C’est vraiment très compliqué de vous parler de The Walking Dead: 400 Days sans vous gâcher le plaisir de la découverte. Tout ce que je peux vous dire, c’est que ce qu’a essayé de faire TellTale Games est très réussi.
De nos jours, on fait de grands débats pour savoir ce qu’il faut privilégier dans un jeu entre la narration et le système de jeu. TellTale Games nous prouve avec ce petit ajout qu’il est tout à fait possible de faire les deux intelligemment, en intégrant une histoire pensée pour le game design à un game design pensé pour l’histoire. Ce petit hors série de la formidable adaptation de la série The Walking Dead en jeu vidéo, a été pensé comme une petite expérience indépendante du reste, même s’il n’est pas possible de jouer à ce DLC sans sa saison 1.
Essayons quand même de rassembler ce qu’on peut dire de ce jeu sans vous porter préjudice. Vous allez incarner cinq personnages qui ont vécu à cinq moments différents dans les 400 jours qui ont suivi l’apocalypse qui a touché le monde de The Walking Dead. Ils ont tous des profils divers et n’ont a priori aucun point commun. Sauf qu’en fait, si. Mais sur ce point, je ne peux pas vous en dire plus.
Comme à l’acoutumée, dans The Walking Dead: 400 days, nos choix ont des conséquences. Et si dans la saison 1, on ressentait sur le long terme les effets de nos décisions (qui on se met à dos, qui on se met dans la poche…), ici, on se prend les répercussions à la fin du DLC, de manière violente. Et c’est normal, puisque les différents parcours de ces cinq personnages s’étalent sur 400 jours. Ainsi, ce n’est qu’à la fin et avec violence qu’on mesure la conséquence de nos choix. Mais sur ce point, je ne peux pas vous en dire plus.
TellTale Games a monté un DLC qui crée une très belle synergie entre ces différentes histoires et les interactions que le joueur effectue (principalement dans les choix qu’il fait). Et ce n’est qu’à la toute fin du jeu que l’on comprend les mécanismes que l’on a enclenchés et le résultat qui en découle. On observe le résultat, et on a une furieuse envie de recommencer pour voir ce qu’il se serait passé si on avait fait autrement. D’autant que ce petit surplus de The Walking Dead est court, entre 1 h 30 et 2 h, grand maximum. Cette petite durée de vie n’est pas vraiment un défaut, car il apporte également une vraie rejouabilité et une irrépressible l’envie de changer les événements de la fin. Mais sur ce point, je ne peux pas vous en dire plus.
The Walking Dead: 400 days ne coûte que 5 euros et il les vaut largement. Petit complément d’âme à une série qui en avait déjà beaucoup à revendre, il arrivera à vous surprendre en 1 h 30, là où des tas d’autres jeux vous laisseront de marbre avec des scénarios alambiqués de 15 heures. Mais sur ce point, je ne peux pas vous en dire plus, sinon que se laisser tenter est la sage décision à prendre ici.
The Walking Dead: 400 days, c’est pour 5 euros et c’est sur Steam, iOS, PSN, XBLA.
De nos jours, on fait de grands débats pour savoir ce qu’il faut privilégier dans un jeu entre la narration et le système de jeu. TellTale Games nous prouve avec ce petit ajout qu’il est tout à fait possible de faire les deux intelligemment, en intégrant une histoire pensée pour le game design à un game design pensé pour l’histoire. Ce petit hors série de la formidable adaptation de la série The Walking Dead en jeu vidéo, a été pensé comme une petite expérience indépendante du reste, même s’il n’est pas possible de jouer à ce DLC sans sa saison 1.
Essayons quand même de rassembler ce qu’on peut dire de ce jeu sans vous porter préjudice. Vous allez incarner cinq personnages qui ont vécu à cinq moments différents dans les 400 jours qui ont suivi l’apocalypse qui a touché le monde de The Walking Dead. Ils ont tous des profils divers et n’ont a priori aucun point commun. Sauf qu’en fait, si. Mais sur ce point, je ne peux pas vous en dire plus.
Comme à l’acoutumée, dans The Walking Dead: 400 days, nos choix ont des conséquences. Et si dans la saison 1, on ressentait sur le long terme les effets de nos décisions (qui on se met à dos, qui on se met dans la poche…), ici, on se prend les répercussions à la fin du DLC, de manière violente. Et c’est normal, puisque les différents parcours de ces cinq personnages s’étalent sur 400 jours. Ainsi, ce n’est qu’à la fin et avec violence qu’on mesure la conséquence de nos choix. Mais sur ce point, je ne peux pas vous en dire plus.
TellTale Games a monté un DLC qui crée une très belle synergie entre ces différentes histoires et les interactions que le joueur effectue (principalement dans les choix qu’il fait). Et ce n’est qu’à la toute fin du jeu que l’on comprend les mécanismes que l’on a enclenchés et le résultat qui en découle. On observe le résultat, et on a une furieuse envie de recommencer pour voir ce qu’il se serait passé si on avait fait autrement. D’autant que ce petit surplus de The Walking Dead est court, entre 1 h 30 et 2 h, grand maximum. Cette petite durée de vie n’est pas vraiment un défaut, car il apporte également une vraie rejouabilité et une irrépressible l’envie de changer les événements de la fin. Mais sur ce point, je ne peux pas vous en dire plus.
The Walking Dead: 400 days ne coûte que 5 euros et il les vaut largement. Petit complément d’âme à une série qui en avait déjà beaucoup à revendre, il arrivera à vous surprendre en 1 h 30, là où des tas d’autres jeux vous laisseront de marbre avec des scénarios alambiqués de 15 heures. Mais sur ce point, je ne peux pas vous en dire plus, sinon que se laisser tenter est la sage décision à prendre ici.
The Walking Dead: 400 days, c’est pour 5 euros et c’est sur Steam, iOS, PSN, XBLA.
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