Au mois de mars, l’ASIC a décidé de bloquer un site, mais voilà, tout ne s’est pas passé comme prévu. Au total, ce sont 250 000 sites qui sont tombés. Un surblocage qui résulte d’une grosse erreur, mais l’agence tente de se justifier en limitant les dégâts.
Selon l’ASIC, seuls 1000 sites étaient réellement actifs (dont celui d’une université australienne), les 249 000 n’étant que des coquilles vides ou étaient des noms de domaines en vente. Pourquoi avoir bloqué 250 000 sites alors qu’un seul étaient visé ? L’ASIC affirme qu’elle ignorait que les sites bloqués partageaient la même adresse IP que le site cible.
Ce blocage est permis par la section 313, un texte décrié au pays du kangourou qui permet à l’agence d’obliger les FAI à bloquer certaines adresses IP. L’histoire fait scandale en Australie et certains estiment que l’ASIC dispose de beaucoup trop de pouvoir concernant le blocage des sites, blocages conduisant à des dommages collatéraux regrettables.
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Quand on ne sait pas on ne fait pas
@Jo
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Heureusement que la Pologne nous a sauver de sa (ACTA)!