rassurer, il suffit donc d’ouvrir une fenêtre et le tour est joué.

Mais bon, pour l’instant, imprimer en 3D n’a jamais tué personne.

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19 commentaires
  1. Chapeau pour votre illustration qui démontre bien que ce nouveau bijou de la technologie est au service des créatifs !

  2. lol la photo, c’est sûr que ce genre d’impression 3D peut avoir des répercutions rectales néfastes sur le long terme 🙂

  3. dans 100 ans plu besoin d aller au resto avec une impri atomique en 4d
    aparament la saucisse de madame est deja servis 😉

  4. En ventilant bien les pièces on devrait pouvoir éviter les risques de l’amiante aussi.
    Un peu léger comme solution je trouve. Le risque existe et n’est pas à négliger, même si on n’en est qu’au début des imprimantes 3D, il y a sans doute encore des progrès à faire de ce côté là.

  5. Ou tout simplement intégrer un système d’aspiration des particules, comme cela se fait déjà dans beaucoup de machines industrielles!!

  6. donc le but premier des créatifs de la 3D à ce que je vois, c’est de rentrer dans les personnes… Soit en envoyant un projectile, soit en envoyant l’objet lui-même…

  7. c’est sur, tout le monde voudra faire son gode : en plus chacun pourra choisir la taille, la couleur, la matière, la courbure le tout sans se faire piquer le paquet par le facteur ou le livreur

  8. malheureusement, ventiler n’est pas aussi simple car dans un soucis de qualité d’impression l’environnement d’impression doit être le plus stable possible au cours du dépôt de matière. si ventilation il y a il faut prévoir de la réguler en température et en vitesse de flux (laminaire idéalement) afin de pouvoir quantifier ses effets sur l’impression et de fait pouvoir les compenser.
    un bon exemple de machine ayant mis un tel procédé en place est cette reprap:
    http://kuehlingkuehling.de/kuhlingkuhling-reprap-industrial/
    équipé de ventilateur chauffant avec filtre à charbon actif.

    ah et une dernière chose, à ma connaissance ce sont principalement les machines imprimants avec du plastique ABS qui sont toxique et … c’est pas du tout nouveau comme info pour ceux qui sont dans le milieu. C’est une bonne chose par contre que le grand public ai l’occasion d’en entendre parler. Après c’est comme partout, il faut être conscient des dangers de ce que l’on utilise et si on s’en soucis prendre les mesures adéquates pour s’en protéger (pour peu que celles-ci existent).

  9. Vu que l’impression 3D existe dans l’industrie depuis 25 ans, je ne m’avancerais pas sur la dernière phrase de l’article…

  10. Une imprimante avec un coffrage(comme sur certains modèles) + un système d’aspiration\filtrage et le tour est joué

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