Jusqu’alors, Kim Dotcom était visé par une procédure d’extradition et devait être fixé sur son sort dans quelques mois. Aujourd’hui, lui et ses 3 collègues (Finn Batato, Mathias Ortmann et Bram van der Kolk) visés par le gouvernement américain peuvent demander l’annulation pure et simple de la procédure. Bien entendu, cela ne veut pas dire que Kim Dotcom est à l’abri, mais que les instances néo-zélandaises étudieront sérieusement cette possibilité.
En mars dernier, une cour de Justice néo-zélandaise avait refusé aux avocats de Dotcom l’accès aux preuves avancées par les États-Unis. Ces avocats peuvent donc dès aujourd’hui monter un dossier pour refaire une demande et pourquoi pas invalider la procédure grâce à ces preuves. C’est en tout cas ce qu’ils souhaitent.
La haute cour de Justice de la Nouvelle-Zélande se prononcera sur ce dossier le 30 juillet prochain
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heureusement qu’il ne vit pas en france , sinon il aurai était extrader depuis bien longtemps.