C’est actuellement au BlackBerry Jam Europe 2013 à Amsterdam qu’on a pu découvrir une édition spéciale du BlackBerry Z10 pour les développeurs. A part une architecture…
C’est actuellement au BlackBerry Jam Europe 2013 à Amsterdam qu’on a pu découvrir une édition spéciale du BlackBerry Z10 pour les développeurs. A part une architecture intérieure un peu différente par rapport à la version de série, c’est surtout le boîtier rouge glossy qui marque bel et bien une différence. Rien de spécial donc mais puisqu’on a des photos, autant vous les partager. Perso, je le préfère en noir ou blanc, et en attendant notre test du BlackBerry Z10 pour la semaine prochaine, je vous rappelle notre prise en main ICI. BlackBerry Z10
Il est bien mieux comme ça, Nokia a réouvert la voie des smartphones colorés, et les autres vont tous copier ! Moi j’en ai marre perso des téléphones noirs.
Est ce que vous auriez des infos concernant justement la possibilité d’avoir accès à ce téléphone afin de développer des apps ? A l’époque, BB offrait une Playbook aux développeurs convertissant les applis Android par exemple.
Merci 🙂
Obligé que je le choppe pour faire joujou avec!
Eh bien en gros, ce sont les mêmes caractéristiques techniques pour des raisons liées aux debug et autres, la carte-mère est un peu différente
Il est bien mieux comme ça, Nokia a réouvert la voie des smartphones colorés, et les autres vont tous copier ! Moi j’en ai marre perso des téléphones noirs.
Est ce que vous auriez des infos concernant justement la possibilité d’avoir accès à ce téléphone afin de développer des apps ? A l’époque, BB offrait une Playbook aux développeurs convertissant les applis Android par exemple.
Merci 🙂
rien à voir mais ceux qui veulent un nexus 4 c’est le moment !
Il a l’aire vraiment sympas ce Blackberry Z10, j’espère vraiment que ça va relancer un peu la marque et le marché.
En tout cas ils montrent qu’ils sont vraiment actif en enchainant avec Blackberry Jam juste après avoir dévoilé les smartphones sous BB10
Très attrayant en rouge ! Je confirme que le noir devient plus que monotone