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Zynga, en grande difficulté, licencie 18% de ses effectifs

Avec des titres comme FarmVille, Words with Friends ou Draw Something au catalogue, on pourrait penser que Zynga roule sur l’or et qu’un avenir brillant attend…

Avec des titres comme FarmVille, Words with Friends ou Draw Something au catalogue, on pourrait penser que Zynga roule sur l’or et qu’un avenir brillant attend l’éditeur. Et bien pas du tout. Le studio vient d’annoncer une nouvelle charrette de licenciements.

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Zynga a en effet annoncé le licenciement de 18% de ses effectifs, soit 520 employés. Les bureaux de New York, Los Angeles et Dallas vont sentir le fil de la hache s’abattre sur eux, puisqu’ils n’existent plus. Cette coupe sombre pour une société comprenant 2.900 employés va permettre d’économiser environ 80 millions de dollars, et de conserver -jusqu’à quand ?- les antennes de Pékin, de Bangalore en Inde, et bien évidemment du QG de San Francisco. Ces licenciements seront effectifs d’ici au mois d’août.

Zynga n’en est malheureusement pas à sa première charrette : en octobre dernier déjà (en pleine keynote d’Apple histoire de faire le moins de bruit possible), l’éditeur annonçait la mise à la porte de 5% de ses effectifs. En cause, la difficulté de transposer le modèle qui a fait ses preuves sur le web et sur Facebook, dans le secteur de la mobilité. Zynga a clairement plus de mal à s’imposer sur smartphones et tablettes que dans un navigateur web de bureau. Sans compter que Facebook a pris ses distances avec le studio.

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7 commentaires
  1. les jeux sur facebook c’est trop instable.
    trop de gens jou sur un jeu facebook pendant 2-3 mois car c’est la mode. puis passe a autre chose et d’autre s’en lasse et arrête complètement les jeux sur facebook.

  2. Même avis que greg3395 : les jeux sur FB, c’est une population habituée à la “vite consommé, vite jeté”, aux modes, … Ca peut marcher, mais il faut aller vite à faire un nouveau jeu, savoir se renouveler.

    Aussi, et surtout, 2900 employés pour faire qq jeux sur internet ? Ca me parait énorme …
    Bon, je n’ai pas joué à ces petits jeux et ne peux trop juger de la charge de travail qu’ils représentent. Mais j’ai quand même l’impression d’une grenouille qui a voulu se faire plus grosse que le boeuf un peu trop vite.

  3. Zynga? ah oui, le studio qui plagiait systématiquement ses concurrents en clamant haut et fort qu’ils allaient pas perdre leur temps à inventer des trucs nouveaux? Pas une grande perte..

  4. Eh bien temps mieux!

    Plagier des jeux sans aucune honte, et avoir osé lancer la mode du social gaming c’est IMPARDONNABLE!
    Les retours de bâtons commencent à se faire sentir petit à petit 🙂

    Heureusement cette mode est passée, et les dev se réorientent pas mal sur les vrais jeux vidéo, ça fait plaisir 🙂

  5. Ça reste des société éphémère qui ont pour but d’engranger énormément sur peu de temps…

    Leur model économique est baser sur rien du tout… C’est évidement triste pour les futures licenciés mais je pense ( j’espère!) qu’ils connaissent se genre de start up qui ferme aussi vite quelle gagne de l’argent… Ils signént un cdi mais on parle plus de long cdd dans la réalité!

  6. Oh que c’est bon, non, jouissif cette lente agonie de Zynga pour nous les gamers. Il ne manque plus que Gameloft, pour ses plagiats honteux.

Les commentaires sont fermés.

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