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La HADOPI nie tout effet vertueux du piratage

Il y a trois semaines l’Institut pour les Etudes Prospectives Technologiques, financé par la Commission Européenne publiait un rapport sur le piratage. Le document indiquait que le…

Il y a trois semaines l’Institut pour les Etudes Prospectives Technologiques, financé par la Commission Européenne publiait un rapport sur le piratage. Le document indiquait que le téléchargement illégal pouvait avoir un effet vertueux sur la consommation de contenu légale et concluait ainsi :

Nos conclusions suggèrent que le piratage de musique ne devrait pas être vu comme un sujet d’inquiétude croissant pour les titulaires de droits d’auteur dans l’ère numérique.

La HADOPI, craignant peut-être que des tels résultats ne la rende encore moins populaire qu’elle ne l’est déjà, a publié à son tour une note venant tempérer, si ce n’est contredire les résultats européens. Elle écrit ainsi que l’étude

ne démontre absolument pas certaines positions, mises en valeur dans ses conclusions générales, selon lesquelles le piratage de musique numérique ne se substituerait pas aux achats de musique numérique et de fait n’impacterait pas négativement les revenus de la musique dématérialisée.

La haute autorité justifie son raisonnement en expliquant que l’étude européenne “assimile des clics à un acte de consommation”. Cette dernière se basait en effet sur la fréquentation des sites de e-commerce spécialisés dans la musique et ne tenait pas compte de la nature du contenu, entre autres choses. La HADOPI ajoute donc que :

Les restrictions et arbitrages sur le territoire de consommation observé, et la multiplicité des paramètres ne pouvant être pris en compte dans les modélisations mathématiques, ne permettent aucune conclusion.

Selon l’autorité administrative, l’étude ne prouve donc rien et ne fait qu’établir des corrélations, pas des relations de cause à effet.

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32 commentaires
  1. Par contre une chose est sure, c’est que l’Hadopi ne sert à rien à part dépenser l’argent du contribuable dans de la merde.

  2. Ça existe encore ce truc ?

    Ho ! Hollande, Filippetti, faites quelque chose, et achevez cet animal mort et inutile qu’est Hadopi !

  3. C’est marrant, parce qu’ils ne nous ont jamais donner de resultats d’études prouvant le contraire non plus …

  4. Tiens, c’est bizarre, il m semblait que puisque “on” a dit oui à l’Europe (même quand on a dit non), toute décision ou texte de loi nationale devenait caduque à partir du moment où apparaissait un équivalent au niveau européen.

    Donc si l’Europe dit que le piratage a un effet vertueux, l’Hadopi n’a rien à redire.

  5. “Les modélisations mathématiques utilisées ne démontrent pas de
    causalité, mais une corrélation.”
    “Sans plus de certitude, la positivité des coefficients obtenus pour la consommation illégale et le streaming légal tendrait plutôt à conforter l’existence d’une typologie d’utilisateurs … se rejoignant dans la mixité de leurs pratiques légales et illégales…telle que notamment mise en exergue par le baromètre usage Ifop-Hadopi.”
    En gros, selon Hadopi : on a une corrélation mais pas de preuves, donc, dans le doute, on considère que nous avons raison et que le piratage c’est le plus grand fléau de l’humanité (ce qui nous arrange bien vu que sans ça on est virés)

  6. Ben ca dit surtout, et selon moi c’est assez vrai, que la causalité n’est pas systématique.
    Je fais partie de ces utilisateurs qui téléchargent illégalement parfois, mais j’achète des CD’s, et j’ai un abonnement Spotify…
    Par contre je vois pas mal de mes amis qui ne payent jamais rien pour la musique, et qui téléchargent abondamment.
    La question est de savoir si la part des utilisateurs qui payent, et dont la consommation de contenus illégaux va booster la consommation de produits légaux, compense en chiffre d’affaires tous ceux qui n’achètraient qu’un peu de musique de toute facon mais qui, du fait du téléchargement illégal, n’en achète plus du tout…
    Et rien ne le prouve à l’heure actuelle.

    Ce qui ne veut pas dire qu’Hadopi est utile, bien sur 🙂

  7. Ouais enfin moi je dis ca si hadopi disparait j arrete mon boycott CD et DVD et qu il reflechissent a la license global parce que dotcom a prouvé que le modèle économique étais rentable.

  8. HADOPI = juste une façon d’accélérer la crise en jetant l’argent de l’état par les chiottes.
    A la limite Privatisez HADOPI, et que ça soit géré de façon autonome par un gros plein de fric prêt à défendre la cause de ses potes majors….

  9. heu les artistes commence à comprendre que lancer un album est ridicule, ça ne rapporte rien. cela dit ça permet de promouvoir l’image d’un groupe/musicien, et de ce fait gonfler ses salles de concert. Du coup ça vire ceux qui ne font pas de scene (ben ouai quand on est trop mauvais en live ça se voit…), et ça améliore la relation publique/artiste. CQFD

  10. ok je veux bien faire un deal avec la loi : si HADOPI ferme (ce qui ne sera une perte que pour les personnes qui y travaillent), je promet de revenir à une consommation légale de supports physiques égale à celle que j’avais il y a plusieurs années (avant que ce ne soit si facile de télécharger) : c’est à dire pas tellement !!! 😀

    par contre, ça veut dire aussi que j’arrête d’acheter des coffrets (ou collectors) mais je repasse au “prix verts” de la fnac !

  11. Ils ont rien compris chez Hadopi. J’ai reçu une des leurs lettres comme quoi j’ai fait des téléchargements illégaux par torrent. Quand je les ai appelé pour dire que je n’ai téléchargé que des podcasts (du genre TechSNAP ou LAS de JupiterBroadcasting) qui sont libre, et donc pas illégaux, le monsieur à l’autre bout du fil m’a expliqué que c’est l’utilisation du torrent qui est illégale. Non seulement cette organisme ne sert à rien, en plus ils embauchent des cons qui répandent ces mensonges.

  12. Je trouve que c’est intéressant comme concept. Sans violation des droits d’auteurs, Arctic Monkeys n’existerait pas – par exemple – et on serait noyés dans la soupe commerciale que Universal&co voudraient bien produire. Ce qui les arrangerait bien, vu qu’ils seraient en position de total monopole.
    Tiens donc, et la concurrence libre ? On n’en parle que lorsque ça les arrange ?

  13. En deux ans, HADOPI a peut être envoyer des milliers de mail, mais pour les coûts astronomiques de fonctionnement de celle ci, seulement 3 cas ont aboutis, dont un sur une relax, et les deux autres sur une amende de 150€…
    Utilité de l’Autorité ? Faire peur au petit peuple à tort ! 😀

  14. c’est facile de dire qu’une études est foireuse (peut etre est-ce la cas), maintenant il faut en amener une preuve et en faire une qui montre le contraire!sans quoi c’est stérile et inutile.
    un peu de rigueur de la part de Hadopi serait la bien venu.

  15. Tant que le ched de game of thrones dis que c’est positif c’est le principal. Je préfère croire un mec qui vit la chose plutot que des ignorant dans leurs bulles d’hadopi

  16. Non mais les gars il faut arrêter de sortir des conneries genre que Arctic Monkeys n’existerait pas… Dans les années 70, les gens trouvaient des moyens d’écouter ce qui leur plaisait, Led Zep, AC/DC ou King Crimson compris… Et pourtant ca ne passait pas à la radio! Par contre effectivement on payait.
    Alors certes les gens se prêtaient les disques (ce qui équivaut en quelque sorte au téléchargement illégal), mais le cercle était restreint, et cela suffisait à financer les groupes qui se lancent.
    Loin de moi l’idée de nier les effets positifs du piratage sur la qualité de ce qu’écoutent les gens, mais n’oublions pas qu’il faut financer ces gens là.

    Alors, non à Hadopi car il ne défendent que les intérêts des Majors qui font déja des profits considérables et promeuvent une musique pour la plupart aseptisée.
    Et non aussi à la licence globale car elle reviendrait précisément à donner la plupart de notre argent aux Majors même si on n’écoute quasiment rien de leur catalogue!

    Deux choses:
    1. pour écouter il faut payer. Alors certes les prix sont élevés et devraient baisser un peu. Possiblement offrir la possibilité aux gens d’écouter gratuitement une chanson/un album une ou deux fois ou plus pour l’évaluer, et ensuite demander de l’acheter. Ce procédé ne bride pas l’accès à la connaissance, à la culture et á son étendue. En revanche, et c’est le point le plus important pour moi, il permet de cibler nos achats. J’entends par là que si j’achète un album d’un groupe peu connu, je leur donne directement de l’argent, je les soutiens.
    Tandis qu’une licence globale reviendrait à négocier des parts de revenus “fixes”, et donc avantageuses aux Majors et leur grosse force de négociation/lobby, ce système permet de promouvoir justement la musique que les gens écoutent vraiment.

  17. @Jordan: les Arctic Monkeys ont explosé parce que des vidéos illégalement filmées lors de petits concerts ont été mises sur Youtube. Avant ça ils n’intéressaient pas les maisons de disques, trop occupées par la Star Ac et équivalents, plus rentables.
    Dans les années 70, le marché était encore immature et de petits acteurs pouvaient subsister en enregistrant de la musique non mainstream… Aujourd’hui, les labels indépendants survivent tous très difficilement et les stars pop sont créées de toutes pièces. On ne va même pas parler des “petits” artistes, méprisés par les maisons de disques (ils touchent 2% de droits). La situation est radicalement différente.
    Le quasi monopole des majors leur permet d’ailleurs de fixer leurs prix comme bon leur semble, c’est trop cher pour toi ? tant pis.
    Internet, via le téléchargement direct, les sites communautaires d’auto-publication et le “buzz”, a permis à nombre d’artistes d’émerger.
    Personnellement, la condition sine qua none lorsque j’achète un album, c’est que l’éditeur ne soit pas une major.

  18. Je voudrais comprendre pourquoi on dit que la HADOPI ne sert à rien du fait de son peu de condamnation… Je trouve plutôt que c’est une preuve d’efficacité. En effet elle a envoyé des milliers de mail pour peu de condamnation. Mais peut être que les gens on justement eu suffisamment peur pour arrêter le téléchargement. Le but du jeu n’était pas de gagner de l’argent en condamnant pour rémunéré les artistes…. Mais de faire en sorte que les gens arrête de télécharger illégalement!! Un peu comme si on disait que la loi sur le vol est inutile car il y a toujours des gens qui vol et on récupère pas souvent les biens… Pour avoir une idée de l’efficacité il faudrait voir le taux de téléchargement illicite avant et après les mails.

    Ensuite je voudrais préciser que contrairement aux idées reçut HADOPI ne condamne pas au motif de la contrefaçon, mais au motif de la non surveillance de sa connexion internet… En effet le conseil constitutionnel avait censuré la loi HADOPI 1 pour cette raison car cela aurai voulu dire que la contrefaçon sur internet était différente de la contrefaçon “réelle” ce qui entrainait une rupture d’égalité des peines (une contrefaçon reste une contrefaçon elle est pas plus ou moins importante sur internet).

    Voilà pour les petites précisions. Après je suis d’accord que le téléchargement c’est fortement déplacer des torrents vers le direct download, et je suis assez d’accord pour dire que dans certains cas le piratage peut etre intéressant (CF Game of Throne qui est la série la plus télécharger et les producteurs disait que dans un sens cela les arrangeaient car ils avaient un test grandeur nature du succès du show dans les autres pays).

  19. Dégage HADOPI !

    Se borner a des réflexions basiques et unilatérales, participant a l’obscurantisme, le tout au service d’entreprises voulant des monopoles !

    Casse toi gros naze !

    PS: désolé d’etre vulgaire, mais c’est tout ce que ce genre d’institution m’inspire…

  20. La Hapopi a mis un an a répondre “c’est pas faux” a VideoLan.
    Elle vient de mettre un mois a répondre “Tu bluffe Martoni !” a l’UE.

    moi je dis y a du progrès.

  21. A nous de lutter contre ces actes, et quand l’on voit la force des majors notamment dans TPB AFK, c’est un scandale. Hadopi participe à ce jeux absurde de rémunérer les majors quand 80% des artistes crèvent la dalle et c’est un état de fait qui dure depuis un moment. En espérant que les mentalité changent notamment avec la génération Y (sisi représente)

  22. @Nagarian :”Ensuite je voudrais préciser que contrairement aux idées reçut HADOPI ne condamne pas au motif de la contrefaçon, mais au motif de la non surveillance de sa connexion internet”

    Ouai ben justement, pour moi le problème il est bien là. Monsieur tout le monde et madame michut, n’est pas informaticienne, n’as pas les capacités pour “sécurisée” sa ligne car ce n’est tout simplement par leur travail, ni leur passions.

    Tu répare ta voiture toi même quand elle est HS (sur les voitures récente je parle), quand ta un problème de plomberie tu change les tuyaux et raccord ? je pense pas.

    Alors c’est un peut facile de condamner des personnes (qui souvent ne comprenne pas ce qui leur arrive, cf le mec de Belfort qui c’est pris la prune) pour un problème qui n’est pas de leur ressort.

    A Orange/SFR/Free/Numericable et etc de sécurisé ou pas et alors HADOPI frappe pour téléchargement illégal ou contrefacon.

    Pour moi de toute façon HADOPI n’as aucune légitimité, grâce a eux, l’une des technos les plus utiles et devenu Blacklister On les vois tout les jours les problèmes de serveurs centralisé, quand ca tombe ta plus rien.

    Alors remercie HADOPI d’avoir tuer

  23. J’adore cette phrase:
    “La multiplicité des paramètres ne pouvant être pris en compte dans les modélisations mathématiques, ne permettent aucune conclusion.”

    En gros, on a une conclusion, mais elle sert à rien car nos modélisations sont nazes.

  24. Moi perso depuis qu’ils ont commencé à justifier les ventes de films et de musiques par le piratage, alors que les ventes ont baisser à cause de l’arrivée des téléphone portable, le peu d’argent qu’avec les jeunes, au lieu de passer dans les clopes et cd audio est parti dans le clope et le forfait sms. Ben j’ai arreté d’acheter et de télécharger des films et musique, avant je téléchargeais et j’achetais ce que je pouvais, maintenant j’achète plus rien, que cet industrie de merde meurt c’est tout.

  25. Tiens, c’est pas la HADOPI qui a fait une étude statistique sur 18 (oui dix-huit!!) personnes réparties en 3 groupes de 6 et en a tiré des conclusions pour la population entière? Et là ce n’est pas concluant???

  26. C’est surtout que si les ptits gars surpayés de l’HADOPI s’imaginent que certains (moi compris) changeraient et se mettraient à acheter de la musique si jamais le téléchargement devenait d’un coup impossible, ils se fourent le doigt dans l’oeil jusqu’à l’omoplate… on acheterait pas… et la culture prendrai un put## de coup de fusil dans l’aile !

  27. Chez hadopi ils sont aveugles et bornés, hadopi c’est comme la construction européenne.
    Tous les pays européens, ou presque, sont dans la merde mais les grosses têtes persistent à croire en leur modèle en nous expliquant que si cela ne marche pas c’est parce qu’il faut encore plus d’Europe.

  28. Moi j’ai reçu le mail d’hadopi du coup j’ai cliquer sur leur lien pour savoir quel oeuvre j’aurais soit disant télécharger illégalement.

    Du coup je leur et mis aussi en texte des extrait de courrier d’avocat qui seront dans ma lettre.

    EX:
    Argument n° 2 :
    Par ailleurs, toute ligne sécurisée peut être piratée sans aucun problème par les pirates du net via le réseau WIFI mais également via divers sites internet empruntant les adresses IP des internautes pour brouiller les réseaux de PEER 2 PEER.
    Ainsi, plusieurs sites internet de PEER 2 PEER ont décidé de contrecarrer les attaques qu’ils subissent en polluant leur site avec des adresses IP prises au hasard. Grâce à un logiciel installé sur leur serveur, les différentes adresses IP procédant à du téléchargement apparaissent. Aussi, un internaute dont l’adresse piratée figure sur ce site pourrait être inquiété alors même qu’il ne télécharge aucune donnée et qu’il n’a aucune possibilité de savoir que son adresse est utilisée à cette fin.

    Cet exemple démontre qu’un individu lambda pourrait être poursuivi pour défaut de sécurisation ou défaut de diligence caractérisée alors même qu’il a pris toutes les précautions nécessaires pour sécuriser sa ligne.

    Cela établi avec force et crédit l’absence de corrélation évidente entre la sécurisation d’un accès internet et le téléchargement puisque toute ligne sécurisée peut être piratée sans aucune difficulté.

    EX:
    Concernant les réseaux WIFI, plusieurs études et constats d’huissiers ont permis de démontrer qu’un réseau WIFI même sécurisé peut être piraté en quelques clics.

    Ainsi, à partir d’un tutoriel librement et légalement téléchargeable sur le net, tout individu peut obtenir la clé WIFI dite clé WEP d’un réseau WIFI sécurisé.

    Le pirate utilise un logiciel qui lui permet d’obtenir les réseaux WIFI environnants. Puis, il retient une cible et génère via un logiciel le réseau nécessaire pour activer la clé WIFI.
    Par comparaison, il est loisible de constater que la clé WEP délivrée est identique à celle du fournisseur internet initial.

    Ainsi, le pirate peut alors utiliser cette clé d’accès pour se connecter via l’adresse IP du propriétaire sans que celui-ci ne puisse en être informé, mais pourrait alors être inquiété pour les téléchargements effectués par le pirate.

    Cet exemple démontre plus avant que toute sécurisation infaillible est impossible.

    De même, le protocole établit par les fournisseurs d’accès permettant de sécuriser les accès internet n’est pas plus fiable.
    En effet, de nombreux tests ont démontré qu’il est possible d’intercepter les communications entre deux parties, sans que ni l’une ni l’autre ne puisse se douter que le canal de communication entre elles a été compromis. Ainsi, le réseau est alors piraté sans aucune possibilité de détection de la part des utilisateurs, la sécurisation est donc inopérante.
    Cette attaque est appelée «  Man in the Middle » c’est-à-dire qu’aucune des parties ne peut déterminer l’intrusion subie, le piratage est là encore indolore et pourtant effectif.

    Il est donc impossible de déterminer avec vraisemblance si le titulaire de la ligne internet et donc de l’adresse IP est bien la personne utilisant cette adresse.
    Or, en application des dispositions de l’article 121-1 du Code Pénal :
    « Nul n’est responsable pénalement que de son propre fait »
    Aussi, il est impossible de démontrer que l’adresse IP litigieuse a bien été utilisée par le propriétaire et non un pirate pour effectuer les téléchargements litigieux.

  29. A quand une loi Hadopi contre les chanteur qui font du playback.

    Ou même une loi contre le logiciel que ces chanteur utilise qui modifie la vois pour faire croire qu’ils savent chanter.

  30. Je sais que c’est presque “hors sujet”, mais jetez un coup d’oeil au fonctionnement de la SACEM et ces employés grassement payés à rien foutre sur le dos des auteurs, il fallait bien l’Hadopi pour sauvegarder leur train de vie …

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