Apple a remporté l’appel d’offres suite aux retours positifs des utilisateurs et a décroché la confiance des investisseurs publics. Dès le mois d’octobre, ce seront 47 établissements de L.A. qui seront équipés de la tablette de la firme à la Pomme.
Ce seront plus de 600 000 élèves qui devront à termes être équipés par Apple et les livraisons se feront petit à petit. Apple a remporté l’appel d’offres grâce à ses logiciels. Car même si la tablette n’est pas la moins onéreuse du marché, Apple a séduit grâce aux contenus éducatifs installés sur les tablettes.
Une victoire pour Apple qui se félicite bien entendu de ce nouveau contrat.
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C’est très bien ! (pas la marques, de bosser avec des tabs).
Le seul point qui en fait est important, c’est le contenu. Si le contenu est adaptable (autres os et ordi aussi) mais surtout si ces écoles peuvent distribuer le contenu en adHoc et non pas par iTunes U.
Car Apple, Google, Microsoft ne doivent pas se positionner comme transitaire obligatoire pour le contenu, ce n’est ni leur boulot, ni leur corps de métier.
Laissez cela aux éditeurs de contenu.
Je bosse actuellement sur un projet de livres électroniques pour écoles et nous avons enfin trouver une solution multiplateformes, multi-écran. Il ne faut pas que les écoles publiques laissent des multinationales se faire emprisonner pour le contenu.
Concernant les manuels scolaires, je trouve que c’est une très bonne initiative. ça fait quelques années que j’ai quitté l’école, mais les livres étaient encombrants et surtout le contenu se réactualisent assez souvent. Il n’y avait pas plus éphémère que les manuels scolaires. C’était une plaie à la revente tellement ça peut dévaluer vite. Et c’était un peu pareil avec les poly en étude supérieurs, c’était une sacrée plaie aussi.
Pour moi c’est un usage complètement adapté.
Après, les tablettes ont une certaines valeurs marchandes. Quid de la sécurité des écoliers quand on peut être sûr qu’ils ont du matos à quelques centaines d’euros dans leurs sac à dos.
@Grogeek
oui, évidemment qu’il faut que les livres soient multiplateforme, et c’est un des jobs des éditeurs. c’est d’autant plus important que le marché est relativement plus équilibré que celui du PC.
après, pour les non-éditeurs, comme les prof, il faut voir les outils dispo à un temps T : Apple propose iBooks Author, gratuit (seulement sur Mac) qui permet de créer des livres interactif grace “super” illustrations (images, vidéo, objets 3D déplaçables), et ça fait de très belles choses!!
après, le format est un dérivé de l’ePub 3, spécifique à Apple, et on retombe sur les travers d’Apple, la tendance à rendre captif.
Et ils peuvent continuer à niquer le fisc américain en plus 🙂
Les tablettes dans l’éducation, oui pourquoi pas, elles ont des atouts que les livres n’ont pas (et inversement),
Mais par pitié : pas de format propriétaire, captif ! C’est un peu comme si on ne pouvait imprimer des manuel scolaires que sur du papier clairefontaine.
c’est pas trop le fait que els générations futures ne pourront plus avoir al sensation de la feuille de papier qui me gêne volberg. Andy Warhol disait “Dans le futur, chacun aura droit à 15 minutes de célébrité mondiale”. Si ça continue, il va falloir inverser ce postulat et dire “Dans le futur, tout le monde aura droit à son quart d’heure d’anonymat”, vu qu’il ne pourra pas prétendre à avoir plus vu toutes les méthodes utilisées pour nous pister, connaître nos goûts, espionner notre navigation …