iRadio repose sur un principe proche de celui de Pandora : la création de radios personnalisées au goût de l’utilisateur. Au contraire de Spotify ou Deezer, l’auditeur ne choisit pas directement les morceaux qu’il souhaite écouter; c’est le service et sa technologie de recommandation qui s’en chargent. Et tout cela ne peut pas voir le jour sans le contenu qui va bien !
Si Apple a arraché la signature de Universal, il reste encore à convaincre Sony et Warner. Et visiblement, ça n’est pas tout à fait gagné. Les deux labels auraient obtenu de Cupertino une hausse des royalties : de 0,06$ les cent écoutes, on serait passé à 0,12$ – un niveau tarifaire équivalent de celui de Pandora. Mais Apple leur propose également un pourcentage sur les revenus publicitaires (iRadio financera sa gratuité par la réclame d’iAd), et garantit même un versement minimum garanti.
Le service était attendu au premier trimestre de l’année, mais évidemment il n’a pas encore été lancé. On évoque désormais une ouverture pour cet été, du moins si Apple réussit à faire signer les majors récalcitrantes.
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Il fut un temps où je fus un utilisateur assidu de Pandora, avant qu’ils ne ferment l’accès à leur aux non Nord américains. J’ai toujours regretté ce jour même si spotify a diminué la frustration générée.
Si Apple nous met en place un service équivalent, ils risquent bien d’asseoir leur hégémonie dans la distribution de musique digitale.
J’aimerai que Pandora nous inclue dans leurs liste de pays sous licence.
Sinon il y a Grooveshark.com qui propose un service similaire excellent, et gratuit